Remplacement de l’horloge de l’église (Remicourt)

Le 15 mars 1916, un généreux paroissien fait remplacer la vieille horloge de la sacristie de Remicourt par un régulateur avec sonnerie.

De nouveaux vitraux pour l’église (Remicourt)

Du 18 au 21 mars 1914, trois vitraux sont installés dans le chœur de l’église de Remicourt. Chaque vitrail illustre quatre scènes:

  • Celui du milieu illustre la vie de Jésus: naissance / atelier de Nazareth / Jésus mourant sur la croix / Jésus glorifié
  • Celui de droite, le Sacré-Coeur de Jésus: Jésus bénissant les enfants / Jésus et les disciples d’Emmaüs / Apparition du Sacré-Coeur à Marguerite / Marie / la glorification du Sacré-Coeur
  • Celui de gauche, la Saint Vierge Marie: Vierge offrant un rosaire à Saint-Dominique / le scapulaire au Bienheureux Simon Stock / Vierge apparaissant à Bernadette de Lourdes / glorification de la Sainte-Vierge

Ils ont été réalisés par le peintre-verrier BARY C. de Jette, pour un prix de 3.000 francs, payé pour 1/3 par les paroissiens et pour 2/3 par des extérieurs à la paroisse.

Création de la bibliothèque Saint-Materne (Waremme)

Au début 1900, la bibliothèque paroissiale Saint-Materne est créée au vicariat, rue du Rèwe à Waremme. Elle ouvre ses portes deux fois par semaine.

Le Père Mathy reste à Waremme

Vers 1805, le dernier Père Gardien du couvent des Récollets de Waremme, le Père MATHY Ignace, ne quitte pas la ville après la dissolution de son couvent. Il se consacrera au service paroissial.

L’église Saint-Pierre, magasin (Waremme – France)

Le 11 janvier 1794 (?), le général français DIETTMANN réclame l’église paroissiale Saint-Pierre de Waremme pour la transformer en magasin. Le Saint-Sacrement est transporté dans l’église du couvent des Récollets, plus petite, où se tiendront désormais les offices religieux, jusqu’en 1804.

Réélection de Jules Jacquemotte (Crisnée)

Après la Libération, JACQUEMOTTE Jules, bourgmestre de Crisnée pendant la Deuxième Guerre Mondiale, est réélu au Conseil Communal du village. Il fera également partie de l’ Fabrique d’Eglise de la Paroisse.

La statue de la Vierge de Banneux à Crisnée

Le 26 mai 1954, la statue de « Notre-Dame des Pauvres », venant de Banneux à travers toute la Province de Liège, s’arrête à Crisnée.

Le curé de la paroisse, l’abbé RIGO, vient à la rencontre du chariot qui la transporte, avec de nombreux paroissiens, à la sortie de Thys. Dans le village, elle s’arrête sous l’Arc de Triomphe érigé devant chez PIRSON. Elle est ensuite amenée à l’église.

Elle repartira ensuite vers Odeur.

Vente de terrains pour le vicinal (Crisnée – Thys)

Le 27 juillet 1889, le conseil communal de Crisnée autorise le Conseil de Fabrique de la paroisse du village à vendre, aux concessionnaires de la ligne de tramway d’Ans à Oreye, 3 ares 50 d’une terre située à Thys, au prix de 525 francs.

Crisnée condamnée à payer sa quote-part

Le 29 septembre 1324, dans la cause pendante entre les mambours de l’église de Fize-le-Marsal et les paroissiens de Crisnée, le costre (?) DE MEDICIS François, le chanoine de Sclayn D’HEURE Guillaume et l’avocat à la Cour de Liège DE FERIERS André, condamnent les mandataires des paroissiens de Crisnée (notamment le Chevalier DE CRISNEE Eustache, au payement de leur quote-part dans les frais de réparation de la tour et des murs de l’église de Fize-le-Marsal.

Crisnée doit comparaître à Liège

Le 15 septembre 1324, DE CARRETO Perceval, archidiacre de Liège, mande au curé de Crisnée de citer ses paroissiens à comparaître à Liège, devant lui, pour répondre au libel des mambours de l’église de Fize-le-Marsal, relatif à la participation de Crisnée aux frais de réparation de l’église de Fize-le-Marsal.