Le 23 juin 1912, les délégués des différents groupements socialistes de l’arrondissement de Waremme tiennent une réunion à la Maison du Peuple de Waremme. Ils évoquent la manière dont la grève générale devra être organisée à Waremme.
Le 25 mars 1886, des ouvriers grévistes manifestent à Waremme aux cris de « Vive la République ! ». Le bourgmestre libéral LEJEUNE Jules rappelle les gendarmes partis pour Jemeppe et Seraing (en grève depuis le 19 mars) et demande que la Garde Civique soit armée de fusils et de baïonnettes.
Le 26 mars 1982, une grève décrétée par la FGTB paralyse la plupart des entreprises, administrations et grands magasins de Waremme.
Une centaine de grévistes se regroupent devant la gare et traversent pacifiquement la ville. Le cortège se disloque devant le local de la FGTB, rue Hubert Stiernet
Le 19 avril 2014, les facteurs de Waremme entament un mouvement de grève, pour protester contre le manque d’effectifs.
DESSART Francis est délégué syndical à la Poste de Waremme.
Le 10 avril 1995, une grève paralyse la Clinique Notre-Dame de Waremme. Le personnel manifeste pour le maintien d’un laboratoire 7 jours sur 7 à la clinique et contre le projet de restructuration des laboratoires des trois cliniques fusionnées.
Le 24 janvier 1992, les ouvriers de la sucrerie « Naveau » distribuent gratuitement du sucre sur le marché de Waremme, pour protester contre les menaces de fermeture de leur entreprise, suite à son rachat par la Raffinerie Tirlemontoise.
Le 22 mai 1990, plusieurs centaines de professeurs se retrouvent à l’entrée de Waremme, au carrefour de la Patte d’Oie, et décide de bloquer la circulation pour protester contre les projets de restriction de la Communauté Française.
Le 8 décembre 1945, la grève des tramways, qui a débuté à Liège à cause de salaires trop bas, s’étend à Waremme.
En avril 1913, une grève générale est décrétée en Belgique, pour la journée de huit heures, pour l’amélioration des conditions de travail et pour le suffrage universel pur et simple.
A Waremme, la plupart des ateliers de petite mécanique, tels que les firmes «Ateliers MOES », « horlogerie GONNE », ainsi que le garage-carrosserie « LEONARD », sont bloqués par la grève.
Le 14 avril 1902, les socialistes appellent à la grève générale, en faveur du suffrage universel pur et simple, en Belgique. Les manifestations de rue sont durement réprimées et les actions se soldent par un échec.