Les Sépulchrines de Waremme

En Pluviôse An V (janvier 1797), il y a toujours 12 religieuses et 2 soeurs au Couvent des Sépulchrines de Waremme.

Les Récollets de Waremme

En Pluviôse An V (janvier 1797), il y a toujours 11 religieux et 6 frères au Couvent des Récollets de Waremme.

Les Sépulchrines de Waremme

Vers 1750, il y a 18 sœurs au Couvent des Sépulchrines de Waremme. Elles se donnent à l’instruction publique. Leur pensionnat est très fréquenté.

Mort de Bertheline de Boulant (Metz)

Le 25 (28 ?) septembre 1550, DE BOULANT Bertheline décède au couvent de Dames Prêcheresses à Metz (?). Elle était veuve du chevalier DE GOURNAIX François.

Bertheline de Boulant au couvent (Metz)

Le 19 mai 1529, DE BOULANT Bertheline, veuve du chevalier DE GOURNAIX François (LE GRONNAIS), se retire au couvent des Dames Prêcheresses à Metz (?).

Catherine de Jeneffe, moniale (Waremme – Jeneffe)

En 1276, DE JENEFFE Catherine est moniale au couvent du Val-Benoit. Elle est la fille de DE JENEFFE Guillaume, qui a été châtelain de Waremme. Elle est la soeur de DE JENEFFE Baudouin, dit « Le Vieux », qui a succédé à leur père comme châtelain de Waremme.

Mort de Thierry de Haneffe

En (?), DE HANEFFE Thierry, chevalier banneret, est inhumé aux Frères Mineurs à Huy. Il était le fils de DE DAMMARTIN Eustache, seigneur de Neufchâteau, et de DE HANEFFE Berthe. Il a épousé D’ARCKEL (?).

Les accès de folie de Madame Lejeune (Waremme)

Le 9 octobre 1842, RAYMAECKERS Marie-Adélaïde-Christine, l’épouse du bourgmestre de Waremme, LEJEUNE Charles-Michel-Joseph, est emmenée au Couvent de la Chartreuse à Liège, en raison de ses fréquents accès de folie furieuse.

Le couvent des Chartreux accueille des aliénés (Liège)

En 1829, le Couvent des Chartreux, à Liège, est aménagé en maison d’accueil pour les aliénés. Il remplira cette fonction jusqu’en 1853.

Restauration de l’église Saint-Pierre (Waremme)

En février 1804, la vieille église Saint-Pierre de Waremme fait l’objet d’une importante restauration. Cette remise en état s’avère nécessaire car l’édifice a servi de magasin militaire pendant les premières années du Régime Français, période pendant laquelle le culte a été célébré dans la chapelle du couvent des Récollets. Cette utilisation l’a complètement délabrée.

Elle n’est rendue au culte qu’au prix de grandes dépenses et d’un concours très généreux des habitants. Pour assurer le transport des matériaux, on fait appel à tous les paroissiens propriétaires de chevaux.

Elle sera finalement démolie en 1879.