Inauguration de l’Hôtel de Ville (Waremme)

En 1902, le nouvel Hôtel de Ville de Waremme est inauguré. Il a été construit dans un style Néo-Renaissance, sur plans de l’architecte BRICTEUX, par l’entrepreneur LOYENS, pour un prix de 63.300 francs. Une partie de la Ferme « JACQUES » est incorporée à ce nouvel Hôtel de Ville. La grange sert de remise pour le corbillard, la voirie et les pompiers.

Le « Grand Bazar » est raccordé au téléphone (Waremme)

Au début de l’année 1902, la quincaillerie « Au Grand Bazar », installée en face de l’Hôtel de Ville, au n° 1 de la rue Hubert Stiernet, est une des premières maisons de Waremme à être raccordée au téléphone. Le numéro 5 lui est attribué.

Le nouvel Hôtel de Ville de Waremme

Le 30 avril 1898, le conseil communal de Waremme approuve les plans et le devis du nouvel Hôtel de Ville. Cette reconstruction est rendue nécessaire car l’actuel Hôtel de Ville menace ruine et ses locaux sont devenus insuffisants, suite à l’extension des divers services publics.

Le Conseil Communal règlemente les marchés (Waremme)

Le 23 janvier 1841, le conseil communal de Waremme adopte le règlement de police relatif à la tenue du marché décidé le 24 août 1839 et autorisé par l’Arrêté-Royal du 13 décembre 1840 :

… Le marché aux grains se tiendra près de la Maison communale et pourra s’étendre du tournant de la rue du Pont jusqu’à celui de la rue de Liège et dans l’autre sens jusqu’au coin de la place vis-à-vis de la ruelle du Curé. Le marché des bêtes à cornes sur l’ancien marché dit « des vaches », dans la rue de Liège et celui des porcs dans la rue de la Visigate. Celui des volailles, gibiers, beurres, fromages, œufs, viandes et légumes se tiendra sur la place vis-à-vis de l’école communale …

La Justice de Paix (Waremme)

En 1836, le juge de paix de Waremme est DEBRUN Georges-Louis, rue du Pont à Waremme. Son suppléant est LEJEUNE Charles-Michel et son greffier FRAIPONT J.B.B., qui habite rue de Huy à Waremme.

Le juge DEBRUN Georges-Louis tient audience à la maison communale de Waremme le vendredi, et au besoin le mardi, à 10 heures du matin.

L’église Saint-Pierre doit être réparée (Waremme)

En 1801, l’Eglise Saint-Pierre de Waremme se trouve, selon les termes du Baron DE LAFONTAINE Eugène, président du Conseil de Fabrique, dans un état de délabrement complet. Des travaux de reconstruction sont entrepris. Tous les habitants de la commune possédant des chevaux sont convoqués à l’hôtel de ville où ils s’engagent volontairement à faire chacun une corvée afin d’amener sur les lieux les matériaux nécessaires à cette reconstruction.

Le mariage civil est désormais obligatoire (Waremme – Belgique)

Le 17 juin 1796 (29 prairial de l’An IV), une loi française, promulguée par le Directoire, institue l’Etat Civil en France et dans la région de Waremme.

Jusque-là, les naissances, mariages et décès étaient seulement inscrits dans les registres paroissiaux, par les curés. Ceux-ci devront transférer ces registres aux mairies. Dorénavant, l’administration civile enregistrera les principaux faits relatifs à l’état des personnes. C’est ainsi que cette loi rend obligatoire le mariage civil à la mairie.

Mais ce n’est qu’à partir de 1802 que les actes de naissance, de mariage et de décès seront dressés régulièrement par les mairies.

Fête à l’hôtel de ville (Waremme)

Le 30 mai 1796, une fête est organisée à l’Hôtel de Ville de Waremme en l’honneur des grands succès des armées de la République. Le commissaire BRAIVE prononce un discours.

L’hôtel de ville être reconstruit (Waremme)

Le 14 avril 1751, l’adjudication des travaux de l’Hôtel de Ville, détruit dans un incendie trois ans auparavant, est effectuée par le conseil de la ville. Le nouvel immeuble sera reconstruit à l’emplacement de l’ancien édifice. Les travaux seront entamés sous le mayorat du bourgmestre SONVAL François.

Il faut effectuer des travaux au local de la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 22 mai 1729, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme constate qu’il y a de grosses réparations à effectuer à l’Hôtel de Ville. Pour les financer, elle décide que chaque confrère devra payer une prébende de deux esqualins, avant la Pentecôte.