Portrait de Danielle Delchambre, conseiller communal et échevin (Waremme)

COEME Guy et DELCHAMBRE Danielle

DELCHAMBRE Danielle est née le 25 septembre 1948.

Attributions: échevin de la famille, de la politique de la santé, AIGS, AISH, petite enfance, politique des seniors et du conseil consultatif, promotion de l’égalité des chances et de la personne handicapée.

Age: 52 ans.

Coordonnées: Clos de Hesbaye, 54 à Waremme. 019/32.52.33 (bureau) ou 019/32.38.98

Formation et profession: formation paramédicale, gestionnaire.

Hobbies: la marche, la lecture et la gastronomie.

Situation familiale: mariée avec DELFOSSE Jean-Pierre, ingénieur.

Priorités: avec coeur, raison et dynamisme.

Présence avant 2001: au conseil communal depuis 1994.

Mini-message: à la recherche du meilleur pour chacun, à l’écoute de tous!

Parti politique: PS.

Portrait de José Thomas, conseiller communal et échevin (Waremme)

THOMAS José est né le 16 juillet 1942.

Attributions: échevin des travaux publics, de la qualité du quotidien,de la mobilité et des sports.

Age: 58 ans.

Coordonnées: avenue Edmond Leburton, 30 à Waremme. 019/33.22.16.

Formation et profession: agent préretraité de Belgacom.

Hobbies: jardinage, bricolage et cuisine.

Situation familiale: marié à VANDERVOOST Marthe, 55 ans, employée. Père de une fille, Muriel épouse de Jean-Paul Hoebrechts et grand-père de deux petits enfants.

Priorités: amélioration des infrastructures pour le bien de la population.

Présence avant 2001: conseiller depuis 1971.

Mini-message: suivant le budget, satisfaction aux concitoyens.

Autres mandats: néant.

Parti politique: PS.

Portrait de Auguste Robert, conseiller communal (Waremme)

ROBERT Auguste est né le 5 janvier 1941.

Age: 60 ans.

Coordonnées: rue de Bettincourt, 97 à Waremme. 019/32.75.51, 04/247.81.11

Formation et profession: instructeur au Forem de Grace-Hollogne.

Hobbies: les voyages, les randonnées et le jardinage.

Situation familiale: marié à BOEUR Raymonde. Père de Fabrice, 35 ans.

Priorités: relation citoyen/mandataire, travaux et propreté, villages.

Présence avant 2001: conseiller communal depuis 1989.

Mini-message: la gestion communale n’est pas simple, faites confiance aux élus.

Parti politique: PS.

Portrait de Francis Tihon, échevin (Waremme)

TIHON Francis

TIHON Francis est né le 24 décembre 1941.

Attributions: échevin des finances, de l’enseignement, président du centre sportif, économie et développement local.

Age: 59 ans.

Coordonnées: clos de Hesbaye, 26 à Waremme. 019/32.42.69.

Formation et profession: gradué en comptabilité, permanent syndical FGTB.

Hobbies: colombophilie, théâtre wallon, football.

Situation familiale: marié à YANS Marie-Thérèse, 57 ans, institutrice retraitée. Père de Jean-François (33 ans) et de Frédéric (29 ans).

Priorités: gestion financière saine, condition de travail et d’accueil optimales, répondre aux besoins de la population.

Présence avant 2001: conseiller depuis 1989 et échevin depuis 1993.

Mini-message: continuons à construire ensemble une ville où il fait bon vivre.

Autres mandats: administrateur au sein de l’AISH et dans des asbl mutuellistes.

Parti politique: PS.

Portrait de Jacques Chabot, bourgmestre (Waremme)

CHABOT Jacques

CHABOT Jacques est né le 10 octobre 1953.

Attributions: bourgmestre chargé des relations publiques, des affaires générales et de la démocratie participative, de l’état civil, du personnel communal et des relations avec les syndicats, de la police locale et du Service régional d’incendie, du CPAS, de la politique générale du logement, des conseils consultatifs (seniors, jeunes et enfants), de l’académie de musique.

Age: 46 ans.

Coordonnées: avenue Emile Vandervelde, 55 à Waremme. 019/32.53.76, GSM: 0475/69.99.37

Formation et profession: licencié en science économique et maître en administration des affaires, député fédéral.

