Portrait d’Etienne François, des Pompes Funêbre FRANCOIS (Waremme)

FRANCOIS Etienne (Pompes Funêbres)

FRANCOIS Étienne est responsable d’une entreprise de pompes funèbres depuis quinze ans. À 34 ans, il dirige trois funérariums près de Waremme, il apporte soutien et réconfort aux familles en deuil.

Mes parents dirigeaient une société familiale qui se partageait entre deux activités, la menuiserie, d’une part, et une entreprise de pompes funèbres. Cette dernière fut montée par mon grand-père, déjà menuisier, à l’époque où il fabriquait des cercueils. Afin de rejoindre l’affaire familiale, j’ai commencé un parcours scolaire qui devait me mener à la reprise de la menuiserie. Humanités en sciences économiques à Waremme, trois années en menuiserie à Liège et un graduat en génie civil et conducteur de travaux. Le chemin était tracé pour qu’à la sortie de l’école je rejoigne l’équipe familiale à la direction de la menuiserie, mes parents s’occupant des pompes funèbres. Mais c’est l’inverse qui s’est produit. Dès que j’ai eu mon diplôme d’humanités en poche, j’ai été actif au sein des deux activités pour me familiariser avec le contexte de travail. Mais, à la surprise de tous, j’ai rapidement préféré le contact avec les familles. J’aime l’idée de leur apporter une part de réconfort, de les aider dans les différentes démarches administratives pour qu’elles puissent se consacrer au souvenir de l’être disparu.

C’est un métier où il faut montrer beaucoup d’empathie, mais en même temps une certaine dose de détachement. « C’est un équilibre très subtil qu’il faut trouver pour apporter notre soutien aux familles, explique Étienne. Approcher la tristesse des familles au quotidien n’est pas toujours facile. Mais l’entrepreneur de pompes funèbres est souvent le premier contact réconfortant que les proches ont avec la réalité. « Les personnes qui font appel à nous savent que nous allons veiller sur leur défunt avec le plus grand respect, dans la continuité des traditions religieuses ou laïques qui sont les leurs. À ce stade du deuil, chaque détail est important et nous veillons à ce que tout se déroule de manière douce et feutrée. La famille ne doit se soucier de rien dans l’organisation des funérailles, notre entreprise s’occupe de tout. De la cérémonie à la réception après funérailles en passant par les démarches officielles ou le transfert du défunt en nos murs ou à la maison mortuaire« .

« Il y a des moments difficiles dans notre métier. La tristesse et l’émotion font partie de mon quotidien, c’est pourquoi je dressé une frontière très stricte entre mes activités professionnelles et ma vie privée. Mon plus grand souhait est de permettre aux familles de vivre leur deuil dans la dignité en organisant toujours un service d’une qualité irréprochable ».

Étienne est un homme curieux et pragmatique. Pour développer l’offre des services qu’il peut offrir aux familles qui lui font confiance, il n’hésite pas à voyager loin. « L’année dernière, je suis allé au Salon funéraire de La Nouvelle-Orléans. J’ai pu me faire une idée des dernières tendances en matière de services funéraires. J’en ai aussi profité pour m’informer sur les nouveaux corbillards en vue d’un achat. Aux États-Unis, les choses se passent différemment, il y a d’autres coutumes, d’autres manières de faire. J’ai visité plusieurs entreprises de confrères américains. J’en ai ramené le sens du détail et la volonté de rendre chaque cérémonie plus solennelle pour que les familles aient le sentiment d’accompagner le dernier voyage de leur proche défunt dans les meilleures conditions.

Portrait de Jérôme Goffau, pompier volontaire à Waremme

GOFFAU Jérome, Pompier Volontaire de Waremme (?)

Avec déjà cinq années d’expérience derrière lui, GOFFAU Jérôme, est pompier volontaire à Waremme. Il apprécie le poste d’ambulancier pour son rôle social. Son ambition, devenir pompier professionnel.

C’est une sensibilisation aux métiers du feu, dispensée dans son école, l’Athénée royal de Waremme, alors qu’il était encore en secondaire, qui a incité le jeune GOFFAU Jérôme, 20 ans, à intégrer l’Ecole des Cadets des pompiers de Waremme, puis à devenir pompier volontaire dans sa ville de Waremme. Son but ultime, devenir professionnel dans un métier auquel il voue une grande passion et se spécialiser au maximum dans les métiers qui touchent le paramédical-ambulancier.

