Lafayette, Président de l’Assemblée Nationale (France)

LA FAYETTE Marie-JosephLe 13 juillet 1789, le marquis de LA FAYETTE Marie-Joseph est nommé président de l’Assemblée Nationale en France.

Le Marquis de Sade écrit « Les 120 jours de Sodome » (France)

DE SADE Donatien Alphonse François

En 1785, la marquis DE SADE Donatien Alphonse François rédige « Les 120 Jours de Sodome ».

« La Pompadour » devient la maîtresse du roi Louis XV (France)

POISSON Jeanne-Antoinette, dite "Marquise de POMPADOUR"

En février 1745, POISSON Jeanne-Antoinette, dite la « POMPADOUR » devient la maîtresse du roi de France LOUIS XV, qui la fait marquise.

roi louis xv

roi louis xv

Louis XIV épouse Madame de Maintenon (France)

D'AUGIGNE Françoise, marquise de MaintenonLe 9 octobre 1683, le Roi de France LOUIS XIV épouse D’AUBIGNE Françoise, marquise de Maintenon, dite « Madame de Maintenon ».

roi Louis xiv

roi Louis xiv

Les arquebusiers remplacent les arbalétriers (Waremme)

gé́rard de groesbeek

gérard de groesbeek

En 1576, un mandement du conseil privé du Prince-Evêque de Liège, DE GROESBECK Gérard, autorise l’établissement d’une société d’arquebusiers dans la ville de Waremme, en remplacement de la Confrérie d’archers, qui utilisait, jusque-là l’antique arbalète.

Texte du mandement:

« Gérard de Groesbeck, par la grâce de Dieu, évesque de Liège, duc de Builhon, comte de Looz, marquis de Franchimont, etc …, à tous ceux qui ces nos présentes lettres verront et orront, salut.

Savoir faisions, comme d’anchienneté a, en nostre ville de Waremme, esté instituée une compaignie et confrairie d’archiers et de l’arc à la main, soubz certains articles, conditions et privilèges, laquelle compaignie pour le temps qui court et pour, selon les occurrences, en avoir et tirer plus de service, l’on désireroit muer et changer en société des harquebisiers, et y prendre en employer gens exercités à la harquebuse, s’il nous plaisoit ad ce octroyer et interposer nostre consentement et auctorité, nous requérant de ce bien instamment;

pour ce est-il que nous, ce que dit est considéré, désirant le bien et la seureté de nos pays et sujetz, et que iceux en honneste exercice, plus tôt (qu’) en autres occupations s’employent et passent le temps, ayant fait examiner fait examiner les précédentes institutions susdites par lesquelles ces présentes nos lettres sont transfixées, avons consenti et accordé, consentons et accordons par ces présentes, que ladite compaignie d’archiers se change et soit transmutée en confrairie des harquebisiers, et, en lieu de l’arc à ma main qu’ils soloient exercer, ils prendent et s’exercent au trait de l’harquebuse, soulz toutes telles concessions, grâces, privilèges et immunitez que contiennent et portent lesdites lettres de première institution, icy annexées comme dit est.

Et sera en outre chacun, par les roy, gouverneurs et jurés de ladite confrairie admis et enrôllé en ladite compaignie, tenu premièrement et avant tout de faire et prester le serment sur saintes Evangiles, qu’il est et demeurera bon et obéyssant filz et subjet de nostre mère sainte-Eglise catholique et romaine, et ne se donnera à nulle autre foy, religion et créance que celle que, dès son institution et jusques à présent a tenu et tient ladite Eglise catholique et romaine.

En outre, que, à toute semonce, il sera prest et obéyssant, en deues armes et équipaige, à nous, nos successeurs évesques et princes de Liège, leurs baillitz et officiers de Hasbaingne, mayeurs de nostredite ville de Waremme, leurs lieutenantz, substitutz ou austres, telz que de part nous ou nos successeurs ilz pourriont estre députez, pour divertir tout mal, dangiers et emprinses, des pays et princes de Liège susdits, avancer et promover leur bien, honneur et proufit, assister lesdits officiers et chacun d’iceux, en estantz requis, en toutes appréhensions, saisies, détentions et garder à tous criminelz, malfaiteurs, vagabonds et autres méritans appréhension ou faisans foulles et dommaiges en nosdits pays et subjetz manas et inhabitans de nostredite ville et appartenances d’icelle.

Avons aussy telz que seront receuz et admis desdites compaignies et confrairies réciproquement prins et accepté, prenons et acceptons par ces présentes en nostre singulière protection et sauvegarde, défendant bien par exprès à tous et chacun, soyent nos subjetz ou autres, que auxdits confrères, compaignons et harquebusiers, ne à aucun d’iceux, aux jardins , déduitz et exercice de ladite harquebuze et en l’accomplissement du surplus de leursdits devoirs, ilz ne donnent ou fassent quelque empeschement ou destourbier en aucune manière, à peine d’estre chastiez et punis comme contraventeurs et infracteurs de sauvegarde, sans aucun part ne dissimulation; car nostre plaisir est tel.

La Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme dispose d’un local à l’étage de l’Hôtel de Ville.

Baptème de Clovis et progression du christianisme (Gaule)

clovis

clovis

Pendant son long règne, CLOVIS étend sa domination sur une grande partie de la Gaule. L’évangélisation de la Hesbaye prend un nouvel essor après son baptême par SAINT-REMI, le 25 décembre 496. CLOVIS devient le protecteur de la foi catholique. Des catéchistes itinérants élèvent des oratoires en différents lieux de la Gaule : Neustrie, en Austrasie et, plus que probablement à Waremme. Ces oratoires, où des prêtres célèbrent la messe, sont souvent construits par les grands propriétaires dans leur domaine. Ils vont se multiplier et devenir peu à peu des églises paroissiales.

Pendant le règne de CLOVIS, la région passe aux mains de BOIDENT, premier Comte de Tongres et Marquis de Hesbaye. Il serait le fils du Duc D’ARDENNE Henri et d’AYLIS, la sœur de CLOVIS. BOIDENT décide de rebâtir les villes détruites par les Huns.