Louis Mignolet, chartier (Waremme)

En 1763, MIGNOLET Louis est chartier dans le quartier du Pont, à Waremme. Son épouse est COUNE Marie. Il possède 4 chevaux.

Il habite avec:

  • MIGNOLET Louis, son fils, âgé de 40 ans
  • MIGNOLET Antoine, son fils, tonnelier, âgé de 35 ans
  • FRERARD Louis, orphelin (petit-fils ?), âgé de 20 ans

Accrochage à Hollogne-sur-Geer

Le 5 septembre 1944, à Hollogne-sur-Geer, une patrouille de Résistants du « Groupe Otarie » arrive à temps pour empêcher un peloton cycliste allemand de faire sauter les ponts sur le Geer, car l’avant-garde américaine doit franchir le cours d’eau à cet endroit. Après quelques échanges de tirs, les Allemands se replient sans avoir eu le temps d’exécuter leur mission.

Destruction du pont du Val-Benoit (Liège)

Le 31 août 1939, à 18h45, le pont du Val-Benoit, près de la gare des Guillemins à Liège, est accidentellement détruit, au cours d’un violent orage, par l’explosion des mines posées par les services de la Défense Nationale. Les quatre voies de chemin de fer, qui relient la rive gauche et la rive droite de la Meuse à Liège et qui assurent la relation directe entre l’Est et le Centre du pays, sont coupées.

La source de Hollogne-sur-Geer

En novembre 2013, il y a une source d’eau potable rue du Centre, à Hollogne-sur-Geer, sous le pont qui surplombe le Geer. Elle est accessible à tous et gratuite.

Cette source alimentait déjà la brasserie de la Seigneurie de Hollogne, au 11ème siècle.

Le Pont de Pousset attaqué

Le 10 juin 1944, une section de Résistants du groupe « Zoro », conduite par LINCHET Henri, dit « Alexandre », attaque le pont de Pousset, sur la ligne de chemin de fer, entre Remicourt et Bleret. Malgré les gardes allemands, ils font sauter la voie à la dynamite.

Les « harengs à la sauce blanche » de Wagner (Waremme)

En septembre 1944, Monsieur WAGNER habite rue Hubert Stiernet à Waremme, près du Pont du Geer. Il prépare les fameux « harengs à la sauce blanche », réputés dans toute la ville.

Un projet de sabotage avorté (Waremme)

Le 30 août 1944, suite à l’échec du bombardement du 28 août 1944, qui visait à interrompre la circulation des trains entre Bruxelles et Liège, des membres du Font de l’Indépendance (F.I.) décide de couper cette ligne en provoquant le déraillement d’un convoi. Ces Résistants sont DERYDT Alfred et GAUNE François.

Ils portent leur choix sur le « MITROPA » (contraction de « mittel » et de « europa ». C’est un train international qui traverse l’Europe Centrale). Ce convoi transporte presque exclusivement des militaires allemands et des personnes travaillant pour des organisations inféodées à la Wehrmacht.

Ils ont décidés de déboulonner les tire-fonds qui immobilisent les rails, à un endroit situé entre le passage à niveau de la râperie et le petit pont du chemin de fer vicinal qui enjambe la ligne 36. Pour éviter d’être surpris, les deux saboteurs demandent à LOYAERTS Frans de faire le guet. Sa maison est exactement en face de la ligne.

Vers 21h30, après la tombée de la nuit, les deux Résistants passent par la cour de LOYAERTS Frans et s’avancent vers les voies. Ils enlèvent une dizaine de tire-fonds avec une clé à molette, ils démontent des éclisses et essayent de désaligner les rails. Le décalage n’est pas très important, mais ils ne peuvent s’attarder, sous peine de se faire remarquer.

Vers 23h30, le train approche, arrive à l’endroit où les voies ont été sabotées et … passe sans problème.

Les saboteurs ne comprennent pas. Ils doivent maintenant remettre les voies en état, pour ne pas qu’un autre convoi, chargé de civils belges, déraille.

Une première bombe explose (Waremme)

Le 28 août 1944, à 18h11, une bombe tombe dans le champ de MORIA Alphonse, à mi-chemin entre l’avenue Emile Vandervelde et le petit pont du chemin de fer vicinal. Elle pénètre à quatre mètres sous terre. Après une dizaine de secondes, elle explose, projetant des tonnes de terre à plusieurs centaines de mètres à la ronde, et faisant éclater les vitres des maisons de la rue Ernest Malvoz et de l’avenue Emile Vandervelde.

Joseph Martinaux, réquisitionné (Waremme)

Le 21 novembre 1941, MARTINAUX Joseph, dit « Bisco », ouvrier agricole, est réquisitionné pour monter la garde le long des voies à Waremme, à hauteur du petit pont du Vicinal. Il est âgé de 21 ans.

Rigald de Hemricourt, brasseur

En 1501, DE HEMRICOURT Rigald exploite la brassine, située devant le pont à Hemricourt. Précédemment, elle a été exploitée par DE PONT Rennechon.

Il paie une redevance de 6 deniers fortis et 8 chapons.