Guillaume de Jeneffe, chevalier (Waremme)

En 1248, DE JENEFFE Guillaume est chevalier. Ses parents sont DE JENEFFE Baudouin, châtelain de Waremme, et DE MONTFERRANT Ermentrude. Il succèdera à son père comme châtelain de Waremme.

Gérard de Jeneffe, chevalier (Waremme)

En 1310, DE JENEFFE Gérard, dit « Tatar », est chevalier. Ses parents sont DE JENEFFE Baudouin (qui a été châtelain de Waremme) et DE MONTFERRANT Ermentrude. Il est le frère du chevalier DE JENEFFE Guillaume, châtelain de Waremme.

Libert « Butor » de Jeneffe, chevalier (Waremme)

En 1248, DE JENEFFE Libert, dit « Butor », est chevalier. Ses parents sont le chevalier DE JENEFFE Baudouin, châtelain de Waremme, et DE MONTFERRANT Ermentrude. Il est le frère du chevalier DE JENEFFE Guillaume, qui sera le nouveau châtelain de Waremme.

Marguerite de Jeneffe (Waremme)

DE JENEFFE Marguerite est la fille de DE JENEFFE Libert et de DE HAMAL Nathalie. Elle est la sœur du châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin.

Arnold d’Oreye, chevalier (Waremme)

En 1248, D’OREYE Arnold est chevalier. Il est le fils de DE JENEFFE Libert et de DE HAMAL Nathalie. Il est le frère du châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin.

Mort de Robert de Limont (Waremme)

Le 18 septembre 1276, DE LIMONT (DE JENEFFE) Robert, seigneur de Limont, décède à (?). il était le fils de DE JENEFFE Libert et de DE HAMAL Nathalie. Il était le frère du châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin.

Mort d’Ermentrude de Montferrant (Waremme – Jeneffe)

Le 28 (29 ?) juillet (le 4 août ?) 1257, DE MONTFERRANT Ermentrude (Ermentris ?) décède à (?). Elle était la veuve de DE JENEFFE Baudouin, châtelain de Waremme, chevalier et maréchal de l’évêché de Liège. Leur fils aîné, DE JENEFFE Libert Butor héritera de leurs biens, dont la seigneurie de Jeneffe et la châtellenie de Waremme.

Elle sera inhumée en l’église de Jeneffe.

Une dalle funéraire la représente debout, les mains jointes. Sa stature est impressionnante, l’effigie mesurant 2 mètres. Elle porte une grande coiffe descendant à l’arrière, jusqu’au bas du cou, et qui couvre une coiffure en voile qui tombre en plis jusqu’au bas du visage. Ce visage est serré dans une guimpe et paré d’un bandeau au front. Ermentrude porte une robe, serrée à la taille et descendant en plis jusqu’au sol, ne laissant voir que les pointes des pieds, avec une ceinture ornée d’une boucle. De ses épaules tombe un manteau, allant largement ouvert jusqu’au sol. L’effigie est placée sous une arcade trilobée. Cette arcade est d’un tracé fort simple, tout comme les consoles sur lesquelles elle repose.

L’inscription est gravée en onciales, sur une bande de largeur peu commune de 8 à 9 centimètres. C’est une des premières en pays mosan dont le texte est en français. Les mots sont séparés par des points. Les caractères sont d’un dessin raffiné:

 » CI . GIST . ERMENTRUS . DAME . DE . GINEFFE . CHASTELAINE . DE . WAREMME . ELLE . MORU . LAN . DEL INCARNATION . NOSTRE . SANGNUR . M° . CC° . L° . VII° . IIII° KL . DAOST / PRIIS POR LI « 

Le dessin de la figure est assez médiocre; celui des mains, des plis (au bas et à la taille) est de faible qualité. Le dessin de l’arcade est élémentaire. Ceci contraste avec la qualité du tracé de l’épigraphie.

L’autel de la Sainte-Vierge (Waremme)

Entre 1282 et 1295, DE KEMEXHE Gilles participe à la fondation de l’autel de la Sainte-Vierge au château de Waremme.

Que reste-t-il du « Vieux Waremme » ?

En 1889, il ne reste plus aucun vestige de l’ancien château. Les fortifications ont en grande partie disparu.

La « Motte féodale » sera nivelée (Waremme)

Le 11 avril 1839, le Conseil Communal de Waremme prend la décision de niveler la motte féodale, sur laquelle s’élevait jadis le château de Waremme, car le terrain qu’elle occupe est absolument nécessaire pour y installer le jardin du curé. En effet, la commune ne possède aucun autre terrain convenable à proximité de la maison pastorale. Le conseil évalue le coût de ces travaux à 300 ou 400 francs. Il compte financer ceux-ci en procédant à la vente des arbres qui croissent sur la butte et sur le terrain joignant et qui devrait lui rapporter 352 francs.