Hilarion-Noël de Villenfagne d’Ingihoul et Pierre-Charles-François-Antoine de Méan, bourgmestres de Liège

En 1791, DE VILLENFAGNE D’INGIHOUL Hilarion-Noël et DE MEAN Pierre-Charles-François-Antoine sont nommés bourgmestre de Liège, après la restauration du pouvoir du Prince-Evêque.

Joseph-Henri-Lambert-Marie d’Othée et Guisbert-Nicolas-Henri de Mélotte, bourgmestres de Liège

En 1792, D’OTHEE Joseph-Henri-Lambert-Marie et DE MELOTTE Guisbert-Nicolas-Henri sont nommés bourgmestre de Liège, après la restauration du pouvoir du Prince-Evêque.

Jean-Dieudonné-Philibert de Villenfagne et Antoine-Hubert de Warnant, bourgmestres de Liège

En 1793, DE VILLENFAGNE Jean-Dieudonné-Philibert et DE WARNANT Antoine-Hubert sont nommés bourgmestre de Liège, après la restauration du pouvoir du Prince-Evêque.

Le Prince-Evêque quitte Liège définitivement

Le 20 juillet 1794, suite à la victoire française de Fleurus, le Prince-Evêque DE MEAN quitte définitivement Liège.

Le Prince-Evêque de Liège récupère son trône

Le 21 avril 1793, le Prince-Evêque de Liège DE MEAN reprend possession de son trône épiscopal, suite à l’évacuation des Français.

Les conseillers de la municipalité de Liège sont bannis. DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent se réfugie à Paris.

Poursuites contre Jean-Henri Christiani (Waremme – Liège)

Le 29 septembre 1776, l »huiiser LEGROS Antoine remet à CHRISTIANI Jean-Henri copie de la requête adressée à son encontre, au Prince-Evêque de Liège, par le bourgmestre de Waremme MONJOIE Joseph.

On doit plaider en français à Corswarem

En 1778, considérant que la langue française est devenue « la plus commune et générale à Corswarem », le Prince-Evêque de Liège, DE VELBRUCK Charles-François, interdit de plaider en flamand devant la cour locale.

Création de « L’Emulation » (Liège)

En 1779, le Pince-Evêque de Liège, DE VELBRUCK Charles-François, ouvre la Société d’Emulation, institution d’enseignement et d’action, qui a pour but d’exalter les grands hommes et les grandes oeuvres, ainsi que de  s’efforcer de combattre les préjugés.

La « Violette » est prise à Liège

Le 18 août 1789, la « Violette » est prise sans heurts à Liège. Les deux nouveaux bourgmestres à peine élus, DE CHESTRET Jean-Remy et FABRY Jacques-Joseph, contraignent le Prince-Evêque HOENSBROECK, ramené de Seraing, à abolir le règlement contesté de 1684 et à avaliser un nouvel ordre communal, plus démocratique.