Portrait de Rita Hannot (Waremme)

Elle fut bourgmestre-faisant fonction de Waremme lorsque LEBURTON Edmond fut nommé président de la Chambre (de 1977 à 1979) et lorsque COEME Guy fut ministre (de 1988 à 1993). Pourtant, rien ne la prédestinait à une telle carrière politique.

Secrétaire du Comité Régional des Femmes Prévoyantes Socialistes de Waremme (dont elle sera ensuite présidente), HANNOT Rita entre au Conseil communal de Waremme en 1972, suite au décès de COUNE Henri. 6 mois plus tard, elle devient échevine à la disparition de MONJOIE Henri. Elle est réélue aux élections communales d’octobre 1976. En janvier 1977, elle occupe la fonction de première échevine et en juin de la même année, elle devient bourgmestre faisant-fonction.

C’est une femme à poigne, qui sait ce qu’elle veut. Elle pratique la main de fer dans un gant de velours. Mais elle est également très proche des gens et sait s’amuser.

Epouse de  LEDURE René, mère de LEDURE Marianne (également directrice des Femmes Prévoyantes Socialistes de Waremme).

Robert Meureau quitte son poste d’échevin pour celui de député provincial (Waremme – Liège)

Le 26 octobre 2012, le lendemain de son 56ème anniversaire, MEUREAU Robert prête serment de député provincial. Il obtient les compétences des Sports, des Finances et de Personnel Enseignant.

Il a été élu conseiller communal de Waremme pour la 1ère fois en 1982 et échevin en 1991.

Il rappelle quelques-unes de ses réalisations: 1) La construction de la Maison de Hesbaye et la rénovation des Maisons de Village de Bettincourt, de Bleret et d’Oleye. 2) La réalisation du Contrat de Rivière, qui a notamment permis d’améliorer les stations d’épuration de Waremme et d’en construire d’autres. 3) L’extension du zoning industriel de Waremme et la revitalisation urbaine (site Dengibeton et site du Rèwe). 4) L’aménagement de la Place Albert 1er. 5) La création du Village de Noël et du Marché du Soir.

Portrait de Pascale Hansez, patronne du « Créatelier 1.000 Pattes » à Waremme.

HANSEZ Pascale

Ancienne institutrice, HANSEZ Pascale s’est reconvertie dans le bricolage au début des années 2000.

Après avoir tenu un magasin dans sa cave à Oreye pendant 6 ans, elle a franchi le pas en novembre dernier, en ouvrant son commerce « Créatelier 1.000 Pattes » à Waremme.

Portrait du bijoutier Michel Hardenne, patron de la S.A. « Temps et Or » (Waremme)

HARDENNE Michel et LEMACHE Freddy

Fils de bijoutier hannutois, HARDENNE Michel (46 ans) est l’heureux propriétaire d’un commerce dans la capitale hesbignonne depuis 24 ans. Un immeuble dans lequel il habite. « Être riverain, c’est une motivation supplémentaire pour améliorer sans cesse l’attractivité de nos commerces », confesse-t-il. Il a été vice-président de l’Union des commerçants de Waremme au début des années 2000 « pendant deux ou trois ans ». Il avait ensuite été relayé par LEJEUNE Marielle. Un poste qu’elle continue à occuper actuellement.

Portrait de Jacques Chabot (Waremme)

CHABOT Jacques

En mars 2012, CHABOT Jacques est âgé de 58 ans et est le papa de sept enfants.

Il sera tête de liste PS aux prochaines élections communales à Waremme.

Economiste de formation, il est le coordinateur administratif des relations internationales Wallonie Bruxelles.

De 1976 à 1983, il a été conseiller communal de Waremme.

De 1983 à 1996, il a été échevin de Waremme et à gérer diverses compétences (jeunesse, culture, sports, …).

