Mort de Robert de Hemricourt

Le 9 décembre 1261, le chevalier DE HEMRICOURT Robert décède à (?). Il sera inhumé dans l’église de Hemricourt.

Un massacre évité à Momalle

Le 6 septembre 1944, les Allemands entendent venger les neuf soldats exécutés à la ferme de Streel, sur la population de Momalle rassemblée dans l’église du village. SMEETS Mathieu, qui parle très bien l’allemand, tente d’infléchir la funeste résolution de l’officier qui les commande: « Tous des braves gens; ils n’ont pas pu exécuter les soldats retrouvés à la ferme de Streel« .

L’officier consent à libérer les femmes et les enfants, mais il veut exécuter 45 hommes hommes. Ses soldats réclament vengeance !

SMEETS Mathieu supplie l’officier de ne pas commettre l’irréparable. La guerre sera bientôt finie et il ne peut souiller son honneur par un crime abominable. Il lui suggère d’emporter tous les véhicules disponibles, en échange de la vie des villageois. L’Allemand finira par accepter. La persévérance de SMEETS Mathieu a ébranlé la détermination de l’officier.

On a échapper de peu à un nouvel « Oradour-sur-Glane ».

Les Allemands investissent Momalle

Le 6 septembre 1944, deux compagnies de la 116ème division de Panzers, ainsi que des détachements SS, encerclent le village de Momalle. Les Allemands se répandent dans les rues, entrent dans les maisons et font sortir les habitants. Environ 400 personnes sont regroupées dans l’église du village.

Joseph Marchoul, prisonnier (Waremme)

Le 13 mai 1940, le caporal waremmien MARCHOUL Joseph, fait prisonnier la veille sur les hauteurs de Namur, est amené place de l’église à Waremme, où se trouvent déjà des centaines de prisonniers belges et français.

Julie Cornette (Grandville)

En janvier 1940, CORNETTE Julie habite une petite maison, dans le Brouck, à deux pas de l’église de Grandville. Elle est veuve (son mari est décédé en 1935). Elle a cinq enfants.

Les « Dumoulin » de Hollogne-sur-Geer

En janvier 1940, la famille « DUMOULIN » habite près de la Sucrerie de Hollogne-sur-Geer, non loin de l’Eglise Saint-Brice.

Des responsables du Groupe « Otarie » (Waremme – Grand-Axhe – Lantremange)

En septembre 1944, les principaux responsables du Groupe « Otarie » de Waremme sont:

  • JAMAR Ambroise: Lieutenant de gendarmerie; il est responsable d’un groupe d’une cinquantaine de gendarmes « résistants ». Son pseudonyme est « Adolphe ». Il habite Grand-Axhe.
  • PIRSON Hadelin: Vicaire de la paroisse Saint-Pierre de Waremme. Il est responsable de la mobilisation du groupe sanitaire de l’Armée Secrète. Il habite rue Sous-le-Château à Waremme.
  • LEBURTON Edmond. Il habite Lantremange.

Les funérailles d’Eugénie Baltazar (Grand-Axhe)

Le 30 août 1944, à 10 heures, la dépouille de BALTAZAR Eugénie est ramenée du Collège Saint-Louis de Waremme, situé avenue Reine Astrid à Waremme, à Grand-Axhe.

Ses funérailles sont célébrées en l’église Saint-Denis de Grand-Axhe, par le curé de la paroisse, l’abbé COLLINS Julien. Elle est ensuite inhumée dans le cimetière du village.

Funérailles de victimes du bombardement (Waremme)

Le 30 août 1944, à 10h45, dix cercueils de victimes du bombardement sont amenés sur des chariots du Collège Saint-Louis à l’église Saint-Pierre de Waremme. Les scouts les transportent à la croisée du transept.

La cérémonie est célébrée par le doyen AANDEKERK Guillaume, assisté de l’abbé RIGO Marcel, curé de la paroisse de Longchamps et du vicaire BRANDT Léonard.

A l’issue de celle-ci, les cercueils sont transportés au cimetière de la ville, par la rue Hubert Stiernet et la rue du Pont. Ils sont suivis par un interminable cortège. Chaque cercueil est dirigé vers la sépulture familiale. Certains, comme celui de BIERNA Henri, sont placés dans un caveau provisoire (celui-ci sera exhumé en 1945).

On réclame une ambulance à Grand-Axhe

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière de la maison de GASPAR Léon, à Grand-Axhe, le secrétaire communal COËME Camille appelle Waremme par téléphone et demande que l’on envoie une ambulance, près de l’église, car il y a des blessés et peut-être des morts.