En 1965, FRANKEN Louis est ouvrier aux Chemins de Fer. Il habite au n° 24 de la rue de la Costalle à Waremme. Il est membre de la section de Waremme de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G).
Archives de catégorie : Chemin de Fer
Alphonse Struyven, ouvrier (Berloz)
En 1965, STRUYVEN Alphonse est ouvrier à la SNCB. Il habite rue de la gare à Berloz. Il est membre de la section de Berloz de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G.).
Léon Broos, ouvrier (Corswarem – Berloz)
En 1965, BROOS Léon est ouvrier à la SNCB. Il habite au n° 15 de la rue Schurven à Corswarem. Il est membre de la section de Berloz de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre.
Le magasin de meubles Herck (Waremme)
En 1965, la Maison « HERCK », qui vend des meubles et des voitures pour enfant est installée près de la gare de Waremme.
L’horlogerie-bijouterie Renson-Collin (Remicourt)
En 1965, l’horlogerie-bijouterie « RENSON-COLLIN J. » est installée près de la gare de Remicourt.
Bamboche, porteur de bagages (Waremme)
Vers 1910 (?), un surnommé « Bamboche » transporte les bagages des voyageurs, qui se rendent ou reviennent de la gare de Waremme, au moyen d’une brouette.
Il porte une casquette à visière élimée. Il s’exprime d’une voix puissante et « grassayante ». Il est solide, halé et barbu. Il a domestiqué une oie blanche qui le suit à quelques pas.
Naissance de Joseph Martinaux (Waremme)
Le 12 septembre 1920, MARTINAUX Joseph voit le jour à Waremme. Il y perdra la vie dans un accident de chemin de fer en 1941.
Les prochains travaux à Remicourt
Le 26 mars 1948, les autorités communales de Remicourt dressent leur plan quinquennal de travaux:
- les égouts (à l’étude depuis 1947)
- un nouveau cimetière
- le chemin de Pousset à mosaïquer sur 700 mètres
- les chemins du « Circuit Village » à mosaïquer sur 1.200 mètres
- la création de bâtiments pour deux classes
- une classe existante sera divisée en deux paries, l’une deviendra salle de gymnastique et l’autre cabinet de médecine
- les trottoirs
- établissement d’une piscine avec plaine de jeux
- construction de maisons à bon marché
- construction d’un chemin direct entre Remicourt et Momalle
- construction d’un chemin pour prolonger la « Nouvelle Percée » de la gare vers le viaduc du Pont-Bonne
- la reconstruction de l’église qui, n’étant pas un bien communal, est du ressort de l’Etat
Charles Gérard, saboteur (Remicourt)
En 1940, GERARD Charles « entretient » (sabote ?) les wagons de marchandises stationnés sur la voie de garage de la gare de Remicourt.
Travaux à Remicourt
En 1928, les entreprises « LAURENT » de Remicourt construisent la « Nouvelle Percée » qui relie l’église du village à la gare.