En 1950, la commune de Waremme acquiert une parcelle de terrain de la congrégation des Filles de la Croix, afin de réaliser la prolongation de l’avenue Guillaume Joachim.
Archives de catégorie : Congrégation des Filles de la Croix
La salle de gym des Filles de la Croix (Waremme)
En 1937, des accessoires de gymnastique sont installés dans la salle d’exercices de l’Institut des Filles de la Croix de Waremme.
Chauffage central pour les soeurs (Waremme)
En 1936, le chauffage central est installé dans les cellules des soeurs de l’Institut des Filles de la Croix, à Waremme.
Une nouvelle cloche pour les soeurs (Waremme)
En 1933, une nouvelle cloche est installée dans la chapelle de l’Institut des Filles de la Croix, rue Joseph Wauters, à Waremme.
Remplacement de « prie-Dieu » (Waremme)
En 1932, des bancs remplacent les « prie-Dieu » dans la chapelle de l’Institut des Filles de la Croix, de Waremme.
L’Ecole Moyenne Ménagère Agricole s’agrandit (Waremme)
En 1928, l’Ecole Moyenne Ménagère Agricole de l’Institut des Filles de la Croix, de Waremme, est agrandie. Une cuisine, une salle de famille, une salle de repassage, une buanderie, une laiterie et une fromagerie sont aménagées. Au 1er étage, les soeurs installent 4 classes pour l’école primaire et au 2ème étage, un dortoir pour une trentaine de pensionnaires.
Les travaux sont réalisés par l’entrepreneur STAS François, de Bergilers.
Nouveaux bâtiment chez les soeurs (Waremme)
En 1925, la congrégation des Filles de la Croix de Waremme fait construire une petite bâtisse, près de la prairie. Elle comprend une étable voutée, un fenil, une porcherie, une pièce avec cheminée pour la cuisson de la nourriture du bétail.
La façade donne sur le jardin et présente une niche, réservée à la statue de Saint-Benoit.
Les travaux sont réalisés par l’entrepreneur STAS François, de Bergilers.
Naissance de Jeanne Haze (Liège)
Portrait de « Mélanie kète di bwès » en 1950 (Waremme)
WAGELMANS Mélanie, dite « Mélanie kète di bwès », naît en 1857 à Corthys, petit village limbourgeois situé entre Waremme et Hannut. D’origine flamande, elle épouse un wallon. Après avoir perdu son mari, elle quitte son village de Crehen et vient s’installer à la rue des Prés à Waremme, le 21 juin 1919.
Durant toute sa vie, elle va conserver les accents de sa langue maternelle, à laquelle elle ajoutera des mots de français et de wallon, pour en faire un langage patoisant tout à fait personnel.
A la rue des Prés, elle habite un ancien baraquement militaire en bois, adossé au talus d’une prairie, non loin des décanteurs de la Sucrerie. Au fil du temps, ce baraquement devient un véritable taudis, d’où s’exhalent des odeurs fétides. Son logement lui sert à la fois de cuisine, de chambre à coucher et de cabinet d’aisance.
Elle survit grâce à une maigre pension de vieillesse, dont elle arrondit le montant d’aumônes de personnes charitables ou de petites sommes de vagabonds de passage qui partagent son lit.
Son sobriquet de « Mélanie kète di bwès » lui est donné par analogie au sexe des hommes, auxquels elle a emprunté la manière de monter à califourchon les chevaux de labour de la Ferme du Moulin, où elle effectue des travaux de temps à autre.
De nature peu exigeante, elle se satisfait d’un rien pour vivre. Elle se nourrit le plus souvent de soupe, que les soeurs des Filles de la Croix lui préparent, de lard, de pain et de lait, dont elle reçoit quotidiennement un cruchon à la Ferme du Moulin. Elle puise l’eau dont elle a besoin dans une mare alimentée par une source.
Un beau jour, les autorités communales de Waremme décident de la placer à l’hospice de Geer.
Elle y meurt, le 28 décembre 1950, à l’âge de 93 ans.
Une école ménagère s’ouvre à Waremme
En 1882, la Congrégation des Filles de la Croix ouvre une école ménagère à Waremme.
