Vers 1760 (1780 ?), les frères DE BELLEFROID Mathias-Oger, DE BELLEFROID Hubert-Frédéric et DE BELLEFROID ? font construire un château sur le site d’Oudoumont à Verlaine. Ils acquièrent également de nombreux biens aux alentours.
Au 19ème siècle, DE BELLEFROID Félix, fils de DE BELLEFROID Hubert-Frédéric, transforme de château d’Oudoumont, construit à Verlaine par son père et ses oncles. Il agrandit la chapelle, crée un parc « à l’anglaise », creuse un étang et canalise l’Yerne qui traverse la propriété.
En 1788, DE BELLEFROID Félix voit le jour au château d’Oudoumont (?) à Verlaine. Son père est DE BELLEFROID Hubert-Frédéric. Il épousera DE DONNEA Marie.
En 1871, DE DONNEA Marie décède à (?). Elle était veuve de DE BELLEFROID – D’OUDOUMONT Félix. La fortune du couple est répartie entre leurs 3 enfants:
Le château d’Oudoumont, à Verlaine, revient au cadet, DE BELLEFROID – D’OUDOUMONT Camille, ainsi qu’une bonne partie du domaine attaché à ce château.
En 1843, DE BELLEFROID – D’OUDOUMONT Camille voit le jour au château d’Oudoumont (?) à Verlaine. Ses parents sont DE BELLEFROID – D’OUDOUMONT Félix et DE DONNEA Marie. Il épousera CARTON DE FAMILLEUREUX Marie. Il reprendra le château d’Oudoumont, à la mort de ses parents. Il sera bourgmestre de Verlaine, avant de quitter la Belgique pour le Canada.
En 1893, DE BELLEFROID – D’OUDOUMONT Camille et son épouse CARTON DE FAMILLEUREUX Marie vendent le château d’Oudoumont à Verlaine, à la veuve et 2ème épouse du Chevalier DE LAMINNE Ernest, SCHWAB Hélène.
Le 31 décembre 1936, le château et le domaine d’Oudoumont, à Verlaine, est acquis par le Comte DE LIEDEKERKE Pierre et son épouse.
En octobre / novembre 2025, la salle du conseil communal de Remicourt est en travaux de rénovation (plafond, sol, murs, électricité, écrans, aérogommage des meubles, …). Le budget devrait avoisiner les 45.000 euros. Les travaux devraient être terminés en mars 2026. Entre-temps, les réunions du conseil communal se tiennent à l’école de Momalle.
En juin 1925, le Chevalier DE SELLIERS DE MORANVILLE Albert est châtelain à Verlaine (?).
Le 17 décembre 1926, en fouillant les combles de l’église de Verlaine, on découvre, au-dessus de la voûte, les anciennes murailles de l’église primitive (du XIème ou XIIème siècle), percées de 5 fenêtres aux lignes très pûres, correspondant aux 3 travées.