En 1143, par une Bulle pontificale, le Vatican reconnaît l’indépendance du couvent de Flône et l’érige en abbaye.
Archives de catégorie : Couvent
Dette de Johan de Boëlhe
Vers 1580, DE BOËLHE Johan et son épouse Anne ont une dette à l’égard du « Couvent Sainte-Claire », à Liège, où leur fille est religieuse.
Nicolas Parfondry, Père Récollet (Waremme)
Vers 1740, le Père PARFONDRY Nicolas est membre de la Confrérie des Pères Récollet, à Waremme.
Nicolas Parfondry, curé (Oreye – Waremme)
En 1743, le Père Récollet de Waremme, l’abbé PARFONDRY Nicolas, est nommé curé de la paroisse Saint-Clément d’Oreye. Il exercera cette fonction jusqu’en 1745.
Mort d’Elisabeth Rijkmans (Oleye – Saint-Trond)
Le 30 septembre 1918, la religieuse RIJKMANS Elisabeth, native d’Oleye, dite: « Soeur Marie-Lutgarde des Cinq Plaies de Notre-Seigneur », décède au Couvent des Ursulines de Saint-Trond.
Elisabeth Rijkmans prononce ses voeux (Oleye – Saint-Trond)
Le 8 février 1880, RIJKMANS Elisabeth, native d’Oleye, prononce ses voeux de religieuse au Couvent des Ursulines de Saint-Trond. Elle prend le nom de « Soeur Marie-Lutgarde des Cinq Plaies de Notre-Seigneur ».
Elisabeth Rijkmans prend le voile (Oleye – Saint-Trond)
Le 23 septembre 1877, RIJKMANS Elisabeth, native d’Oleye, prend le voile au Couvent des Ursulines, à Saint-Trond.
Mort de Constance de Sélys (Waremme – Longchamps)
Le 22 juin 1709, DE SELYS Constance décède à (?), à l’âge de 39 ans. Elle a été religieuse dans un couvent pendant 23 ans. Une dalle funéraire sera installée sur une tourelle d’angle du château de Longchamps à Waremme.
Les ordres et congrégations religieux sont supprimés (Waremme – Belgique – France)
Le 1er septembre 1796 (15 fructidor de l’An IV), une loi française ordonne la fermeture des maisons ou établissements religieux, couvents, monastères, abbayes et prieurés; supprime tous les ordres et congrégations réguliers des deux sexes, en Belgique, et confisque leurs biens au profit de la République.
Cette loi accorde:
- aux religieux, un bon de 15.000 francs
- aux religieuses, un bon de 10.000 francs
- aux frères laïcs, un bon de 5.000 francs
- aux soeurs converses, un bon de 3.334 francs
Ces bons ne peuvent être employés qu’en acquisition de biens nationaux.
Les religieux doivent sortir de leur couvent dans les 20 jours après la réception de leur bon et quitter en même temps le costume religieux.
A Waremme:
- au couvent des Sépulchrines: 12 religieuses et 2 soeurs accepteront le bon;
- au couvent des Récollets: 11 religieux et 6 frères accepteront le bon.
Le Législateur prévoit une exception à cette suppression pour les maisons religieuses qui ont pour objet l’éducation publique ou le soulagement des malades et qui tiennent réellement des écoles ou des salles de malades.
La direction des domaines nommera des commissaires pour faire l’inventaire des biens et meubles des couvents supprimés et préparer leur vente publique.
Note:
Le bon que le gouvernement présente à chaque religieux fera l’objet d’une vive controverse. Il s’agit de savoir s’il est permis de l’accepter. Les uns soutiennent qu’en l’acceptant, on approuve la loi de suppression et on coopère à son exécution; qu’en rachetant les biens de son couvent avec ce bon, on viole son voeu de pauvreté. Les autres répliquent qu’en acceptant le bon, on accepte simplement une partie de ce qui a été injustement enlevé au couvent et qu’en rachetant au moyen de ce bon les biens de son couvent, on ne fait que racheter son propre bien. La plupart des religieux et religieuses du département de l’Ourte croient que l’acceptation du bon est licite.
Les Français et les religieux (Belgique – France)
En 1795, dès leur entrée en Belgique, les Français donnent aux religieux et religieuses pleine liberté d’abandonner leur état. Ils leur garantissent même une pension viagère sur les revenus de leur couvent.
Ils résisteront presque tous à la tentation.