En 1996, suite à la démission de COEME Guy, condamné dans le cadre de l’affaire « INUSOP », il devient bourgmestre de Waremme. Il occupera cette fonction jusqu’en 2006.

En 2006, il se retire de la vie politique.

Portrait de Christophe Hardiquest (Waremme)

HARDIQUEST Christophe

HARDIQUEST Christophe qui participe à l’émission  » Comme un chef  » est un Hesbignon pure souche.

Ce soir débute la deuxième saison de l’émission culinaire de la RTBF  » Comme un chef « . Cette année, pas de candidat de notre région, ni de chef cuisinier… Euh, en fait si. Vous ne le saviez peut-être pas mais HARDIQUEST Christophe, le patron du Bon-Bon, restaurant 1 étoile à Bruxelles, est un Waremmien. Sa famille habite d’ailleurs toujours la région.

À 36 ans, HARDIQUEST Christophe est un des grands chefs actuels de la gastronomie belge. Les connaisseurs le savent. Son restaurant  » Bon-Bon  » à Bruxelles (Woluwé Saint-Pierre exactement) affiche d’ailleurs une étoile au prestigieux guide Michelin.

Et cocorico, ce chef étoilé est de chez nous! Et oui, HARDIQUEST Christophe est Waremmien et il le revendique.  » Je suis né à la clinique Joseph Wauters de Waremme en 1975 « , indique-t-il.  » À l’époque, mes parents habitaient juste derrière, rue des Fabriques. Je suis allé à l’école au Collège St-Louis et à l’Athénée avant de partir à l’école d’hôtellerie de Namur. J’ai aussi joué au foot à Oreye Union. Je suis en tout cas très attaché à mes racines hesbignonnes. D’ailleurs, je reviens souvent dans la région pour voir mes amis et ma famille. Ma grand-mère paternelle habite toujours Waremme. Ma maman vit à Remicourt et mon papa à Awans.  »

Chez sa grand-mère à Crisnée

C’est chez sa grand-mère maternelle que Christophe a découvert le goût de la cuisine artisanale. Son premier fait d’armes culinaires, c’est un gâteau pudding vanille et petits beurres, à 8 ans.

 » Lorsque j’étais gamin, j’allais souvent passer le week-end chez elle « , explique le chef.  » Elle était d’origine tongroise mais vivait à Crisnée. Elle faisait tout elle-même. Son pain, son jambon, son boudin, ses pâtisseries… C’était extraordinaire. Elle m’a aussi fait découvrir les fraises écrasées sur la tartine au petit déjeuner. Délicieux. C’est vraiment chez ma grand-mère que ma passion pour l’art culinaire est née.  »

Une passion et une expérience qu’il va transmettre aux candidats de l’émission télévisée de la RTBF  » Comme un chef  » dont le premier volet est diffusé ce soir à 20h20.  » Je trouvais sympa l’idée de coacher des jeunes. J’avais jeté un coup d’œil sur la première saison l’an dernier et c’était pas mal. Depuis qu’il y a toutes ces émissions, beaucoup de gens veulent se lancer dans le métier. C’est bien pour notre profession et nos établissements. L’expérience était en tout cas très chouette. Il y avait des niveaux différents chez les jeunes. Je me suis attaché à tous. Les émissions? Je ne les ai pas vues. Je vais les enregistrer. Je me réjouis de voir ce que ça donne…  »

Le chef du Bon-Bon est fier de ses racines waremmiennes.

Portrait de Pierre Hamblenne (Waremme)

HAMBLENNE Pierre

La griffe de vêtements, lancée par HAMBLENNE Pierre, a fini par créer de l’emploi

L’aventure commence fin de l’année 2007: alors que HAMBLENNE Pierre étudie encore aux HEC en deuxième bachelier, il décide de tout consacrer à un projet. Lancer une nouvelle marque de vêtements, maintenant connue de tous et portée à l’envi:  » J & Joy « .