« J’avais 15 ans et les pompiers de Waremme passaient dans les écoles pour recruter les premiers cadets pompiers de la ville. La passion de notre interlocuteur m’avait marqué. Je me suis renseigné sur le métier. En me questionnant, je me suis dit que c’était peut-être quelque chose pour moi. J’ai franchi le pas et je me suis inscrit comme cadet-pompier. Une décision qui a changé ma vie et que je ne regrette pas« , raconte le jeune Waremmien.

Une fois ses trois ans terminés chez les cadets, Jérôme, qui avait 18 ans à l’époque, a eu la chance qu’une session de recrutement s’ouvre dans la caserne hesbignonne. Il s’est entraîné pour réussir les tests physiques, son profil et sa motivation correspondaient aux besoins de la caserne. C’est ainsi qu’il a été recruté.

« Dès que j’ai été affecté à la caserne, j’ai commencé par suivre les cours de l’école du feu de la Province de Liège. Après 7 mois de formation, ce furent les premières sorties et la confirmation de ma vocation, si elle devait encore être confirmée. Ensuite, j’ai eu les cours d’ambulancier. Et là, j’ai vraiment trouvé ma place. Le métier d’ambulancier est très motivant, c’est un travail où l’on est plus proche des gens, avec un véritable rôle social à jouer. Une dimension que j’apprécie tout particulièrement, explique le volontaire. Mais Jérôme avoue quand même rester quelquefois sur sa faim. « Lors des sorties en ambulance, on accompagne des personnes en détresse, on les aide, on apprend très brièvement à les connaître. Une fois qu’on les a transférées à l’hôpital, on ne sait plus rien d’elles. C’est parfois un peu frustrant. Mais peut-être est-ce mieux que ce soit comme cela. Cela nous aide à rester professionnels en toutes circonstances, sans nous poser de questions« .

Jérôme est aussi très fier de son travail de pompier au feu. « Mais c’est différent de l’ambulance. Sur un incendie, on s’attaque aux flammes, on essaie de limiter les dégâts, on sauve aussi des vies, mais on est plus loin des gens, le côté social est bien plus ténu« , dit-il.

L’école des cadets m’a aidé à réussir mes études

En intégrant l’école des cadets-pompiers, chaque jeune doit signer un contrat qui stipule que cet engagement n’interférera pas sur ses résultats scolaires. Il est même prévu que les étudiants présentent leurs notes à leurs moniteurs. « En ce qui me concerne, cela a été une motivation supplémentaire pour terminer mes études secondaires avec honneur. Il ne m’a pas fallu longtemps pour découvrir que la profession de pompier était faite pour moi. Pas question de rater un entraînement, ni de me faire mettre dehors parce que j’avais de mauvais résultats scolaires. C’est la raison pour laquelle j’ai redoublé d’efforts à l’école , raconte GOFFAU Jérôme. « C’est aussi le cas pour la plupart des jeunes très motivés que l’on reçoit à l’Ecole des Cadets, confirme BAEKE Sébastien, l’un des instructeurs.

Portrait de William Dony (Waremme)

DONNI William

DONY William, co-président d’Ecolo – jeunes, est le fils de l’ex-conseillère communale de Waremme, DAVID Véronique.

Portrait de Sophie Pannemans (Waremme)

PANNEMANS Sophie

PANNEMANS Sophie habite Waremme. Elle est candidate au concours de « Miss Province de Liège » 2009. Elle a échoué de peu l’an dernier au titre de Miss province est revenue, plus déterminée que jamais.

Élégante, raffinée, intelligente, la belle blonde aux yeux bleus se destine aux sciences politiques, qu’elle étudie à Gand.

Parfaite bilingue donc, Sophie connaît aussi le russe, qu’elle apprend parce qu’elle voudrait devenir diplomate dans un pays de l’Est.

Elle fait beaucoup de sports pour se maintenir en forme mais est toujours très calme.

Elle adore les animaux et chante divinement bien.

 » Mes défauts? Je suis une solitaire, perfectionniste, un peu prévisible et susceptible, dit-elle. D’ailleurs ma devise est  » il ne faut pas chercher le bonheur trop loin « . J’ai la chance que maman me suit beaucoup dans mes projets. Ce que j’espère du concours, c’est m’épanouir dans ce milieu sans m’ennuyer une seconde. J’aimerais qu’on vote pour moi parce que, d’abord, je suis jolie et souriante, mais j’ai surtout beaucoup de choses à dire.  »

Sophie, future diplomate ;

Portrait de Léon Mangon, artiste waremmien

MANGON Léon

MANGON Léon est né le 19 mai 1929.

