L’Inquisiteur Jamolet (Liège – Rome)

Au début du 16ème siècle, le moine JAMOLET Jean est délégué par le Saint-Siège, pour exercer l’office d’Inquisiteur Apostolique au pays de Liège.

JAMOLET Jean est docteur en théologie et père Carme Déchaussé. Il poursuit avec une ardeur féroce tous ceux qu’il suspecte d’être « mauvais catholiques ».

Sur l’affaire dite « des Luthériens », il voudra faire bon marché des privilèges des Liégeois.

François Dethier

DETHIER François est le fils de DETHIER Art et D’HEUR Jeanne.

Il épousera DE HODAIGE Catherine, en premières noces, et DE SOUMAGNE Anne, en secondes noces.

Baudouin de Mondersdorp (Waremme)

Entre 1374 et 1428, le chevalier DE MONDERSDORP DE MONTJARDIN Baudouin est châtelain de Waremme.

Ses parents sont DE MONDERSDORP DE MONTJARDIN Gerlach et DE JENEFFE Marie.

Il a épousé DE WENAUEN Marguerite en premières noces et D’ENGHIEN DE KESTERGAT Catherine en secondes noces.

Naissance de la Princesse Marie-Esméralda (Laeken)

Le 30 octobre 1956, la Princesse MARIE-ESMERALDA voit le jour au château de Laeken. Ses parents sont le Roi LEOPOLD III et BAELS Liliane, Princesse DE RETHY, seconde épouse du Roi.

Portrait de Mathieu Glade (Waremme)

Portrait de GLADE Mathieu en novembre 1864

Il était à Longchamps depuis son enfance. Il a connu la grand-mère de DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond. Il a été palefrenier à Paris, au n° 130 du Faubourg Saint-Honoré, chez DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent. Il a assisté aux jeux d’enfant de DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond. Il a vu l’ancien château de Longchamps. Il a assisté à la construction du nouveau château et à la création du parc. Il a travaillé à toutes les plantations. Il a été soldat en Hollande de 1811 à 1814. Il a été décoré de Sainte-Hélène en 1852. Depuis 1858, il a assisté à la transformation du parc de Longchamps. Il a aidé au transfert de la dépouille de DE SELYS-LONGCJHAMPS Michel-Laurent au nouveau monument du cimetière. Il a été chef des ouvriers du château de Longchamps, honnête, bon, dévoué, mais faible, dpminé par sa famille qui ne le vaut pas.

Liber Sureal de Warfusée, prêtre

A la mort de D’AWIR Agnès, son mari veuf, DE WARFUSEE Libert Sureal, est inconsolable et pense à la mort. Il va, néanmoins, trouver la consolation avec l’aide de ses amis et de sa fille, DE WARFUSEE Alix, qu’il chérit tendrement.

Il renonce à la profession des armes et fait vœu de devenir prêtre, afin consacrer le reste de ses jours à prier pour l’âme de sa femme.

Il réalise ce vœu et est ordonné prêtre. Il va célébrer la messe, tous les jours, dans la chapelle de son château de Warfusée et dans d’autres maisons de la région.

 

Agnès d’Awir (Warfusée)

D’AWIR Agnès est la fille de D’AWIR Hugues. Ayant atteint l’âge de se marier, elle est demandée en mariage par son proche voisin, DE WARFUSEE Libert Sureal. Par ce mariage, ils cumulent de grands biens et héritages. Agnès a, en effet, hérité des biens de son père décédé, D’AWIR Hugues. Par le mariage, DE WARFUSEE Libert Sureal va entrer en possession de ces biens.

Hugues d’Awir

D’AWIR Hugues, Seigneur d’Awir, de Hermalle, de Chaumont et d’Engy (Engis), a fait construire 3 moulins sur le ruisseau d’Awir. Cela le fera appeler « Le Riche Meunier » (et lui fera perdre le nom de « Hugues »).

Il épousera la soeur du Comte DE HOZEMONT. il décèdera peu après la naissance de leur fille, D’AWIR Agnès.

Liber Sureal de Warfusée

Après la mort de son père, DE WARFUSEE Otto, et de son frère aîné, DE WARFUSEE Raës, DE WARFUSEE Libert Sureal est obligé d’abandonner ses études religieuses pour devenir Chevalier, Seigneur de Warfusée. C’est un homme qui a beaucoup d’esprit et qui aime passionnément l’honneur et la gloire.

Il va acquérir de grands « héritages ».

Otto de Warfusée

Entre 1230 et 1260, DE WARFUSEE Otto est chevalier, Seigneur de Warfusée. C’est un homme prudent et sage, brave de sa personne, fort riche. Il se donne tout entier et de toute manière à l’exercice des armes.

Il a deux fils:

  • DE WARFUSEE Raës, qui choisira la profession des armes.
  • DE WARFUSEE Libert Sureal, qui choisira des études religieuses. Ce surnom de « Sureal » (Sorel – Soriaul ?) vient du fait qu’il était maigre et mince comme un hareng.