En 1985, la « Ferme du Tilleul », centre de formation professionnelle en agro-alimentaire, ouvre ses portes à Waremme, à l’initiative de l’Intercommunale de Guidance (A.I.G.S.) et du Fonds national de reclassement social pour handicapés (F.N.R.S.H.).
Elle peut accueillir jusqu’à une vingtaine d’adultes, au n° 7 de la rue de la Limite à Bettincourt.
La présidente du centre est Madame HUMBLET-DUMONT Martine.
En 1980, la société « Mölnlycke », installée dans le zoning industriel de Waremme, emploie 200 personnes.
En 1976, la S.A. « Moteurs Moës » emploie cent dix personnes à Waremme.
Au début de l’année 1976, l’imprimerie S.A. « Renier et Cie » emploie encore 35 personnes. En 3 ans, son personnel s’est réduit de 13 unités. Elle édite la gazette hebdomadaire régionale, mais également d’autres périodiques pour la Belgique et l’étranger. Elle imprime également des travaux de luxe en quadrichromie.
En 1975, l’Entreprise de Travail Adapté « Jean Gielen » construit un bâtiment de 1.500 m2 dans le zoning industriel de Waremme. Il accueille 41 personnes.
En 1975, les firmes « Arrow » et « Tresca » quittent le zoning industriel de Waremme. Elles sont remplacées par la société suédoise « Mölnlycke », spécialisée dans la fabrication de matériel clinique à usage unique (champs opératoires, blouses, masques, bonnets) et du traitement des plaies (pansements modernes et classiques), et par la société « S.I.C. », entreprise de construction en bois.
Mölnlycke rachète les bâtiments de l’usine « Arrow » pour 31 millions de francs et investit 37 millions de francs pour créer une installation de stérilisation de 540 m2.
Mölnlycke emploie quarante personnes et S.I.C. cent cinq personnes.
Le 29 novembre 1940, le poste de président de la Commission d’Assistance Publique est retiré par l’occupant à SCHLUSMANS Joseph. Le poste est confié à DUCHATEAU Emile.
Le 8 juillet 1936, la loi instaurant les congés payés est votée par le Parlement belge. Beaucoup de salariés vont voyager pour la première fois.
Le 14 juin 1921, WAUTERS Joseph fait voter la loi des huit heures de travail journalier et la semaine des 48 heures. Les pêcheurs, les agriculteurs, les entreprises familiales et celles qui pratiquent le travail ininterrompu échappent à la loi.
Cette réforme place la Belgique dans le peloton de tête des pays les plus avancés en matière de législation sociale.
Le 13 mai 1919, la durée maximale de la journée de travail est dorénavant fixée à 9 heures, en Belgique.