La Motte est arasée (Waremme)

Vers 1840, la Motte, endroit où le château de Waremme s’est élevé jadis, est nivelée lors de l’aménagement du nouveau presbytère. Le jardin du Doyen sera aménagé à l’emplacement de l’ancienne forteresse (en fait un simple donjon).

BOUX Pierre assiste à cet arasement. Il précise que la butte avait une hauteur de 7 à 8 mètres et un diamètre à sa base de 34 à 48 mètres. Si on prolonge en ligne droite vers le Geer l’axe de la rue du Perron, cette ligne imaginaire passe par le centre de la butte.

Cette motte faisait partie d’un complexe médiéval défensif (mais portait néanmoins le nom de « tombe »). Elle était la base de l’ancien château de la ville.

A proximité de cet endroit se trouvait jadis la « Fontaine du Rèwe ».

La « Motte féodale » sera nivelée (Waremme)

Le 11 avril 1839, le Conseil Communal de Waremme prend la décision de niveler la motte féodale, sur laquelle s’élevait jadis le château de Waremme, car le terrain qu’elle occupe est absolument nécessaire pour y installer le jardin du curé. En effet, la commune ne possède aucun autre terrain convenable à proximité de la maison pastorale. Le conseil évalue le coût de ces travaux à 300 ou 400 francs. Il compte financer ceux-ci en procédant à la vente des arbres qui croissent sur la butte et sur le terrain joignant et qui devrait lui rapporter 352 francs.

L’école de Remicourt

En 1789, il y a une école à Remicourt. Le marguillier, LAMARCHE Joseph, enseigne la lecture et la grammaire à 30 enfants, 10 garçons et 20 filles. Les cours se donnent probablement à l’église ou à la cure.

Construction du presbytère de Berloz

En 1779 (1769 ?), l’entrepreneur PHILIPPART et le menuisier COLLARD de Waremme construisent le presbytère de Berloz, près de l’église.

Le presbytère sera réparé par la ville (Waremme)

Le 15 mai 1771, suite au procès intenté à la ville par le curé BOURDON Jacques, celle-ci est condamnée à payer les frais de réparation de la maison pastorale.