Le 28 septembre 2003, LELOTTE Philippe, de Waremme, décède à Lomé au Togo à l’âge de 44 ans. Sa compagne survivante est BAUDUIN Catherine. Il était natif de Tirlemont. Il sera inhumé au cimetière de Waremme.
Archives de catégorie : Cimetière
Mort de Lucien Latinne (Waremme – Hollogne-sur-Geer)
Le 18 novembre 2020, LATINNE Lucien, de Waremme, y décède à l’âge de 85 ans. Il était veuf de DELANDSHEERE Adolphine. Il était natif de Hollogne-sur-Geer. Ses cendres seront dispersées au cimetière de Waremme.
Mort d’Albert Jacques (Waremme – Bergilers)
Le 30 novembre 2020, JACQUES Albert, de Waremme, y décède à l’âge de 85 ans. Il était natif de Bergilers. Il sera inhumé dans le caveau familial au cimetière de Hollogne-sur-Geer.
Mort de Michel Gillis (Waremme – Seraing)
Le 9 novembre 2020, GILLIS Michel, de Waremme, décède à Seraing, à l’âge de 53 ans, de l’épidémie de coronavirus. Sa veuve est SMEETS Carine. Il était natif de Waremme. Il était responsable de la police administrative de la commune de Waremme. Son urne funéraire sera déposée dans le caveau familial au cimetière de Waremme.
Les Mémoires de Viemme
L’association « Les Mémoires de Viemme » regroupe des gens intéressés par le patrimoine de leur village. Les bénévoles s’attèlent à la lutte contre le vandalisme passif. Ils réalisent des travaux de rénovation, comme au vieux cimetière de Viemme où des croix en fonte ont été rénovées.
Mort de deux religieuses (Jeneffe)
En 1912, Soeur PIRON Gertrude et Soeur POULQUE Marie-Ange, du couvent de religieuses de Jeneffe, décèdent à (?). Elles seront inhumées dans le « Caveau des Religieuses », derrière l’église du village.
Restauration de l’église (Hodeige)
En avril 1905, les travaux de restauration de l’église de Hodeige sont entamés. L’architecte chargé de ces travaux est LOHEST.
Les travaux consistent en la restauration de l’église existante, fort délabrée, ainsi qu’en son agrandissement, par l’ajout d’une nef latérale.
Le monument s’élève au milieu du cimetière. Avant les travaux, il n’a que 2 nefs, recouvertes par des plafonds en lattes, et construites dans le style flamboyant de XVème siècle (ou du commencement du XVIème siècle), mais dont le caractère architectonique a entièrement disparu lors des restaurations effectuées à la Renaissance. Le remplissage des fenêtres a été enlevé et il ne reste plus que des ouvertures de baies informes et dépouillées de tout ornement. Les matériaux, destinés dans la pensée du constructeur à être vus, ont été recouverts soit d’un épais badigeon, soit d’une couleur « agressive ». La grande fenêtre percée dans le mur plat du choeur a été bouchée par une maçonnerie et, à l’intérieur, est masquée par le maître-autel. Enfin, les murs ainsi que les toits, en fort mauvais état, achèvent de donner à cet édifice l’aspect d’une ruine plutôt que d’une église servant au culte divin.
Les Plaids Généraux à Hodeige
Appelé aussi « Assemblement des Manants », il a lieu en plein air, soit sur le pont jeté sur l’Yerne, non loin de l’église, soit sur le cimetière.
Ce pendant, à la fin de l’Ancien Régime, la coutume veut qu’il se tienne en la résidence d’un des deux bourgmestres. En hiver, la communauté y fait feu à ses frais.
La liste des manants présents à ces plaids est consignée dans le registre des délibérations. En cas d’empêchement, le manant doit faire connaître le motif de l’absence. Dans certains cas, la femme peut remplacer le mari.
En cas de scrutin lors de la réunion, on consigne au registre le nom des votants « pour » et « contre ».
Delle Rualle condamné à mort (Hodeige)
Le 15 avril 1565, la Cour de Justice de Hodeige condamne à mort DELLE RUALLE P. pour avoir occasionné la mort de DE MOMALLE Paquéa, en lui portant des coups de couteau. L’exécution par décapitation est pratiquée le jour même. Le corps du décapité sera livré à ses amis qui l’enseveliront au cimetière du village.
Location de bien à Hodeige
Le 20 janvier 1752, le marguillier de Hodeige, DIRICK Lambert, « rend à stuit » (donne en location ?), à BAYAR, licencié en médecine, pour un terme de 3 ans, une maison avec jardin et prairie, joignant au cimetière du village.
DIRICK Lambert se réserve une place pour habiter lui-même et qu’on appelle « la petite école« .