En avril 2024, dans la parti Sud de la Réserve Naturelle du Haut-Geer, à Hollogne-sur-Geer, on recense:
- 230 espèces d’oiseaux
- 16 espèces de mammifères (dont le castor)
- 6 espèces d’amphibiens
- 28 espèces de papillons diurnes
- 33 espèces d’odonates
En avril 2024, dans la parti Sud de la Réserve Naturelle du Haut-Geer, à Hollogne-sur-Geer, on recense:
En avril 2021, MARTENS Alain est conservateur bénévole de la Réserve Naturelle du Haut-Geer à Waremme.
En avril 2021, le Conseil d’Administration de la Réserve Naturelle du Haut-Geer décide de rouvrir la Réserve aux visiteurs, une matinée (de 8h30 à 12h00), le samedi, toutes les 2 semaines. Les chiens ne seront plus admis et les activités sportives (ex: jogging) interdites. Le comportement des visiteurs sera observé. Le but est de rouvrir normalement le site le 15 juillet.
Pour mémoire, le site a été fermé le 25 mars suite au constat de nombreuses incivilités.
En mars 2021, MARTENS Alain est responsable à l’ASBL qui gère la Réserve Naturelle du Haut-Geer.
En mars 2021, le conseil d’administration de l’ASBL qui gère la réserve naturelle du Haut-Geer décide d’interdire l’accès aux visiteurs suite aux nombreuses incivilités constatées, qui nuisent à la biodiversité.
En avril 2014, le Programme Communal de Développement Rural de Waremme, pour les 10 prochaines années, s’établit comme suit:
De 2013 à 2016
De 2016 à 2019
De 2019 à 2023
En 2013, le baguage des oiseaux sur le site des bassins de décantation de l’ancienne râperie de la Raffinerie Tirlemontoise, située à proximité du zoning industriel de Waremme et du parc à conteneurs:
Soit un total de 3108 oiseaux bagués, de 28 espèces.
Depuis fin 2011, le site des décanteurs de Hollogne-sur-Geer est la propriété de la société « Hesbaye Frost » et est géré par NATAGORA.
Initialement, il a été aménagé pour décanter les eaux de lavage des betteraves sucrières traitées par la râperie de Hollogne-sur-Geer (qui a été active jusqu’en janvier 2009). 16 bassins de différentes dimensions ont été creusés en 2 zones couvrant 41 hectares. Au fil des années, les différentes retenues se sont comblées et ont formé une mosaïque d’étangs de profondeur variable et de friches plus ou moins humides. On peut y trouver une roselière à phragmites et massettes, ainsi que des saulaies. Bien que situé non loin du village, le site est entouré de champs, de prairies et de peupleraies. Il constitue un refuge idéal pour les oiseaux, dont on y a recensé plus de 350 espèces.
Cependant, l’arrêt des activités de la râperie entraîne un déséquilibre des bassins. La circulation des eaux de lavage des betteraves est interrompue, diminuant d’une part les ressources alimentaires provenant des matières organiques et asséchant d’autre part certains bassins, qui tendent à se reboiser rapidement. Le site est réellement mis en péril.
En septembre 2011, une solution apparaît pour la sauvegarde du site ornithologique. le nouveau propriétaire et NATAGORA se lancent dans une vaste opération pour préserver les 33 hectares de cette oasis hesbignonne.Une partie des bassins, à haute valeur écologique,
En mai 1981, l’ASBL qui gère la Réserve Naturelle de Waremme présente une exposition de documents photographiques au musée de la ville, situé au n° 3 de la rue Porte de Liège.
En 1980, l’échevin de l’Environnement de Waremme, LABY Henri, propose de transformer en réserve naturelle les anciens bassins de décantation de l’ancienne râperie de la ville.