Hobbies: pratique du tennis, football comme supporter du RS Waremmien, les animaux domestiques.

Situation familiale: marié à DE JONGHE Monique (33 ans), pédiatre. Père de Arnaud (15 ans), Sophie (13 ans), Pauline (7 ans), Caroline (2 ans) et Olivier (1 an).

Priorités: continuité, performance et réalisme prudent.

Présence avant 2001: conseiller communal depuis 1977, échevin depuis 1983, bourgmestre depuis 1996.

Mini-message: continuer à m’efforcer de rencontrer au mieux les préoccupations quotidiennes des gens, en matière d’emploi, de logement,…

Autres mandats: président de l’académie de musique de Waremme, président du Home waremmien.

Parti politique: PS

Portrait de Guy Coëme (Waremme)

COEME Guy

COEME Guy est né à Bettincourt, le 21 août 1946.

Licencié en sciences politiques de l’ULg (1964-1968), COEME Guy entre très tôt en contact avec le mouvement socialiste. Après son service militaire (1970), il occupe une fonction administrative au secrétariat du PSB.

COEME Guy fait son entrée en 1971 au conseil communal de Waremme et devient immédiatement échevin. Un an plus tard, il entre au conseil provincial et devient député permanent (1974). Ayant la compétence de l’enseignement provincial liégeois, il est à la base de l’ISIL, de l’IPES Waremme, du Centre PMS de Huy et du Cecotepe puis de la SA CECOForma (1979).

Président de la Société de Développement régional de Wallonie (1978), il participe à la création de la Société régionale d’Investissement pour la Wallonie (SRIW), dont il est administrateur (1979-1980). En février 1981, COEME Guy succède à DEWORME Elie au poste de Secrétaire d’Etat aux Affaires wallonnes. La même année, il est élu député, ce qui lui donne le droit de siéger dans le tout nouveau Conseil régional wallon. Il en profite pour présenter un projet de décret relatif aux problèmes dont il eut la responsabilité ministérielle, portant sur la rationalisation de la distribution de gaz et électricité. Président du comité permanent des Fédérations socialistes wallonnes (1983) et vice- président du PS (1983-1988), il organise un Congrès des Socialistes wallons (1984) en vue d’évaluer la situation économique et industrielle de la Wallonie, trois ans après la réforme de l’Etat.

Nouveau bourgmestre de Waremme (1987), il préside aussi l’Exécutif régional wallon durant la crise qui suit l’élection de décembre 1987. Trouvant d’ailleurs que le gouvernement central met trop de temps à se former, il s’interroge sur ce que devrait être l’attitude des exécutifs régionaux, car ils doivent veiller au développement de nos régions.

Pourtant, en mai 1988, il devient Ministre de la Défense nationale. Profitant du climat de détente internationale, COEME Guy accomplit quelques coupes sombres dans son budget et prend toute une série de mesures destinées à réduire les effectifs. Durant son mandat, il a aussi à gérer la Guerre du Golfe. En mars 1992, il devient Vice-premier ministre et ministre des Communications et des Entreprises publiques dans le Gouvernement « Dehaene ».

Suite aux élections communales d’octobre 1994, il est proposé à nouveau comme bourgmestre de Waremme et, en mai 1995, les électeurs reconduisent son mandat au parlement fédéral. Emporté dans la tourmente des « Affaire Agusta », « Affaire Dassault » et « Affaire Inusop », COEME Guy doit se résoudre à démissionner de l’ensemble de ses mandats.

Un temps frappé d’inéligibilité, il connait une « traversée du désert » d’une dizaine d’années. Il redeviendra bourgmestre de Waremme en 2006 et député fédéral en 2007.

Portrait d’Edmond Leburton (Waremme – Belgique)

LEBURTON Edmond

En 1997, portrait d’Edmond LEBURTON

Homme politique, né à Lantremange d’une mère flamande et d’un père wallon, le 18 avril 1915 et mort à Waremme le 18 juin 1997. Licencié en sciences politiques et sociales de l’Université de Liège.

Il fait ses « 18 jours » de formation de candidat-officier.

