Un espace public numérique à Berloz

Le 31 août 2015, la commune de Berloz inaugure un Espace Public Numérique. 5 ordinateurs et l’accès à internet sont mis à la disposition du public à la Maison Communale. Le bourgmestre de Berloz est DEDRY Joseph.

Maquette de la Maison Communale (Crisnée)

Le 18 mars 2016, le bourgmestre de Crisnée, GOFFIN Philippe, présente la maquette au 1/10° de la future Maison Communale. Elle sera construite sur le site de l’ancien cinéma en plein air. Elle devrait être terminée en juin 2018.

Les époux Walraedt mis à l’honneur (Waremme)

Le 30 avril 2016, les époux WALRAEDT sont mis à l’honneur par la commune de Waremme. Ils ont légué à la ville une œuvre du peintre waremmien (d’Oleye), MATERNE Roland, « Les Fiancés de la Vie ». C’est une peinture à l’huile sur panneau, réalisée entre 1965 et 1966, représentant un jeune couple enlacé. L’œuvre est placée dans le hall de l’autel de ville.

La Maison Communale de Momalle, cambriolée

En 1943, des Résistants s’introduisent, à la nuit tombée, dans la Maison Communale de Momalle. Ils emportent les registres d’Etat-Civil, un sceau communal et différents documents qui leur permettront de fabriquer de fausses pièces d’identité et de fausses cartes de ravitaillement pour les clandestins.

Ces Résistants sont:

  • STASSART Joseph, dit « Arsène »
  • DESIR Joseph
  • DENGIS Albert
  • BRANKART Joseph

Guillaume Bottin, concierge (Waremme)

En janvier 1940, BOTTIN Guillaume est le concierge de l’Hôtel de Ville de Waremme.

Le Café Crotteux (Hollogne-sur-Geer)

En janvier 1940, les soeurs CROTTEUX exploitent un café près de la Maison Communale de Hollogne-sur-Geer.

Des prisonniers rue Joseph Wauters (Waremme)

Le 12 mai 1940, des centaines de soldats belges, qui ont passé la nuit à Waremme (chez l’habitant ou à la belle étoile) sont faits prisonniers par les Allemands. Ils sont rassemblés sur le trottoir de la rue Joseph Wauters, de l’Hôtel de Ville jusqu’à la place du Roi Albert 1er. L’autre trottoir est couvert de leurs havresacs, casques, bottines, ceinturons, fusils, mitrailleurses, …, amoncelés sans ordre. Ces prisonniers seront emmenés, en colonnes, jusque Tongres.

Léon Charlier, boucher (Waremme)

En janvier 1940, l’étal du boucher CHARLIER Léon est situé en face de l’Hôtel de Ville de Waremme.

Les « Collabos » sont arrêtés (Waremme)

Le 7 septembre 1944, des Résistants patrouillent dans Waremme et arrêtent ceux que la rumeur publique qualifie de traitres ou de collaborateurs.

Ils sont conduits, sans ménagement, à l’Hôtel de Ville. Ils gravissent les marches du perron sous les huées d’une foule nombreuses et sont enfermés dans les sous-sols de l’immeuble.

Tensions à l’Hôtel de Ville (Waremme)

Le 7 septembre 1944, en pénétrant à l’Hôtel de Ville de Waremme, les Résistants de l’Armée Secrète (AS), MOUREAU Edmond et GODBILLE Maurice, y trouvent quelques membres du Front de l’Indépendance (FI) qui les ont précédés:

  • GAUNE François
  • DERYDT Alfred
  • RENKIN André

Il y a des divergences de vue entre les deux organisations de Résistants.

Les membres du Front de l’Indépendance veulent une répression impitoyable et immédiate des traitres et des collaborateurs, alors que les membres de l’Armée Secrète veulent avant tout réinstaller l’autorité qui existait en mai 1940, c’est-à-dire le bourgmestre JOACHIM Guillaume. Les membres du Front de l’Indépendance déclarent que celui-ci a collaboré avec l’Occupant et qu’il doit être démis. Pour eux, le seul représentant de l’autorité doit être le commissaire HARDY Camille, qui a refusé toute collusion avec les Allemands, dès le début de l’Occupation.