En 1843, les architectes français, VIOLLET-LE-DUC Eugène et LASSUS Jean-Baptiste-Antoine, entament la restauration de la Cathédrale Notre-Dame de Paris.
Le 29 août 1792, un mandement du doyen de l’église cathédrale de Liège, « sede vacante », défend, sous peine d’amende, à tous fermiers, censiers et autres, de faire dans la ville de Waremme, des meules ou moïes de grains, de pailles ou de foins.
Le 6 novembre 1429, le conseil de Waremme fait un rapport concernant les biens situés dans sa juridiction et appartenant à l’Aumône de la cathédrale. Le conseil est composé de:
Le 15 novembre 1372, la Cour Allodiale de Liège fait savoir que DE MOUHIN Ameil a cédé aux « renteis » de la Cathédrale de Liège la propriété d’environ six bonniers, douze verges grandes et dix verges petites des terres situées dans la juridiction de Waremme, entre Muhein (Mouhin) et Bethincourt (Bettincourt).
En 1353, le Chapitre de la cathédrale Saint-Lambert de Liège possède les deux-tiers de la dîme de Waremme et le Chapitre de la Collégiale Saint-Paul un tiers. Une divergence naît quant à la prise en charge des frais de reconstruction de l’église de Waremme.
Une sentence arbitrale de DE LIVERLO Lambert décide que la Cathédrale Saint-Lambert sera tenue de payer les frais de construction du vaisseau de l’église et que la Collégiale Saint-Paul sera tenue de payer les frais de construction du chœur. Quant au transept, les frais de construction seront répartis pour moitié entre les deux Chapitres.
A partir de 1213, en récompense du rôle brillant joué par leur corporation à la Bataille des Steppes gagnée par les Liégeois contre les Brabançons, les bouchers, appelés aussi mangons, obtiennent le privilège de sonner les cloches à la Cathédrale Saint-Lambert, le jour anniversaire de cette victoire.