Durant la Deuxième Guerre Mondiale, il est capturé par les Allemands, mais parvient à s’échapper peu après. Il rejoint la Résistance et s’engage dans l’Armée Secrète et plus particulièrement dans le Réseau Otarie.

LEBURTON Edmond est présent au Congrès national wallon de 1945. En 1946, il devient député socialiste à la Chambre des Représentants pour l’arrondissement de Huy-Waremme. Il succède à WAUTERS Arthur.

En 1947, il succède à JOACHIM Guillaume comme bourgmestre de Waremme.

Il est ministre de la Santé publique et de la Famille de 1954 à1958. Il se range dans le camp des défenseurs du fédéralisme au Congrès des socialistes wallons de 1959. Ministre de la Prévoyance sociale de 1961 à 1965 et ministre-vice-président du conseil chargé de la coordination de la politique de l’infrastructure de 1965 à 1966. Après le décès de MERLOT Joseph, en 1969, il lui succéde en tant que ministre des Affaires économiques. LEBURTON Edmond démissionne en tant que ministre lorsqu’il est élu président du Parti socialiste belge (1971 – 1973). Son soutien au Mouvement wallon devient discret et il devient un adversaire du Mouvement populaire wallon puis du fédéralisme. Il est Premier ministre du 26 janvier 1973 au 25 avril 1974. Son passage à la tête du Gouvernement belge signifie un coup d’arrêt aux réformes engagées en 1970. Son gouvernement tripartite, qui ambitionne de finaliser la réforme de la Constitution (la formation des régions), est contrecarré par les grèves des dockers et des écoliers contre la réforme de l’armée, les manifestations contre l’avortement, la réforme du pacte scolaire, la crise pétrolière, l’affaire RTT et enfin, l’affaire « Ibramco ». Celle-ci sera décisive pour la chute du gouvernement.

LEBURTON Edmond est nommé ministre d’État en 1971. Le 7 juin 1977, il est élu président de la Chambre de Représentants, fonction qu’il assume jusqu’en 1981.

Il a présidé, pendant de longues années, l’Union Nationales des Mutualités Socialistes et plusieurs institutions waremmienne du secteur social ou hospitalier.

Il a tellement marqué la ville de Waremme de son empreinte, qu’on la surnommée « Leburtown » et lui-même « Le Grand Chef Blanc »

LEBURTON Edmond a été le dernier Wallon à exercer le mandat de Premier ministre et le seul Premier ministre socialiste wallon, avant DI RUPO Elio. Il a été vivement critiqué par certains Flamands pour son absence de connaissance du néerlandais.

Portrait de Charles Pirlot (Waremme)

PIRLOT Charles

Le 23 mai 1996, portrait de Charles PIRLOT

PIRLOT Charles et la phyto: chronique d’une ascension continue.

En région waremmienne, PIRLOT Charles est ce que l’on appelle un «personnage».

Dans un sens plus économique, on le qualifierait plutôt de «self-made man». Parti de presque rien, il est aujourd’hui à la tête de la S.A. « Etablissements Charles Pirlot » où il emploie neuf personnes à plein temps.

Né à Huy, dans la «maison Batta», le petit PIRLOT Charles marine dès sa tendre enfance dans le bain de l’agriculture. Parents fermiers, famille maternelle dans l’industrie sucrière… La totale !

Il use ensuite ses fonds de culottes sur les bancs de l’institut agronomique St-Victor et de l’IPES de Waremme pour accomplir des études qu’il qualifie lui-même de modestes.

Son service militaire acquitté, se pose la douloureuse question de l’avenir. C’est un ami qui lui propose son premier emploi: agent « Gorsac ». À bord d’une 2 CV vert agricole (même teinte que les portes de la ferme), il sillonne la campagne, proposant aux fermiers les différents produits de la gamme, rangés dans un coffre à farine.

Après 6 à 7 mois d’essai, PIRLOT Charles se rend compte qu’il gagne à peine de quoi couvrir ses frais. Il change de cap, travaillant quelques temps au sein d’une petite entreprise de pulvérisation.

