Démolition de la chapelle de la ferme de Remikette

En 1872, la chapelle de la ferme en carré du hameau de Remikette à Les Waleffes est démolie. Elle datait de 1729.

Chapelle à la ferme de Les Waleffes

En 1729, l’abbesse des Soeurs du Val-Notre-Dame, DE BOILEAU Lutgarde, fait construire et consacrer une chapelle à la ferme que la congrégation possède au hameau de Remikette à Les Waleffes.

Le tumulus d’Otrange

En 1993, un examen pédologique réalisé par FECHNER K., à la demande de Musées Royaux d’Arts et d’Histoire de Bruxelles, sur l’éminence située le long de la chaussée romaine « Bavai – Cologne », à Otrange, surmontée d’une chapelle Saint-Eloi, et classée par Arrêté Royal comme tumulus en 1975, confirme qu’elle est bien naturelle.

Le tumulus d’Otrange

Le 26 mai 1975, une éminence, le long de la chaussée romaine « Bavai – Cologne », à Otrange, surmontée d’une chapelle Saint-Eloi, est classée par Arrêté Royal comme tumulus (mais elle est probablement naturelle).

Restauration de la chapelle Saint-Pierre (Waremme)

En 1960, la commune de Waremme fait restaurer l’intérieur de la chapelle Saint-Pierre, située rue du Pont.

Rénovation de la chapelle Saint-Pierre (Waremme)

En 1935, le chanoine AANDEKERK, curé-doyen de Waremme, fait rénover la chapelle Saint-Pierre, située rue du Pont.

Les mottes castrales (Hesbaye)

Aux 9ème et 10ème siècles, le plan des mottes castrales de Hesbaye est simple: elles sont formées d’un tertre artificiel de terre, entouré d’un fossé et d’un rempart constitué de pieux, et surmonté d’une construction de bois en forme de tour, servant à la fois de donjon défensif et de logis. A cette motte, un enclos, appelé « basse cour », est adjoint. Il est lui aussi défendu par le fossé et par un rempart. Il abrite les annexes agricoles, des logis et parfois une chapelle.

Reconstruction de la chapelle Saint-Eloi (Oreye)

En 1830, la chapelle Saint-Eloi est reconstruite sur une éminence bordant l’ancienne chaussée romaine qui relie Oreye à Tongres.

Démolition de l’ancienne église (Crisnée)

Le 17 avril 1900, le premier coup de pioche de la démolition de l’ancienne église est donné à Crisnée, 3 ans après la prise de décision.

Pour assurer les cérémonies du culte, un hangar en bois, sans plancher, est accolé à la chapelle « Notre-Dame de lourdes », au lieu-dit « Â Pont ». C’est là que les paroissiens de Crisnée devront « aller à messe » pendant un long moment.

La chapelle Notre-Dame de Lourdes (Crisnée)

En 1898, la famille MARNEFFE-COX N., de retour d’un pèlerinage à Lourdes, fait élever au bout de son jardin, près du pont de Crisnée, une chapelle dédiée à Notre-Dame de Lourdes, en remerciement pour une guérison obtenue.

Le curé du village, l’abbé SIMONET Joseph, y célébrera les offices durant la construction de la nouvelle église. Un grand baraquement en planches, couvert, est ajouté à la chapelle pour mettre les fidèles à l’abri des intempéries.