En 1838, la gare de Waremme enregistre 32.000 francs de recettes.
Archives de catégorie : Gare
Alerte à la bombe (Waremme)
Le 31 mai 1975, une alerte à la bombe est déclenchée à la gare de Waremme. Une mystérieuse boîte est découverte dans une poubelle, sur les quais. Elle se révèlera tout-à-fait inoffensive.
Les projet urbanistiques du pharmacien Jacob (Waremme)
En 1974, dans une brochure publiée par le Centre d’Etudes d’Urbanisme Commercial de Waremme, le pharmacien JACOB propose la création d’un « petit ring » qui permettrait de diminuer l’intensité du trafic dans les principales artères de la ville. De plus, les terrains disponibles en bordure de ce « ring » permettraient de créer une gare d’autobus et d’aménager des parkings.
Il propose ainsi:
- De créer une percée entre la rue Hubert Stiernet et la rue des Combattants (d’un tracé à peu près parallèle au Geer).
- Cette nouvelle rue serait reliée à la rue Sous-le-Château par l’aménagement et la prolongation de la rue du Rèwe.
- Une seconde transversale pourrait partir du sommet de la rue Hubert Stiernet, là où débouche l’impasse.
Les utilisateurs du train (Waremme)
En 1851, le bureau du Chemin de Fer de Waremme a délivré 26.000 coupons.
Le « Train Leburton » (Waremme – Liège – Bruxelles)
En 1973, conscient du nombre élevé d’habitants de la région, travaillant à Bruxelles dans la fonction publique, le bourgmestre de Waremme, devenus Premier Ministre, LEBURTON Edmond, obtient que le train direct reliant Liège à Bruxelles, s’arrête à Waremme le matin à 7h47 et le soir à 17h23.
La ligne de chemin de fer électrifiée (Waremme – Liège – Bruxelles)
En 1955, le ligne de chemin de fer n° 36, Bruxelles – Liège, sur laquelle se trouve la gare de Waremme et celle de Fexhe-le-Haut-Clocher, est électrifiée.
Un train est attaqué (Waremme – Fexhe-le-Haut-Clocher)
Le 11 (12 ?) mai 1940, à 14 h 30, un train bondé de voyageurs, en provenance de Liège, est attaqué en gare de Fexhe-le-Haut-Clocher. Quatre « Stuka » surgissent en rase-motte et larguent leurs bombes en direction de la gare et du train. La plupart des engins tombent dans les alentours de la gare, pulvérisant les vitres les maisons du quartier, mais le fourgon de queue et la dernière voiture du train sont touchés de plein fouet.
Il y a beaucoup de victimes. Des dizaines de blessés sont transportés au cabinet du docteur DEFFET Gaston, à proximité de la gare. Des corps s’alignent sur sa pelouse. Le docteur DEFFET reçoit l’aide d’un médecin militaire de passage. A deux, ils prodiguent les premiers soins et organisent le transfert vers les hôpitaux de la région.
Ce qui reste du convoi poursuit sa route vers Waremme, où les blessés graves seront pris en charge.
Les gendarmes de la brigade de Fexhe-le-Haut-Clocher doivent intervenir pour arrêter le pillage des décombres du train et obliger certains villageois à restituer des objets volés.
Les mobilisés à la gare (Waremme)
Le 1er août 1914, au matin, les mobilisés de Waremme prennent le chemin de la gare, revêtus de leur uniforme. La plupart sont accompagnés de leurs proches.
En ce début de mois d’août, 101 hommes sont mobilisés à Waremme.
L’activité des gendarmes (Waremme)
Le 31 juillet 1914, en soirée les gendarmes de Waremme se livrent à un ballet incessant entre la gare et leur caserne située sur la place de la Gendarmerie (qui deviendra plus tard la place du Roi Albert 1er).