UN FAMEUX BAGOUT

Arrive une loi, qui impose la détention d’un numéro d’agréation pour la vente de produits phytos. Afin de poursuivre ces activités, PIRLOT Charles suit des cours en vue d’obtenir le précieux passe-droit. C’est là qu’il rencontre le représentant d’une firme importante dans ce domaine. Ne sachant pas à qui il a à faire, PIRLOT Charles le baratine consciencieusement, tentant de lui refiler quelque denrée… Manoeuvre plutôt bénéfique, puisqu’elle lui vaut une place au sein du groupe « Lapa/Protex ».

En bourse le lundi, il passe le restant de la semaine dans le Hainaut, vendant ses fameux petits sachets de « prémazin » aux drogueries, graineteries et particuliers… Jusqu’au jour où le représentant liégeois tire sa révérence: PIRLOT Charles reprend le secteur.

Plus à l’aise dans sa région, il forme un réseau de négociants et d’entrepreneurs en pulvérisations et étend la clientèle. Rapidement, il réalise que, pour augmenter son chiffre d’affaires, il doit proposer d’autres produits. Un pas qu’il pose en 1972, créant son propre commerce.

DANS LA NICHE DU CHIEN !

Au début, en guise de hangars de stockage, il utilise deux vieilles granges, à Hollogne-sur-Geer. Le local des produits toxiques?… C’est la niche du chien! Acheter, rentrer les marchandises, vendre, livrer, facturer, tout cela sans chauffeur ni comptable.

Peu à peu, PIRLOT Charles engage. La S.A. « Etablissements Charles Pirlot » naît en 1983, du regroupement de plusieurs commerces du secteur. La société continue sa croissance, tant au niveau du chiffre d’affaires que du personnel.

Confrontés à de constants problèmes de stocks, la décision est prise, en 1995, d’établir la société à Waremme, dans le zoning industriel. Résultat: 1.050 m2 de hall de stockage et 240 m2 de bureaux, locaux bâtis en conformité avec les normes européennes de sécurité.

Nous devions relever le défi de la qualité et de la rapidité sans pour autant compromettre la sécurité. Avec cet outil, nous en avons maintenant les moyens, souligne l’un des collaborateurs de PIRLOT Charles.

SIMPLICITÉ

En plus de ses nouvelles installations, la société dispose de plusieurs dépôts, à même de dépanner les clients plus rapidement: à Juprelle, Ohey, Ochain-Clavier et Houtain-le-Val. Aujourd’hui, la S.A. « Etablissements Charles Pirlot » en emploi neuf pour un chiffre d’affaires qui avoisine les 240 millions.

L’entreprise propose à ses clients une gamme de produits, sous près de 1.500 formes et conditionnements différents, tous dédiés à la protection des plantes et végétaux: herbicides, fongicides, insecticides.

Sa clientèle se compose à 70 % de négociants ou grossistes et à 30 % en «cultures»: petites fermes, espaces verts, terrains de golf, piscines,…

Recette du succès? Il n’en fait pas un secret: des collaborateurs qui travaillent comme si c’était leur propre affaire…

N’allez pas croire que le démarcheur à la 2 CV verte soit devenu un rigide manager guindé. Malgré le succès, PIRLOT Charles a su préserver toute la simplicité et la modestie qui le caractérisent.

Sa philosophie? Il vaut mieux boire un petit verre chez soi, qu’une grande tasse dans sa société!

HESBAYE TOUCHEE MAIS INNOVATRICE

Sa montée, PIRLOT Charles l’a effectuée dans sa région, la Hesbaye. Rien d’étonnant : c’est le pays agricole par excellence. Quel regard porte-t-il sur son évolution? C’est la question que nous lui avons posée.

La Hesbaye, c’est le berceau de l’agriculture. Froment, betterave, escourgeon, lin, pois,… les cultures occupent la majeure partie du sol. Je garde confiance en l’agriculture, professe PIRLOT Charles. Pour l’instant, concède-t-il, elle se trouve dans le fond du panier mais j’ai bon espoir que la situation s’améliore. Cela va déjà mieux qu’il y a deux ou trois ans.

Un constat s’impose, pourtant: l’étendue des cultures par exploitation augmente. Avant, on vivait sur 40 à 80 ha; aujourd’hui, 120 ha, c’est un minimum. De nombreuses fermes disparaissent. On en compte chaque année plus ou moins 5 %. La plupart sont reprises par d’autres agriculteurs, qui en profitent pour s’étendre.

