Vers 1975 (?), le choeur de l’ancienne église de Remicourt, réaménagé en morgue en 1911, est démoli.
Les pierres tombales qu’elle abrite sont sauvées par une équipe de bénévoles. Elles sont déplacées dans la nouvelle église.
Vers 1975 (?), le choeur de l’ancienne église de Remicourt, réaménagé en morgue en 1911, est démoli.
Les pierres tombales qu’elle abrite sont sauvées par une équipe de bénévoles. Elles sont déplacées dans la nouvelle église.
En 1912, LAMBOTTE Camille installe une forge près du cimetière de Remicourt.
En 1994, la « Tombe Romaine » se trouve au Nord du village d’Oleye, à côté du cimetière. De forme ovale, elle présente une base étendue avec des axes de 42 m sur 48 m, pour une élévation réduite à 4 m 20. Elle aurait été explorée antérieurement (?), sans résultat connu.
En 1994, dans un environnement proche de la « Tombe de Noville », se trouvent deux cimetières et une villa. Les vestiges romains sont nombreux aux abords de la chaussée antique qui menait de Tongres à Arlon:
En 1994, la Tombe de Noville, qui doit son nom à sa situation aux confins Nord du territoire de Noville, se dresse en bordure de la route « Tongres – Amay » dénommée « Chaussée des Romains » ou « Chaussée Verte », à son croisement avec la ligne de chemin de fer « Bruxelles – Liège ».
Elle est couverte d’arbres. Elle porte à son sommet la stèle funéraire de LESIEUR J.B.M., décédé en 1837. Suite à des enlèvements de terre, le Tumulus présente actuellement un plan quadrangulaire à sa base. Il a une hauteur de 7m50 et des axes de 31m sur 33m.
Les tumulus sont des monticules de terre érigés au-dessus d’une sépulture parfois aménagée à la surface du sol ou, comme c’est presque toujours le cas en Hesbaye, creusée dans le sol.
En Belgique, les tumulus gallo-romains sont particulièrement nombreux sur le plateau hesbignons. Erigés durant le « Haut Empire » et en grande majorité au IIème siècle de notre ère, ils sont souvent implantés le long de routes et sur des hauteurs, pour être vus de loin. Ils sont l’expression matérielle du pouvoir social et économique détenu par les défunts qu’ils abritent, de riches propriétaires terriens dont l’habitation est souvent assez proche.
Beaucoup de ces tumulus ont été pillés. Des puits verticaux y ont souvent été creusés depuis le sommet, les marquant encore aujourd’hui d’une dépression en entonnoir.
En 1949, le championnat provincial cycliste pour amateurs est organisé à Waremme. L’arrivée est jugée rue du Pont, vers Saint-Pierre, face à l’entrée du cimetière.
Le vainqueur est LEGROS Louis.
En 1597, la peste ravage Waremme. Les pestiférés sont abandonnés, au point qu’ils restent sans sépulture. Le bourgmestre conclut alors un contrat onéreux, avec une femme courageuse de Liège, pour soigner les malades, ensevelir les morts et même creuser leur fosse.
Aux 17ème et 18ème siècles, les Pères Récollets de Waremme, qui appartiennent à la classe des Ordres Mendiants, ne peuvent posséder au plus que:
En dehors de cela, rien ! Aucune terre, aucune rente, avec l’obligation de mendier leur pain quotidien, en se fiant à la Providence.
A Waremme, quand chaque semaine ou chaque mois, ils parcourent les rues, les pieds nus, avec besace au dos, demandant humblement leur pain, jamais cette besace ne revient vide.
Le 21 novembre 1907, les obsèques de FALLAS Georges sont célébrées en l’église paroissiale de Berloz. Il sera inhumé au cimetière du village.