Mort de la veuve Misick (Fize-le-Marsal)

Le 4 mai 1655, (?) Marie, veuve de MISICK Jean, est retrouvée noyée dans son puits à Fize-le-Marsal. Rien n’indique qu’il s’agit d’un suicide.

Enterrement d’Adolphe d’Otreppe (Aineffe – Liège)

Le 3 juin 1879, D’OTREPPE Adolphe est inhumé à Aineffe. Il est mort du typhus, en 3 jours, probablement empoisonné à Liège par l’eau de son puits.

Le puits de la ferme de Froidbise (Waremme)

Le 2 octobre 1894, BERNARD (?) continue à travailler, sans succès, au puits de la ferme de Froidbise à Waremme.

Approfondissement des puits (Remicourt)

En 1930, pour remédier à la pénurie d’eau, due aux captages de la ville de Liège, l’administration communale de Remicourt prend en charge l’approfondissement des puits du village.

Vente de la ferme en carré de Ligney

En 1817, les descendants de la famille « TOMBEUR – DACOS – PERILLEUX » vendent, par licitation, la ferme en carré de Ligney  (à l’endroit qui s’appellera bien plus tard la rue de l’Ecole), à TOMBEUR Cosme, docteur chirurgien.

Elle comprend un beau corps de logis composé de 13 pièces, tant au rez-de-chaussée qu’au premier étage. Il est surmonté de vastes greniers et est construit sur plusieurs caves, dont une recèle un four. Le ferme comprend également deux vastes granges, trois écuries, deux étables à vaches, une bergerie, des étables, des remises, des fenils, un portail surmonté d’un colombier, une brasserie avec sa chaudière en cuivre et ses cuves, ainsi que d’autres bâtiments ruraux.

Ces bâtiments sont construits à neuf et à la moderne, en pierre de taille, briques et bois, couverts de chaume (à l’exception du portail couvert en ardoises).

Ils entourent une grande cour dans laquelle se trouve un puits.

Un jardin potager et une prairie attenante aux bâtiments et contenant avec l’assise de ceux-ci et la cour une superficie de 165 ares et 60 centiares.

La ferme en carré de Hollogne-sur-Geer

En 1981, la vaste ferme en carré de Hollogne-sur-Geer rassemble autour d’une cour pavée des bâtiments de briques, couverts de tuiles pour la plupart.

Au Nord, un portail en anse à panier, harpé et doublé d’un rouleau de briques et surmonté d’une bâtière, abrite un pigeonnier.

Côté cour, de part et d’autre du porche, un poulailler et un bureau destiné à la comptabilité de la ferme se placent maintenant dans les logettes ouvertes par des arcs semblables à celui du porche, mais d’un niveau de moindre hauteur.

Face à l’entrée, un imposant logis à double corps de deux niveaux et demi et cinq travées, à l’allure d’une maison bourgeoise. Il donne sur l’arrière vers un vaste parc. De grandes fenêtres rectangulaires à linteau droit et encadrement de pierre de taille (type que l’on trouve pour tout l’ensemble) éclairent le logis.

Jouxtant l’habitation, à gauche, la partie réservée aux domestiques empiète partiellement sur la grange en double large qui forme le côté du quadrilatère.

A droite se trouve une sellerie qui communique avec l’écurie réservée aux chevaux de selle et avec la remise des voitures.

Dans le reste des bâtiments, sont réparties des étables et des écuries couvertes de voûtes de brique reposant sur des colonnes de pierre bleue ou de voussettes sur colonnes de fonte.

Un puits surmonté d’une pompe existe encore à proximité de la remise à voitures.

Enfin, à l’extérieur du quadrilatère, de chaque côté du porche, se greffent de doubles étables construites au milieu du 20ème siècle et prolongées par un mur de briques délimitant un passage charretier qui conduit au porche d’entrée.

Une pompe pour le puits (Crisnée)

Le 2 mars 1940, les habitants du Sart, à Crisnée, sont autorisés à placer une pompe sur le puits, considéré comme leur propriété collective, bien qu’il soit établi (avec autorisation) sur la voirie publique.

Tarissement des puits (Crisnée)

En 1935, les puits de Crisnée commencent à se tarir, les uns après les autres, sauf celui de la râperie.