ROBERTI Pierre, du Centre d’études des techniques agricoles (CETA), client et ami de PIRLOT Charles, acquiesce. Deux types d’exploitations coexistent actuellement en Hesbaye, dit-il: les fermes de 500 ha et plus, qui pratiquent la culture extensive, au niveau des surfaces et les exploitations plus petites qui lui préfèrent la culture intensive, davantage orientée vers la qualité, supérieures en valeur ajoutée.

DIVERSIFICATION

Selon PIRLOT Charles, la chute des prix est une autre donnée du problème. Les fermiers ont été contraints à se serrer la ceinture. Pour le froment, par exemple, on est passé de 10 à 6 F le kilo. À raison de 8.000 kg de grain à l’hectare, cela fait une perte sèche de 32.000 F par hectare! Résultat: on diversifie pour compenser. On se lance dans la culture des légumes.

Une tendance que confirme également ROBERTI Pierre: Les choses évoluent. Les fermiers ont tendance à avoir une deuxième corde à leur arc, voire encore à s’investir dans des activités industrielles ou commerciales.

Bien plus que le secteur, ce sont les mentalités qui évoluent. On n’agit plus comme par le passé. Les gens bougent. Ils regardent aussi vers ce qui se fait ailleurs. Ils adoptent une approche différente des habitudes hesbignonnes. Sauf celles du Nord du pays, à cause de la langue, constate Pierre Roberti. Ce qui est regrettable car il y a là une véritable source potentielle de renouvellement.

INITIATIVES À TOUT VA

Quoi qu’il en soit, on assiste à une éclosion d’initiatives dans tous les domaines. Des cultures nouvelles, comme celle de la chicorée dont on extrait le fructose et l’inuline pour en faire des additifs pour yaourts, margarine, chocolats,… Des projets plus ambitieux également, encore en cours de recherche à l’heure actuelle, concernant des plantes aromatiques et médicinales.

Parfois même, certains exploitants se regroupent pour former une coopérative. C’est le cas de la coopérative de « L’Yerne », qui réunit quatre agriculteurs, dont ROBERTI Pierre. La société s’est spécialisée dans le conditionnement de légumes. De 300 tonnes livrées au début, ils sont rapidement passés à plus de 7.000 tonnes et approvisionnent aujourd’hui la majeure partie des grandes surfaces du pays et certaines grandes chaînes de supermarchés en France.

Il y a encore des perspectives d’avenir dans le domaine, insiste ROBERTI Pierre. Les sols hesbignons sont d’une qualité exceptionnelle, et ils sont reconnus comme tels bien au-delà des limites de la région.

Rien de surprenant, donc, à ce que des industriels, qu’ils soient des Flandres ou d’ailleurs, s’installent pour y faire de l’agro-alimentaire. À cet égard, l’entreprise « Hesbaye Frost » est un éclatant exemple.

Portrait de Jules Dominique Coen (Waremme)

COEN Jules

 

En 1980, portrait de COENE Jules Dominique

Sénateur. Secrétaire du Sénat. Conseiller provincial. Questeur du Conseil provincial de Liège. Conseiller communal de Waremme.

Membre de l’Association royale des écrivains de Wallonie. Membre de l’association des journalistes périodiques belges et étrangers. Membre de l’Organisation mondiale de la presse périodique.

Très attaché à sa Hesbaye natale, tels que l’ont été STIERNET Hubert et KRAINS Hubert, il s’applique à faire revivre par l’écriture, les mœurs, les personnages, les traditions d’une région riche en souvenirs du passé. Essayiste, romancier, conteur, nouvelliste.

Sociétaire de l’Association des Ecrivains de langue française.

Portrait d’Armand Thoen (Waremme)

Le 13 avril 1966, portrait d’Armand THOEN.

Il est né à Liège en 1890 et est décédé à Waremme le 13 avril 1966.

Premier prix au Conservatoire Royal de Liège, il fut par la suite répétiteur de piano. Chef d’orchestre réputé, il dirigea de nombreuses formations en Belgique, en France, au Maroc et même au Vietnam.

Il fut aussi compositeur et éditeur de musique.