Naissance d’Auguste Doyen (Vieux-Waleffe – Verlaine)

Le 21 août 1889, DOYEN Auguste voit le jour à Vieux-Waleffe. Ses parents sont l’instituteur communal (futur ?) de Verlaine, DOYEN Edouard, et TILMAN Constance. Il sera prêtre et enseignant. Il sera vicaire et curé (?) à Verlaine.

Auguste Doyen déménage à Verlaine

Vers 1899, le jeune DOYEN Auguste quitte Vieux-Waleffe (?) pour s’installer à Verlaine. Il sera prêtre, vicaire et curé (?) du village.

L’abbé Doyen revient à Verlaine

En 1927, après avoir été professeur de poésie à Saint-Roch à Liège, sa santé ne lui permettant plus d’enseigner, l’abbé DOYEN Auguste revient à Verlaine comme curé (vicaire ?). Il assumera cette fonction jusqu’en 1956.

Pierre Thiel, vicaire (Verlaine)

Le 19 mars 1923, l’abbé THIEL Pierre est nommé vicaire à la paroisse de Verlaine. Il remplace l’abbé JADOUL Joseph. Il assiste le vieux curé, l’abbé DISPA Barthélemi, dont les infirmités (et notamment la cécité) s’aggravent de jour en jour, ce qui l’empêche d’accomplir la plupart des fonctions de son ministère.

Chorale à Verlaine

En 1925, une chorale d’une vingtaine de membres répète régulièrement dans le petit parloir du vicaire de Verlaine.

Pierre Thiel, nommé curé-coadjuteur (Verlaine)

En octobre 1926, l’abbé THIEL Pierre, natif de Liège, est nommé curé-coadjuteur à Verlaine, avec droit de succession. Le vieux curé, l’abbé DISPA Barthélemi, est mis à la pension, mais garde encore sa juridiction ecclésiastique sur la paroisse. (Par déférence pour le vieux curé, le nouveau curé-coadjuteur, desservant, garde son titre de vicaire). Il exercera dans la paroisse jusqu’en 1934 (Vicaire, curé-coadjuteur et curé).

Eclairage électrique à la paroisse (Verlaine)

Le 26 novembre 1926, l’éclairage électrique est installé à l’église, au presbytère et à la maison vicariale à Verlaine. L’installation est sommaire, mais rationnelle et pratique.

Barthélemi Dispa retraité définitivement (Verlaine)

Le 10 septembre 1929, l’évêque de Liège accorde la retraite définitive au vieux curé de Verlaine, l’abbé DISPA Barthélemi. Le curé-coadjuteur, l’abbé THIEL Pierre, est nommé curé. L’ancien curé conserve la jouissance du presbytère, jusqu’à sa mort. Le nouveau curé continue à habiter la maison vicariale. Celle-ci est un peu aménagée: on abat un vieux puits, que l’on recouvre et sur lequel on bâtit une petite remise à charbon. Le fournil est transformé en buanderie. On y amène les eaux et on place 2 pompes. Ces travaux améliorent grandement le confort du curé.