Des égouts à Grand-Axhe

En mai 1990, des travaux d’égouttage sont en cours à Grand-Axhe. A l’issue de ces travaux, 64 habitations seront liées au réseau d’égouts waremmien.

Aménagement de la Haute-Wegge (Waremme)

En juin 1982, les travaux de voirie commencent au quartier de la Haute Wegge à Waremme.

Une nouvelle rue est créée entre la rue des Prés et la rue de la Haute Wegge. Cette dernière est refaite et un réseau d’égouttage est réalisé dans la cité. Les travaux devraient durer 300 jours et coûter environ 68.000.000 de francs.

Les égoûts de Bleret

En juillet 1988, un réseau d’égoûts est inauguré dans les rues Amédée de Lantremange et Louis Maréchal à Bleret.

Les travaux ont coûté près de 25.000.000 de francs.

Le plan triennal de Waremme est approuvé

Le 7 octobre 2004, le ministre Wallon, COURARD Philippe, approuve les plans triennaux pour la ville de Waremme.

  • En 2004, l’égoutage à Bettincourt et des rue de Grand’Axhe et de Petit-Axhe sera réalisé, la réfection de la rue des Prés et l’aménagement de la place de Gérardmer.
  • En 2005, l’aménagement de pistes cyclables et la réfection des rues Emile Hallet et Sous-le-Château.
  • En 2006, la réfection de la rue de Huy.

Travaux aux égouts de Waremme

En 1976, le conseil communal de Waremme fait installer des égouts dans la rue de Berloz.

Prolongation des égouts (Waremme)

En 1972, les Egouts sont installés dans le nouveau quartier d’habitations sociales de la rue de Huy à Waremme.

Inondations à Waremme

Au mois de mai 1947, de graves inondations causent des soucis aux habitants des quartiers du Fond d’Or, de la Porte de Liège et du Brouck à Waremme. Pour y remédier, le Conseil communal décide d’entreprendre des travaux pour rectifier le cours du Geer et d’installer des égouts dans la zone menacée.

Une épidémie de choléra (Waremme)

En 1866, une grave épidémie de choléra décime la population de Waremme. De l’eau phéniquée et du chlorure de chaux sont répandus à profusion dans les maisons des indigents, dans les canaux, rigoles et lieux insalubres de la commune. Les mares d’eau et rigoles reçoivent un écoulement. Les tas de fumier existant sur la voie publique et dans les cours des habitations sont transportés.

Il n’existe pas d’égouts à Waremme.

Les rues sont des « égouts à ciel ouvert » (Waremme)

En 1866, de nombreux habitants de Waremme se plaignent, auprès des autorités communales, de l’insalubrité des rigoles, remplies de boue et d’immondices, dans les rues de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters), de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et du Moulin. Ils déclarent que se sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.