En 2009, MANGON Léon vient tout juste de fêter ses quatre-vingts printemps. L’occasion d’évoquer avec lui un parcours artistique peu banal. Entre autres talents, le Waremmien s’est découvert un don caché de ventriloque…

C’est le 19 mai 1929 que le petit MANGON Léon voyait le jour, à Berloz, dans la maison de ses grands-parents. On dirait presque qu’il s’en souvient…  » Je n’avais que sept mois lorsque je suis venu au monde, explique-t-il. Ma mère se demandait ce qu’il se passait. Elle a donc quitté Waremme à pied pour rallier Berloz et rejoindre ma grand-mère. C’est là qu’elle a accouché. Comme j’étais très prématuré, mes parents m’ont placé dans une boîte à chaussures remplie d’ouate. J’ai ainsi passé mes premières semaines de vie sur la tablette de la cheminée…  » Dès l’âge de neuf ans, MANGON Léon aime épater la galerie. Ses premiers numéros, il les réalise devant les copains de classe.

 » J’inventais des tours de prestidigitation pour les amuser, et ils étaient toujours très surpris, se rappelle-t-il. Puis je me suis mis à faire le pitre avec mon vélo. J’arrivais à faire n’importe quoi, cela amusait aussi énormément mes camarades. Il faut dire que mon père était marchand de vélos…  » De fil en aiguille, le jeune Waremmien perfectionne ses tours d’adresse.  » Lorsque j’avais vingt ans, je me suis associé avec un ami, poursuit-il. C’était le frère de mon ex-femme, et nous avons monté un numéro d’acrobatie à vélo. Notre groupe portait le nom de « Warlis », car nous étions wallons et que nous provenions de Waremme. Nous avons fait cela durant quinze ans, du début des années 1950 jusqu’en 1967. Nous avons notamment accompagné BREL Jacques dans ses tournées. Nous jouions notre numéro au début de ses spectacles. Nous avons arrêté cette activité commune lorsque la différence de poids est devenue trop importante entre mon compagnon de scène et moi-même. Cela devenait trop dangereux, nous risquions chaque fois de nous casser la figure.  » Par la suite, MANGON Léon continue seul son petit bonhomme de chemin. D’abord comme illusionniste, puis comme ventriloque.  » J’étais ventriloque sans le savoir, sourit-il. Mon personnage est Toto, un petit garçon sympa, le commun des mortels. Ici, c’est ma troisième poupée. Elle m’a été offerte par des voisins qui l’on ramenée d’Espagne. Depuis une vingtaine d’années, je lui fait raconter toute sorte de conneries. Pour la fête des voisins, ce dernier mardi à Waremme, je lui ai fait chanter un air de circonstance. Si tous les gars du monde voulaient se donner la main… J’ai arrêté mes activités, mais je suis venu gracieusement, juste pour faire plaisir à mes voisins qui m’avaient demandé si je ne pouvais pas leur préparer quelque chose.  »

Sa poupée fétiche s’appelle Toto.

Portrait de Eric de Kesel, directeur général de la S.A. « Molnlycke Health Care » (Waremme)

DE KESEL EricNé le 1er octobre 1965 à Charleroi, il a suivi des Humanités Générales à l’Athénée Royal de Beaumont. Il est ensuite diplômé ingénieur civil en électromécanique à l’université libre de Bruxelles. Il suit une licence spéciale en management à la HEC Saint-Louis. Il est marié et père de trois filles.

Dès l’entame de sa carrière, DE KESEL Eric a fait montre d’aptitude à gérer « l’humain ». Ainsi, à 23 ans, fraichement diplômé, il prend la tête d’une équipe de trente personnes au sein de la société Caterpillar. Un travail de nuit qu’il accomplit sur le site de Gosselies tout en suivant des cours en management à Bruxelles. Après quelques mois rythmiquement denses, il intègre l’un des bureaux d’études de la célèbre firme américaine. Les années se succèdent, nourries par des voyages fréquents aux Etats-Unis et au Japon. En 1995, il accède à la direction du bureau. Il n’a que 30 ans…

En 1997, DE KESEL Eric est approché par une société gembloutoise active dans le domaine du plastique. « Elle était alors déficitaire et l’on souhaitait m’en confier la gestion. Le challenge m’a plu. Tout le monde m’a dit que j’étais fou de quitter « Caterpillar ». Je n’ai pourtant jamais regretté mon choix ». Après cinq années au cours desquelles il remet l’entreprise sur rail, DE KESEL Eric décide d’emprunter un autre chemin : « Dans un travail, deux critères sont pour moi prépondérants : to have fun and challenge. Ce n’était simplement plus le cas… » _En 2002, il intègre « Mölnlycke » : «En répondant à une annonce, le plus simplement du monde (rires). La coordination du site de Waremme m’a été confiée. Mon bureau principal se trouve cependant à Göteborg. » Conjointement à ses engagements au sein de « Mölnlycke », DE KESEL Eric assume les fonctions d’administrateur de l’UWE et de Consul honoraire de Suède. « Une reconnaissance qui m’honore mais que je n’ai pas acceptée pour le titre. » _Son temps libre, DE KESEL Eric le consacre à sa famille. « Je m’adonne également à la pratique de certains sports et à la dégustation de vin. Le village dont je suis originaire a compté deux meilleurs sommeliers de Belgique. La terre y est sans doute propice aux amateurs de grands crus… »

