L’Arbre de la Liberté est planté (Waremme)

Le 25 décembre (octobre ?) 1792, les troupes françaises du général DIETTMAN décident de planter un « Arbre de la Liberté » devant la maison LEJEUNE-D’ANGLURE, qui sera plus tard appelée « Maison Réard ».

C’est la fin de la Principauté de Liège. Waremme fait alors partie du Département de l’Ourthe. Les couvents sont fermés et vendus (ils seront démolis plus tard). La conscription obligatoire envoie combattre aux quatre coins de l’Europe, une vingtaine de Waremmiens mis au service de Napoléon. Plusieurs n’en sont jamais revenus.

Une épidémie de Peste (Waremme)

En 1669, une épidémie de peste fait son retour à Waremme. Le foyer de l’infection semble être le couvent des Sépulchrines. Le conseil de la ville interdit à quiconque de sortir du couvent, de jour comme de nuit, et autorise tout un chacun à faire feu sur ceux qui enfreindraient l’arrêté.

Les deux premières Sépulchrines s’installent à Waremme

En 1640, deux religieuses de l’Ordre du Saint-Sépulchre, sorties de la maison de Huy, viennent à Waremme avec le consentement de leurs supérieurs pour s’établir dans le couvent des Sépulchrines, où elles s’occuperaient de l’instruction des jeunes personnes de leur sexe.

Les Sépulchrines achètent une maison pour y fonder un couvent (Waremme)

Le 17 juillet 1640, la Dame LUCAS Anna, prieuse des Sépulchrines de Waremme, acquiert une maison particulière, une cour, un cortizeau et ses appendices, appartenant à BOUX Jean Gisbert, située à l’angle de la ruelle du Curé (qui deviendra plus tard la rue Charles Lejeune) et de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters) pour y établir le couvent des Sépulchrines.

Remarque: A cet emplacement s’installera plus tard la gendarmerie, l’école communale, la Société d’Harmonie, l’Académie de Musique.

Un couvent des Sépulchrines s’installera à Waremme

En 1638 est initié le projet de fonder un couvent des Sépulchrines à Waremme (à l’endroit qui deviendra bien plus tard la Place de l’Ecole Moyenne).