Mort de Jean-Louis Poisse (Thys)

En 1661, POISSE Jean-Louis, de Thys, est blessé d’un coup de pot à tirer la bière. Il décèdera de sa blessure. Le coupable sera condamné à un « voyage » à Notre-Dame de Moumalle.

La chapelle Notre-Dame (Thys)

En 1564, une chapelle dédiée à Notre-Dame est construite dans la nef droite de l’église Saint-Pierre de Thys.

L’église devient chapelle auxiliaire (Thys – Crisnée)

En 1802, lors de la réorganisation diocésaine, l’église Saint-Pierre de Thys est annexée à celle de Crisnée, dont elle devient chapelle auxiliaire. Elle le restera jusqu’en 1848.

Mort de Barthold de Wanzoulle (Liège)

Le 28 mars 1748, l’abbé d’Amay et grand prévôt de Saint-Lambert, DE WANZOULLE Barthold décède à (?). Il a été l’un des plus habiles diplomates de la Principauté de Liège. Il sera inhumé dans la « Chapelle des Flamands » de la cathédrale de Liège.

La chapelle Saint-Michel détruite (Ligney – Darion)

Vers 1700, la chapelle « Saint-Michel » de Ligney est déclarée « omnino destructa » (c-a-d complètement détruite). Le bénéfice (quelques messes par semaines) est transféré à l’autel de Darion.

Les vitraux de la chapelle (Ligney)

En (?), Monsieur ROMAINVILLE offre de beaux vitraux pour la chapelle « Notre-Dame de Lourdes », de Ligney.

Donation de la chapelle Notre-dame de Lourdes (Ligney – Darion)

En 1921, l’abbé LEFEBVRE Edmond, héritier de la chapelle « Notre-Dame de Lourdes », à Ligney, en fait donation à la Fabrique d’Eglise de Darion.

Bénédiction de la chapelle Notre-Dame de Lourdes (Ligney)

Le 24 septembre 1898, la bénédiction inaugurale de la chapelle « Notre-Dame de Lourdes » est célébrée à Ligney. Elle a été construite par les familles SEPULCHRE-CARTUYVELS et LEFEBVRE-CARTUYVELS.

La chapelle « Notre-Dame de Lourdes » (Ligney)

En 1898, les familles SEPULCHRE-CARTUYVELS et LEFEBVRE-CARTUYVELS font construire la chapelle « Notre-Dame de Lourdes », au lieu-dit « Les Tiges » à Ligney, en remerciement de la guérison de « Mamie », un enfant de leur famille.

Mort de Jean Joannes (Darion)

En 1834, JOANNES Jean, dit « Le Solitaire », décède à Darion.

Il a combattu dans les armées napoléoniennes. A son retour au village, il a tué sa fiancée qu’il croyait lui avoir été infidèle. Il s’est enfui dans « Les Grignas », un endroit marécageux du Brouck de Darion, où pousse une végétation touffue que surmonte un épais taillis. Cet endroit, peu sûr, jouit d’une sorte de « droit d’asile ». Il y a trouvé refuge et y a vécu caché, solitaire, y purgeant, en quelque sorte, une peine pour son crime.

A sa mort, il a légué ses biens à la Fabrique d’Eglise de Darion: 10 verges grandes de terres (soit 43 a 58 ca).

La chapelle du Crucifix sera érigée pour perpétuer son souvenir.