Parler de coup de force serait vaniteux. Or, je veille à toujours travailler dans la modestie de la tâche, à rester humble quel que soit le succès. Deux évènements encourus depuis mon engagement chez « Mölnlycke » pourraient, toutefois, partiellement répondre à votre question. Ainsi, il y a une dizaine d’années, l’entreprise a consenti de gros investissements au niveau de ses machines. Lors de mon arrivée, en 2002, ce matériel ne fonctionnait pas de manière optimale. Fidèle à l’adage « Work smarter, not harder », nous avons décidé de solutionner cette problématique en nous faisant aider par des consultants américains. Résultat, nos machines atteignent aujourd’hui des performances de classe mondiale ! Mais la technique n’est pas tout. Dans notre démarche, nous avons veillé à ne pas négliger le capital humain. Nous avons établi un programme de formation pour l’ensemble du personnel ouvrier. Une remise à niveau générale qui a été accompagnée d’une augmentation salariale…

Le second évènement a eu lieu l’an dernier. Nous avons rencontré à cette époque notre plus gros fournisseur de matières premières. A force de persuasion, nous sommes parvenus à négocier un contrat incluant un système d’indexation. Concrètement, les prix pratiqués par notre fournisseur varient désormais en fonction de certains indicateurs tels que le coût de l’énergie par exemple. Il va sans dire qu’avec la chute du prix du pétrole rencontrée au cours des derniers mois, nous avons fait une affaire en or ! Nos coûts ont été réduits de près de 20%. Au mieux, nous tablions sur une baisse de 6%. Imaginez, cela représente plusieurs millions d’euros d’économie… Evidemment, nous ne sommes pas à l’abri d’une augmentation mais ce qui est pris est pris.

Pour ces deux situations, nous pouvons parler de coups de force…mais en douceur.

Plutôt que coup de génie, je préfère parler de bonnes décisions et de comportements opportuns. On pourrait appeler cela des coups de génie en longueur (rires). L’un d’eux est d’avoir misé sur le capital humain. Collaborant notamment avec la Thaïlande, la Tchéquie, le Japon et les Etats-Unis, je suis amené à manager des équipes culturellement très différentes. Cela n’a pas été simple mais j’ai toujours eu la capacité de m’adapter à chacune. J’ai également l’aptitude de me remettre en permanence en question. Je n’aime pas tomber dans la complaisance. Dès que j’ai franchi une étape, je pense à la suivante. Dans un monde de concurrence accrue, c’est obligatoire. Heureusement, je fais preuve d’un optimisme à toute épreuve. J’essaie de le communiquer à mes collaborateurs par cette petite phrase : « Voyez l’objectif final et pas les obstacles ! »

Je ne suis pas enclin à entrer facilement en colère mais certains comportements ont le don de me faire monter dans les tours. Ainsi, je ne supporte pas que l’on fasse valoir, avant le reste, son intérêt personnel. Parallèlement, ceux qui lors de réunions usent de leur position hiérarchique pour faire entendre leur opinion m’exaspèrent. Je rechigne également face à l’absence de prise de décision. Les Suédois, plus encore que les Belges, sont les rois du compromis ! Résultat, il n’est pas rare que nous tournions longuement en rond avant d’entreprendre…

Croyez-moi, la vie m’a appris qu’il valait mieux prendre une mauvaise décision que pas de décision. Enfin, le manque d’ambition affiché par certains me hérisse. Je n’entends pas par là qu’il faille être carriériste. Je veux simplement dire qu’au cours de sa vie professionnelle, il faut pouvoir sortir de sa zone de confort et oser se jeter dans la tempête pour progresser.

L’intégrité est mon leitmotiv. Je vous défie d’ailleurs de trouver quelqu’un qui pourra dire le contraire. Attention, je ne lave pas plus blanc que blanc (rires). Je joue parfois avec la ligne blanche, mais je ne la franchis jamais ! On peut donc parler de coups délicats mais pas tordus. Si je me sens bien au sein de cette entreprise, c’est en grande partie parce que les valeurs qu’elle affiche, dont l’intégrité, me correspondent.

