Le 31 décembre 1877, HUSTINGS Robert voit le jour à Oreye. Il épousera BEAUDUIN Marie, native d’Ayeneux.
Il sera maçon, chauffeur-livreur au moulin d’Odeur, puis s’installera à son compte comme négociant en farines.
En 1926, l’écharpe que DESART Marcel porte au cou est happée par les engrenages du moulin d’Oreye. Personne ne parvient à le dégager. Il est littéralement déchiqueté par la machinerie.
Le 6 avril 1902, DESART Jean voit le jour à Oreye. Il restera célibataire. Il sera meunier à Oreye. A sa mort, le moulin d’Oreye cessera ses activités.
En 1942, le moulin d’Oreye est exploité par le meunier DESART Jean. Son domestique est NULENS Pierre.
Vers 1955, le moulin d’Oreye s’oriente exclusivement dans la production de farines destinées à l’alimentation du bétail.
En 1923, la roue à palettes du moulin DESART d’Oreye est remplacée par une turbine, qui augmente fortement la force motrice du moulin.
Vers 1890, la plus grande des deux roues à palettes, du moulin DESART d’Oreye, est supprimée.
Le moulin se trouve au centre du village, en bordure du Geer.
Vers 1050, l’abbaye de Saint-Trond possède un moulin banal à Oreye. Les fermiers du village doivent lui payer une redevance pour y faire moudre leurs grains.
Le 22 mars 1944, les Résistants LEBURTON Albert, dit « Boldje », d’Oreye, BASTIN Charles, gendarme à la brigade d’Oreye et MOYSE Louis, chauffeur de camion à la Raffinerie d’Oreye, sont chargés par BAILLY Joseph (chef de leur section de Résistants), de faire parvenir 3.000 kg de farine, venant du moulin de Ville-en-Hesbaye, à la boulangerie HENNEMANN à Crisnée.
Cette farine doit servir à confectionner du pain pour ravitailler les réfractaires de la région, l’Armée Secrète et les nécessiteux du village.
Ils sont arrêtés par les Feldgendarmes allemands, torturés et incarcérés.
Avant 1952, il y a sept pompes à eau potable publiques à Oreye: