Mort de l’abbé Jean-Joseph Goblet (Waremme – Liège)

Le 19 (20 ?) janvier 1858, le Révérend GOBLET Jean-Joseph décède à Waremme, à l’âge de 80 ans. Il y a été curé-doyen de l’église Saint-Pierre, avant de devenir chanoine honoraire de la cathédrale Saint-Paul à Liège.

Nouvelle église à Bovenistier

En 1857, une nouvelle église est construite à Bovenistier. C’est un imposant édifice gothique. Le curé est l’abbé MAJOR M..

Le Vicaire de Waremme promu

En 1856, l’abbé BREYRE Jean-Philippe, vicaire à Waremme, est nommé curé à Lincé. Il est remplacé à Waremme par l’abbé FALISE, ordonné prêtre il y a peu.

Pension de retraite de l’ancien doyen (Waremme)

En 1854, une pension de retraite de 1.865 francs est accordée, par arrêté-royal, à l’abbé GOBLET J.J., curé-doyen de Waremme démissionnaire.

L’abbé Delfosse, inspecteur des écoles primaires (Waremme)

Le 31 août 1854, l’abbé DELFOSSE Jean Léonard Joseph, curé-doyen de Waremme, est nommé par l’Evêque de Liège, aux fonctions d’inspecteur ecclésiastique des écoles primaires du canton de Waremme, en remplacement de l’abbé GOBLET J.J., démissionnaire.

L’abbé Delfosse, doyen (Waremme)

Le 26 juin 1854, le curé de Flémalle-Grande, DELFOSSE Jean-Léonard-Joseph, est promu doyen de l’église Saint-Pierre de Waremme, place laissée vacante suite à la démission du curé-doyen GOBLET Jean-Jacques.

L’abbé DELFOSSE occupera cette fonction jusqu’en 1878.

Mort de l’abbé Staetmans (Waremme – Dolembreux)

Le 5 mai 1853, l’abbé STRAETMANS, ancien curé de Dolembreux, décède à Waremme à l’âge de 84 ans.

Le vicaire Bertrand est promu (Waremme / Lens-sur-Geer)

Le 3 avril 1849, l’abbé BERTRAND, vicaire à Waremme, est nommé curé à Lens-Sur-Geer, en remplacement de l’abbé CLAESSENS, démissionnaire.

Le Clergé de Waremme

En 1840, le curé de Waremme est GOBLET J-J et le vicaire BOLLY M. A. L..

La Motte est arasée (Waremme)

Vers 1840, la Motte, endroit où le château de Waremme s’est élevé jadis, est nivelée lors de l’aménagement du nouveau presbytère. Le jardin du Doyen sera aménagé à l’emplacement de l’ancienne forteresse (en fait un simple donjon).

BOUX Pierre assiste à cet arasement. Il précise que la butte avait une hauteur de 7 à 8 mètres et un diamètre à sa base de 34 à 48 mètres. Si on prolonge en ligne droite vers le Geer l’axe de la rue du Perron, cette ligne imaginaire passe par le centre de la butte.

Cette motte faisait partie d’un complexe médiéval défensif (mais portait néanmoins le nom de « tombe »). Elle était la base de l’ancien château de la ville.

A proximité de cet endroit se trouvait jadis la « Fontaine du Rèwe ».