Le 17 septembre 1913, le Curé-Doyen de Waremme, l’abbé MATERNE Désiré, est nommé Chanoine Titulaire de la Cathédrale de Liège.
Archives de catégorie : Chanoine
Création du Patronage des Saints-Anges (Waremme)
En 1889, le « patronage des Saints-Anges » est fondé à Waremme par le chanoine SAAL et par Madame JACQUES-HOUSSA. Elle en sera la présidente pendant près de vingt ans.
Les restes d’Abélard et d’Eloïse, au Père-Lachaise (France)
La collégiale Saint-Pierre de Liège possède des terres à Waremme
Le 8 juin 1453, JAQUEMIN Jean, dit « Fabry », chanoine de Saint-Pierre à Liège, déclare que cette collégiale est propriétaire du tiers de plusieurs terres situées sur le territoire de Waremme.
Jean Gatelier revendique des terres (Waremme)
Le 8 mai 1409, GATELIER Jean de Waremme déclare être propriétaire de deux pièces de terre, situées audit Waremme, par devant DE VOROUX Jacquemiens, maire de la Cour des Tenants de Rennekiens ( ?) de Bettincourt, chanoine de la collégiale de Saint-Jean à Liège.
La dîme de Waremme
Le 9 novembre 1230, Pierre, Evêque d’Albanie et Légat du Pape, décide que le produit de la dîme de Waremme sera distribué à ceux des 10 chanoines de Saint-Lambert qui assisteront avec assiduité aux Heures Canoniales. Les Heures Canoniales sont des offices liturgiques qui sont consacrés à la prière, en plus de la messe quotidienne : les matines (ou vigiles) dans la nuit, les laudes à l’aurore, la prime à la première heure du jour, la tierce à la troisième heure du jour, la sexte à la sixième heure du jour, la none à la neuvième heure du jour, les Vêpres le soir et les Complies avant le coucher.
Henri 1er de Leez a autorité sur la paroisse d’Axhe
En 1136, l’abbé de Saint-Denis de Paris confère le « personnat » de son église de Grand Axhe au chanoine de Saint-Lambert à Liège, HENRI Ier DE LEEZ. Celui-ci exerce donc, dorénavant l’autorité sur le prêtre desservant la paroisse d’Axhe.
Ce prêtre peut exploiter douze bonniers de terre arable exonérés de taxe, y construire une demeure et y entretenir un jardin. La petite dîme et les offrandes faites à l’autel appartiennent au curé desservant, tandis que les effets de la grosse dîme doivent retourner à Saint-Denis, à Paris.