 » Je devais prendre une décision et me concentrer sur mon activité, avec l’idée de peut-être reprendre un jour mes études « , explique le jeune homme de 24 ans, originaire de Waremme.

Reprendre ses études: il n’en aura pas l’occasion. Une fois lancé dans la gestion de sa griffe qui sera établie en totalité sur fonds propres, la charge de travail a occulté toute autre préoccupation:  » Jusqu’en 2010 je n’avais pas les moyens de me faire aider. Je faisais tout: le dessin, la production, le contrôle qualité, la distribution, les commandes… Début 2010, je ne dormais plus! « , se souvient le créateur de la marque liégeoise.  » Et ce n’est pas parce que l’activité augmente que les rentrées suivent tout de suite! Heureusement, j’ai découvert les formules d’engagement Win-Win ou PFI (Plan Formation Insertion), qui permettaient d’engager à moindres frais, pour me soulager dans les tâches administratives, par exemple « .

Premiers collaborateurs

Via le Forem, il trouve la perle rare: son premier collaborateur qui est devenu son bras droit.  » Il n’a pas de formation particulière mais il a un bon sens commercial et est très polyvalent « , explique le Waremmien. Pour le dessin de ses vêtements, il peut se reposer sur une jeune styliste qui a débuté en travaillant chez J & Joy comme étudiante. Cette petite structure, qui assure une ambiance confortable à ses employés, travaille également avec des indépendants: un graphiste pour les campagnes de pub, un photographe, un gestionnaire de réseaux sociaux…

Aujourd’hui, les débuts en solitaire semblent loin. La marque liégeoise est produite à Tirupur, en Inde, où deux personnes veillent à la bonne réalisation des produits et, surtout, à leur qualité. Rôle que remplissait Pierre à coup d’aller-retour Belgique-Inde! Par le choix d’une usine respectant les salaires de ses employés et refusant le travail des enfants, Pierre Hamblenne fait un choix éthique, qui lui coûte plus cher mais qui lui permet de dormir la nuit, comme il l’a confié dans un document de RTL-TVI. L’usine de Tirupur assure la gratuité de la scolarité pour les enfants des employés, les soins médicaux et l’accès à l’eau potable. Un geste dont peu de grandes marques peuvent se targuer. D’ailleurs, J & JOY est la première PME en région wallonne à détenir son propre fonds philanthropique à la Fondation Roi Baudouin, qui gère des projets caritatifs.

Le parcours de HAMBLENNE Pierre encouragera sans doute les âmes d’entrepreneurs. Pour ceux qui préfèrent prendre le train en marche, le Waremmien nous donne le profil du bon commercial, à ses yeux:  » Quelqu’un de polyvalent, qui maîtrise plusieurs langues pour pouvoir encadrer les démarches d’exportation. Je suis ouvert à l’apprentissage sur le tas, car aucune école ne forme à ce métier « .

Il est loin le temps où HAMBLENNE Pierre gérait seul la griffe J and Joy.

Portrait du peintre Waremmien Patrick Haugen (Waremme)

HAUGEN Patrick

Le peintre waremmien peint père Noël dans tout l’arrondissement Huy-Waremme

Durant encore une quinzaine de jours, HAUGEN Patrick (46 ans) sillonnera les commerces de l’arrondissement pour y décorer les vitrines aux couleurs des fêtes de fin d’année. Armé de ses pinceaux, l’artiste hesbignon réalise de petites merveilles pour un budget très raisonnable. Rencontre.

Adolescent, HAUGEN Patrick reproduit déjà des pochettes de disques, pour le plaisir.  » Je ne comprenais pas comment les autres n’y parvenaient pas, tant cela me paraissait évident « , se souvient-il. Le jeune Waremmien effectue ensuite des humanités artistiques, puis des études supérieures au sein de la section peinture de Saint-Luc à Liège.

Et voilà une vingtaine d’années qu’il vit, ou parfois survit, de cette passion ancrée au plus profond de lui-même.

