En octobre 1963, un autel provisoire en bois est installé dans l’église Saint-Pierre de Waremme, durant les travaux de réparation de l’édifice.
Archives de catégorie : Eglise
Mort de Marie-Anne Boux (Waremme)
Le 20 avril 1822, décède à Waremme BOUX Marie-Anne, Catherine, Philippine Joseph. Sa soeur est décédée six jours plus tôt.
Une pierre commémorative sera posée dans l’église Saint-Pierre.
Mort de Marie Boux (Waremme)
Le 14 avril 1822, décède à Waremme BOUX Marie Gertrude Philippine.
Une pierre commémorative sera placée dans l’église Saint-Pierre.
Mort de Jozinne De Vannes (Waremme)
Le 7 février 1614, DE VANNES Jozinne décède à Waremme. Son mari veuf est le lieutenant-bailli de Hesbaye, DE LONGCHAMPS Guillaume (1).
Elle sera inhumée à Waremme. Une pierre commémorative sera placée dans l’église Saint-Pierre
Mort de Catherine Vanesse (Waremme – Hesbaye)
Le 8 décembre 1579, DE VANNES (VANESSE ?) Catherine décède à (?). Elle était la veuve de DE LONGCHAMPS Fastré (2), qui fut lieutenant-bailli de Hesbaye et mayeur de Waremme. Elle sera inhumée, avec son défunt mari, dans l’église Saint-Pierre de Waremme.
Nouvelle inspection de l’église Saint-Pierre (Waremme)
Le 27 février 1995, une nouvelle inspection de l’état de l’église Saint-Pierre de Waremme est réalisée. Elle confirme la nécessité d’entreprendre des travaux de consolidation.
Des travaux à l’église Saint-Pierre (Waremme)
Le 10 mai 1994, un état des lieux de l’église Saint-Pierre de Waremme est entrepris par l’architecte GILSON André et l’ingénieur JOWAY Hubert, en vue de travaux de mise hors eau et de stabilité de l’ouvrage.
Une tour-colombier à Geer-Omal
En 1625, une tour-colombier fortifiée est construite à Geer-Omal, face à l’église, par la famille MENJOIE-MOLLIN, pour servir d’appui défensif au complexe central (ferme et château) et de refuge pour la population lors du passage de troupes ou de bandes de pillards. Les armes de MOLLIN et des MENJOIE ornent la façade.
Les Plaids Généraux
Au 16ème siècle, le Plaid général est un tribunal itinérant. En dehors des convocations extraordinaires, il tient ses assises trois fois l’an, dans chaque village ou pour un groupe de villages. Tous les habitants (en tout cas les chefs de famille) sont tenus d’y assister. On n’y traite pas seulement des matières judiciaires, mais on y communique aussi les édits seigneuriaux, on y enregistre les actes notariaux, les contrats. Les Plaids se tiennent généralement en hiver (aux alentours de la Fête des Rois – le 6 janvier), au printemps (le lundi de Pâques ou le dimanche d’après) et en automne (à la Saint-Lambert ou à la Saint-Remy – le 1er octobre).
Les peines prononcées consistent le plus souvent en amendes, dont le montant est partagé entre le Tribunal, le Seigneur et le délateur … Selon les cas, elles s’accompagnent d’une indemnisation de la partie lésée. Au 16ème siècle, le pèlerinage judiciaire a encore la cote auprès des tribunaux de Hesbaye. Selon la gravité du délit, il dirige le coupable vers Saint-Jacques de Compostelle, Rocamadour, Notre-Dame de Vendôme, Saint-Josse en Bar, Aix-la-Chapelle, Notre-Dame de Hal, Notre-Dame de Walcourt, Notre-Dame de Tongres, …, à moins que le coupable ne préfère racheter sa peine selon un tarif équivalent à l’importance du voyage. A la fin du siècle, le pèlerinage judiciaire tombe définitivement en désuétude.
En dehors des Plaids, les décisions importantes de la cour de justice, les édits de police ou les ordonnances du Prince sont lues en Chaire de Vérité par le Curé (trois dimanches de suite pour les plus importants) et placardées sur la porte de l’église ou autre endroit convenu (perron, …).
La paroisse de Donceel
Le 11 juillet 1842, l’église de Donceel redevient une paroisse indépendante.