Outre ses fonctions de directeur général de la S.A. « Molnlycke Health Care », il est également administrateur de « l’Union Wallonne des Entreprises » et de « Wallonie Entreprendre ».

Portrait de Sonia Daralas, alias Soluan. (Waremme)

DARALAS Sonia

« Nourris ton âme de rêves, car ce sont les rêves qui nous permettent d’avancer. Nourris ton cœur d’espoir, car c’est l’espoir qui nourrit nos rêves pour nous permettre d’avancer » (Soluan)__C’est cette phrase qui m’a aidée jusqu’à présent à tenir le coup et qui me donne le courage et la force, jour après jour d’avancer. Mais avant une petite présentation s’impose histoire de faire un peu connaissance. Je suis d’origine grecque, née à Paris, mon père vient d’une longue lignée d’artistes, auteur composteur et interprète, il a connu son heure de gloire en Grèce et parmi la communauté grecque du monde entier. Il est décédé en 1977. Son nom (pour les grecs qui sont de passage sur ce blog) est Loukas Daralas, de sa première union est né Giorgos Dalaras artiste très connu en Grèce, (il suffit de voir sur you tube le nombre de titres et de pages qui lui sont consacrés). Nous avons par le métier de mon père beaucoup voyagé et, jusqu’à la mort de celui-ci, ma vie se résumait aux voyages et au découverte de nouveaux horizons. Bien qu’il m’arrivait de pousser la chansonnette avec mon père, c’est l’écriture qui m’a très tôt attirée. La mythologie grecque fut une de mes grandes passions dans ma jeunesse et je m’amusais à mettre certaines légendes à ma sauce. C’est donc tout naturellement que l’envie de raconter une histoire vint me titiller ; c’est suite à la perte de mon emploi que je me décidais enfin d’écrire car, jusqu’à alors je n’avais guère eue le temps de me consacrer comme il se devait à ma passion première, prise par le tourbillon de la vie et ses tourments, j’avais laissé de coté mes propres désirs. La perte de mon emploi me donna donc le prétexte et l’occasion de changer radicalement d’orientation, me disant qu’il n’y a pas d’âge pour réaliser ses rêves. Voici donc le résumé de mon premier roman qui vient d’être publié. Un récit moderne et dans l’air du temps qui fait la part belle aux romantiques (avoués ou non) que nous sommes.

Portrait d’Hervé Rigot (Waremme)

RIGOT HervéRIGOT Hervé est âgé de 32 ans et est né à Lantremange ; il est le cinquième échevin de Waremme ; il a obtenu 667 voix de préférence au dernières élections communales.

Formation et profession: criminologue, directeur d’un centre d’accueil pour réfugiés.

Hobbies: sport, vie associative, Jeunesses socialistes (JS), beach-volley, famille…

Situation familiale: marié, père d’un garçon de 2 ans.

Priorités: construire un dialogue permanent avec les citoyens, définir une politique sportive globale, être le relais des jeunes auprès des autorités communales.

Présence avant 2006: conseiller au CPAS durant la législature 2000-2006.

Autres mandats: néant.

Appartenance politique: PS

Portrait de Thierry Bataille, conseiller communal (Waremme)

BATAILLE Thierry

BATAILLE Thierry est né le 19 avril 1973.

Age: 27 ans.

Coordonnées: avenue de Selys, 12 à Waremme. et fax: 019/54.67.14, GSM: 0496/53.07.13

Formation et profession: infirmier aux soins intensifs à la clinique de l’Espérance à Montegnée.

Situation familiale: fils de feu BATAILLE Théophile, dit « Théo », ancien conseiller communal PSC.

Présence avant 2001: néant.

Mini-message: pas poussé par mon père, mais «tombé dedans» étant petit, je me lance en politique pour, comme lui, servir les Waremmiens.

Autres mandats: délégué syndical CNE.

Parti politique: Intérêts communaux.

Portrait de Christophe Humblet, conseiller communal (Waremme)

HUMBLET ChristopheHUMBLET Christophe est né le 20 mars 1971.

Age: 29 ans.

Coordonnées: rue des Cerisiers, 11 à Waremme. et fax: 019/32.49.73, GSM: 0475/81.57.14

Formation et profession: instituteur primaire, travaille comme éducateur au collège Saint-Louis à Waremme.

Présence avant 2001: néant.

Mini-message: j’aimerais, dans un souci de réelle démcoratie, que la majorité de notre cité nous considère comme des partenaires et intègre nos remarques et suggestions dans ses projets.

Parti politique: Intérêts communaux.