Depuis début novembre, la saison des décorations de vitrines est ouverte pour Patrick. Cafétéria de la piscine de Huy, friterie de Wasseiges, café des supporters du Standard à Oreye, commerces divers à Waremme… L’artiste travaille tous azimuts.  » Cette période de l’année est pour moi davantage alimentaire « , explique-t-il.

 » Dessiner des pères Noël, des fées et des étoiles, bien que je maîtrise parfaitement la technique, ce n’est pas ma tasse de thé. Mais cela me permet d’engendrer quelques rentrées financières.  »

À voir la qualité des réalisations de l’artiste, on le taxerait bien de fausse modestie! Dans le bistrot waremmien  » La Brasserie « , avenue Reine Astrid, HAUGEN Patrick a réalisé une véritable œuvre d’art dont tout le monde parle.  » J’ai repris  » le Repas de noces  » de Breughel, interprété à ma manière et adapté au 21e siècle « , commente le Waremmien.  » Les personnages de l’époque ont été remplacés par le patron de l’établissement, sa femme, son fils et quelques clients. Je suis un peu frustré quand certains clients pensent que certaines parties ont été imprimées, alors que tout a été peint de ma propre main…  »

Plus ludiques, certaines décorations de vitrines traitent de l’actualité politique. L’été dernier, HAUGEN Patrick a mis en scène Bart De Wever et Elio Di Ripo sur la devanture d’une boulangerie de Waremme.  » De Wever n’est pas vraiment un ami « , sourit-il.  » Je l’ai représenté sur la plage, avec un regard fuyant, un cocktail de jus de Wallon et la pelle du fossoyeur à la main. Di Rupo, je l’ai fait très maigre, avec son nœud papillon. On voit aussi passer la tête de Reynders qui demande désespérément que les autres lui laissent une toute petite place… « 

Portrait de Emilio Lopez Menchero, créateur de la statue de « L’Homme Bulle » (Waremme)

emilio lopez menchero

emilio lopez menchero

Quelques commentaires inscrits sur l’Homme Bulle, dans le cadre de « Aux Arts Etc », alors que la sculpture campait à Waremme, non loin de l’Hôtel de Ville :

« Rien qu’un homme à la rue qui attend comme la cloche que quelqu’un d’autre lui dise pourquoi il est là ». « Cultures-tu ? ». « Porte-parole ouvert à tous ». « Veux-tu m’épouser ? ». « Super le Centre culturel de Waremme, l’équipe est géniale, les spectacles de qualité. Dommage que ces gens soient mal payés ! ». « On t’aime Papa ! ». « Sacré Jacky ! ». « Surtout ne pas se dégonfler ». « Tout le monde s’appelle Roger ».

Les Waremmiens, on le voit, s’en sont donné à cœur joie. Ils ont tagué à volonté la bulle de l’« Homme Bulle » de MENCHERO Emilio López. Ils l’ont même tatoué d’une grande marguerite, d’un monumental point d’interrogation, ont débordé sur son costume trois pièces, l’ont affublé de moustaches et ont redessiné ses yeux. « Bulle à savon, bulle à idées, attention ça glisse ». Bref, ils se l’ont approprié. Après avoir été installé à Bruxelles et avant de rallier Liège, l’ « Homme Bulle » était à Waremme, campant dos à l’hôtel de police et face à l’Hôtel de Ville.

