Convention sur le Bénéfice de Saint-Erasme (Hodeige)

Le 17 août 1756, il est convenu entre le Bénéficier MARICK et le curé de Hodeige que, dorénavant, le premier abandonnera au second 1 muid d’épeautre qu’on lui doit à Hodeige, pour le Bénéfice, fondé en l’honneur de Saint-Erasme, de Saint-Pierre et de Saint-Quirin en l’église du village, à condition de célébrer les 12 messes annuelles dont le Bénéfice est chargé, et d’acquitter 33 sous à la sacristie et 16 sous au marguillier.

Un Bénéfice de l’église (Hodeige)

A partir de 1633, le Bénéfice fondé en l’honneur de la Sainte-Vierge, de Saint-Antoine, de Saint-Sébastien, de Sainte-Lucie et de Sainte-Geneviève, en l’église de Hodeige, appartient clairement au curé de la paroisse. Il reçoit 7 muids pour y célébrer une messe chaque samedi et 9 muids pour pour y célébrer une messe mensuelle pour les confrères défunts. Cet autel est situé à côté de l’Epitre.

Contestation pour un Bénéfice (Hodeige – Liège)

En 1595, il y a une contestation entre le curé de Hodeige et CHOQUIER Wason, chanoine de Saint-Denis à Liège, à propos de l’autel ou Bénéfice fondé en l’honneur de la Sainte-Vierge, de Saint-Antoine, de Saint-Sébastien, de Sainte-Lucie et de Sainte-Geneviève. On estime que ce Bénéfice vaut 24 muids d’épeautre à charge de 2 messes par semaine.

Bauduin Franco, mambour (Hodeige)

En 1610, FRANCO Bauduin, notaire, est mambour de l’église de Hodeige.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1582, l’église de Hodeige possède 2 bonniers de terre qui rapportent 6 muids 7 setiers; le reste des revenus s’élève à 23 muids environ. Ils consistent en rentes, dont quelques-unes, étant litigieuses, ne se payent pas.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1820, les revenus du curé de Hodeige s’élèvent à 64 muids 2 setiers et 3 florins, tant en rente qu’en fermage.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1815, les revenus de la cure de Hodeige s’élèvent à 64 muids 1 setier. Il a, en outre, 104 deniers fortis de rente et 36 florins 94 sous.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1786, le curé de Hodeige perçoit le revenu de 14 bonniers, 18 verges grandes et 12 petites, ainsi que 60 muids 7 setiers d’épeautre et 46 florins 19 sous et 267 deniers fortis de rente. En outre, chaque communiant de la paroisse lui offrir 7 oeufs le Jeudi-Saint.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1750, le curé de Hodeige a le revenu de 13 bonniers, 2 verges grandes et 12 petites, ainsi que 52 muids et 1 setier de rente. De plus, le bénéficier de Saint-Erasme doit lui verser 6 florins par an.

Les revenus du curé (Hodeige)

En 1580, tant en rentes qu’en fermages, le curé de Hodeige perçoit à peu près un revenu annuel de 150 muids d’épeautre (les fermages comprennent 17 bonniers, 11 verges grandes et 19 petites)