L’avouerie de Hesbaye saisie

albert de ligne

albert de ligne

En février 1657, faute de payement de rentes, une partie des biens de DE LIGNE Albert sont saisis, dont l’avouerie de Hesbaye.

Louis XV, poignardé (France)

roi louis xv

roi louis xv

Le 5 janvier 1757, le Roi de France, LOUIS XV, est victime d’un attentat. Il est poignardé par DAMIENS Robert-François. Le Roi n’est que légèrement blessé.

L’agresseur sera tenaillé et écartelé vif en place de Grève à Paris.

robert-françois damiens

robert-françois damiens

exécution de robert-françois damiens

exécution de robert-françois damiens

Le député Georges Hubin en prison (Waremme – Huy – Belgique)

Le 14 avril 1902, une grève générale est déclenchée. Le député socialiste de Huy-Waremme, HUBIN Georges, et 600 carriers du Hoyoux descendent sur Huy. De nouveaux incidents éclateront le 18 avril. Ils vaudront 5 mois de prison ferme au député HUBIN.

Les peines de Daniel François et d’Alain Michelet sont définitives (Waremme)

Le 9 décembre 2015, la Cour de Cassation rejette les pourvois introduits par le Chef de la Zone de Police de Hesbaye, FRANCOIS Daniel, et par son adjoint, MICHELET Alain, contre la condamnation qu’ils ont encourue dans le cadre de l’affaire de suicide de leur subordonnée, la policière KOCH Sandra.

 

RAPPEL DES FAITS

Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.

Le Tribunal Correctionnel de Liège, statuant en première instance, a condamné FRANCOIS Daniel à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.

Ce jugement a été confirmé par la Cour d’appel de Liège, qui a ajouté que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges ont précisé que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats ont considéré que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.

Si la peine de prison avec sursis a été maintenue par la Cour d’Appel, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes a amené la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.

Cette sanction est maintenant définitive.

 

MAIS DANIEL FRANCOIS N’EN A PAS TERMINE

Entre l’arrêt de la Cour d’Appel et la décision de la Cour de Cassation, MICHELET Alain a pris sa retraite, échappant ainsi aux sanctions administratives qui n’auraient pas manqué de s’abattre sur lui, à l’issue du rejet du pourvoi par la Cour de Cassation. Par contre, FRANCOIS Daniel (plus jeune), en arrêt maladie, depuis la condamnation en première instance (!), est dans l’attente des sanctions qui devraient découler de la procédure disciplinaire lancée contre lui par le Ministre de l’Intérieur (procédure gelée dans l’attente de la décision de la Cour de Cassation).

Les sanctions possibles sont (de la plus légère à la plus lourde):

  • l’avertissement,
  • le blâme,
  • la retenue de traitement,
  • la suspension par mesure disciplinaire (de maximum trois mois),
  • la rétrogradation dans l’échelle de traitement,
  • la démission d’office,
  • la révocation (celle-ci fait perdre à l’intéressé sa qualité de membre du personnel, entraînant de lourdes conséquences au niveau de la pension).

 

 

Jacques Goffin, condamné (Hemricourt)

Le 12 juillet 1773, la Cour de Justice de Hemricourt condamne le cabaretier du village, GOFFIN Jacques, à dix florins d’amende, pour avoir été surpris à faire moudre son grain par un meunier étranger et non au moulin banal du village.

Les Plaids Généraux de Hemricourt

Le 26 avril 1756, les Plaids Généraux de Hemricourt rappellent qu’il est défendu aux surcéants, à peine de dix florins d’or, de faire moudre leurs grains ailleurs, sinon au moulin banal du Seigneur.

De plus, il est interdit à tous meuniers étrangers de venir chercher ou amener du grain, pour la meunée des surcéants, sous la peine susdite et la confiscation de leurs chevaux.

Renson Henrard d’Oleye

Le 22 décembre 1708, l’Honorable HENRARD Renson, d’Oleye, demande à la Cour de Justice de Lantremange, le prêt d’un registre, pour le porter au greffe des échevins de Liège, dans le cadre d’une procédure de saisie.

Michel Honlet, « saisi » (Lantremange)

Le 14 janvier 1699, des meubles du meunier de Lantremange, HONLET Michel, dit « le Jeune », fils de l’ancien Mayeur du lieu, sont saisis.

La rente du valet de chambre (Hemricourt – Lantremange)

louis de bourbon prince-évêque de liège

louis de bourbon prince-évêque de liège

Le 16 juillet 1468, le Prince-Evêque de Liège, DE BOURBON Louis, dispose d’une rente sur les Seigneuries de Hemricourt et de Lantremange, saisie à RENCHON Jean LE CUVELIER, en faveur de DE LA MOLIERE Robert, valet de chambre du Duc DE BOURGOGNE.