Architecte de formation, MENCHERO Emilio López ne pratique pas, mais considère l’espace public et urbain comme un espace critique et y intervient régulièrement. Performances, installations, commandes publiques jalonnent son parcours. On le soupçonne de vouloir tatouer la Spanner Haus d’Adolf Loos. Très sévère par rapport à toutes les dérives que le « Crime et ornement »de l’architecte viennois a généré, il cite volontiers Hans Hollein et son Manifeste de 1968 : « Alles ist Architektur ». Tout est architecture, y compris la construction de soi. Ainsi, il habite la ville de Gand du cri de Tarzan, exporte, en guise de bancs publics, des frites géantes en Norvège, dessine une bâche de camion dont il mesure la capacité maximum à échelle humaine, constatant que deux cents individus, serrés en rangs d’oignons, pourraient y prendre place. À Ixelles, il reconfigure la friche de la place Flagey en « projet Potemkine », dressant, en quelques heures, une rue de toiles à la manière des faux villages prospères érigés par le favori de Catherine II en Ukraine. À Ath, il introduit un géant, Monsieur M, monsieur Moderne, au cœur de la procession des géants séculaires de la cité. On lui doit, bien sûr, « Pasionaria », ce porte-voix monumental installé à proximité de la gare du Midi à Bruxelles. Orientée vers la gare, ce lieu de confluence, référence à un épisode de la Guerre d’Espagne, « Pasionaria » matérialise la parole manifeste. Cette commande publique est dédiée à tous les migrants dans un lieu où se déroulent de régulières manifestations sociales et politiques.[i]

Monsieur Moderne, le géant d’Ath, ressemble à ces silhouettes anonymes esquissées par l’architecte théoricien Ernst Neufert, auteur des célèbres « Eléments des projets de construction », cette base méthodologique de la mesure de toute chose, de la norme et des prescriptions, publiée pour la première fois en 1936 à Berlin. Les silhouettes qui parsèment les croquis domestiques et vernaculaires de Neufert, traversent depuis longtemps déjà, les œuvres de MENCHERO Emilio López. L’ « Homme Bulle » leur ressemble aussi. Citadin en complet veston, il est, au même titre que le porte-voix bruxellois de la « Pasionaria », un espace relationnel. De sa bouche s’échappe un monumental phylactère. Bulle ronde, vide, immaculée, c’est une muette invitation. La sculpture n’est pas un objet à regarder, mais une situation à composer. L’œuvre est en quelque sorte inachevée et son achèvement plastique suppose que le spectateur y mette la dernière touche. Au stylo feutre, bien entendu, à la bombe aérosol. Rien n’est imposé, au contraire, c’est une situation ouverte, à l’état de passage, où l’intersubjectivité se révélera mécanisme de création, la nature processuelle de la réalisation faisant de l’œuvre un événement[ii]. Le graffiti, le tag, l’empreinte directe, sont autant de signes de la culture urbaine contemporaine ; ici, ils permettront de créer de l’« être ensemble ». Être ensemble, artiste et regardeur, être ensemble, grapheurs d’un jour, tagueurs d’occasion, rassemblés sur la bulle. Campé sur le trottoir, l’« Homme Bulle » est le porte-parole de la population. Il sollicite le passant, lui propose de s’évader de ce tout ce qui est conforme, prescrit, recommandé, correct ou anonyme pour un moment de libre expression.

Portrait de Gaëtan Englebert (Waremme – Saint-Trond)

ENGLEBERT Gaëtan

Né à Liège le 11 juin 1976, il habite Waremme et Coxyde. Il est marié et papa de deux petites filles, Emma (7 ans) et Noémie (4 ans). Depuis juillet 2011, il joue à Coxyde, club de D3A; il y a signé un contrat de 2 ans. Il occupe la place de médian régulateur.

Son parcours: il a été formé et découvert en D2 à Liège. Il a fait ses débuts en D1 à Saint-Trond et y a joué de 1997 à 1099. Il a ensuite joué neuf saisons au FC Bruges de 1999 à 2008, deux à Tours et une à Metz en Ligue 2 française. Il a joué 367 matches et a inscrit 29 buts en D1 belge.

Son palmarès: trois Coupes de Belgique, deux titres de champion de Belgique, deux Supercoupes avec Bruges. Neuf matches (21 sélections) en équipe nationale entre 2001 et 2007.