Le tumulus de Noville

En 1994, la Tombe de Noville, qui doit son nom à sa situation aux confins Nord du territoire de Noville, se dresse en bordure de la route « Tongres – Amay » dénommée « Chaussée des Romains » ou « Chaussée Verte », à son croisement avec la ligne de chemin de fer « Bruxelles – Liège ».

Elle est couverte d’arbres. Elle porte à son sommet la stèle funéraire de LESIEUR J.B.M., décédé en 1837. Suite à des enlèvements de terre, le Tumulus présente actuellement un plan quadrangulaire à sa base. Il a une hauteur de 7m50 et des axes de 31m sur 33m.

Les tombes sous tumulus

Les tumulus sont des monticules de terre érigés au-dessus d’une sépulture parfois aménagée à la surface du sol ou, comme c’est presque toujours le cas en Hesbaye, creusée dans le sol.

En Belgique, les tumulus gallo-romains sont particulièrement nombreux sur le plateau hesbignons. Erigés durant le « Haut Empire » et en grande majorité au IIème siècle de notre ère, ils sont souvent implantés le long de routes et sur des hauteurs, pour être vus de loin. Ils sont l’expression matérielle du pouvoir social et économique détenu par les défunts qu’ils abritent, de riches propriétaires terriens dont l’habitation est souvent assez proche.

Beaucoup de ces tumulus ont été pillés. Des puits verticaux y ont souvent été creusés depuis le sommet, les marquant encore aujourd’hui d’une dépression en entonnoir.

Louis Legros, champion (Waremme – Liège)

En 1949, le championnat provincial cycliste pour amateurs est organisé à Waremme. L’arrivée est jugée rue du Pont, vers Saint-Pierre, face à l’entrée du cimetière.

Le vainqueur est LEGROS Louis.

La peste à Waremme

En 1597, la peste ravage Waremme. Les pestiférés sont abandonnés, au point qu’ils restent sans sépulture. Le bourgmestre conclut alors un contrat onéreux, avec une femme courageuse de Liège, pour soigner les malades, ensevelir les morts et même creuser leur fosse.

Les Récollets, Ordre Mendiant (Waremme)

Aux 17ème et 18ème siècles, les Pères Récollets de Waremme, qui appartiennent à la classe des Ordres Mendiants, ne peuvent posséder au plus que:

  • un local pour les abriter;
  • une bibliothèque pour les instruire;
  • un four;
  • une brasserie;
  • un moulin;
  • un jardin pour les nourrir et leur fournir une certaine somme de travail manuel;
  • une église pour leurs offices;
  • un cimetière pour y reposer.

En dehors de cela, rien ! Aucune terre, aucune rente, avec l’obligation de mendier leur pain quotidien, en se fiant à la Providence.

A Waremme, quand chaque semaine ou chaque mois, ils parcourent les rues, les pieds nus, avec besace au dos, demandant humblement leur pain, jamais cette besace ne revient vide.

Obsèques de Georges Fallas (Berloz)

Le 21 novembre 1907, les obsèques de FALLAS Georges sont célébrées en l’église paroissiale de Berloz. Il sera inhumé au cimetière du village.

Des parcelles de dispersion (Crisnée)

Le 9 mars 1978, le conseil communal de Crisnée décide que dans le cimetière des 5 communes de l’entité, une parcelle d’environ 4 m2 sera réservée à la dispersion des cendres des corps incinérés.

Monument aux combattants (Crisnée)

Le 20 mai 1976, le conseil communal de Crisnée décide de placer un monument sur la concession réservée aux combattants, dans le nouveau cimetière du village. Le travail sera effectué par BACUS, d’Oreye.

Le caveau de Nicolas Louwette (Crisnée)

Le 29 mai 1939, le conseil communal de Crisnée accorde à LOUWETTE Nicolas l’autorisation de construire un caveau sur une parcelle lui appartenant, adjacente au côté Nord-Ouest du cimetière du village. L’autorisation lui est accordée, mais il devra réaliser, à ses frais, une ouverture dans le mur pour avoir accès au cimetière.

Rotation des inhumations (Crisnée)

Le 23 avril 1932, le conseil communal de Crisnée décide d’appliquer une rotation de 25 ans pour les inhumations dans le cimetière communal. (Cette mesure sera sans objet lors de l’agrandissement du cimetière).