Transformation de l’église (Lens-sur-Geer)

Au 18e siècle, la tour de l’église Saint-Hubert de Lens-sur-Geer est remaniée et la nef romane est amputée de ses bas-côtés (17ème siècle ?).

Achat d’un tracteur (Crisnée)

En 1975, la commune de Crisnée achète un tracteur pour les travaux de voirie, aux Etablissements HOCKE, pour un prix de 418.182 francs. La dépense est couverte par le produit de la vente de l’ancienne école des filles, à TOMBAL Albert.

Travaux à la piscine (Crisnée)

En 1976, le prix des travaux de modification de la ventilation et de l’épuration de la piscine du Lycée de l’Etat à Crisnée s’élève à 2,5 millions de francs.

Ces travaux devraient permettre d’économiser 500.000 francs par an.

Réparation d’immeubles (Crisnée)

En 1949, le conseil communal de Crisnée accepte le plan d’alignement pour les réparations la reconstruction des maisons endommagées par la chute d’une bombe volante V1 allemande, à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.

Ces maisons appartiennent à:

  • SCHOENAERS Lambert
  • RENOTTE Joseph
  • MEUWIS Jules
  • les sœurs LAHAYE

Dépenses de la commune (Crisnée)

Le 13 février 1941, le conseil communal de Crisnée fixe à 15.000 francs le montant qui sera affecté à la voirie pour cette année. Il décide également d’acheter à BURE Joseph et à LAHAYE Nicolas, leur silex disponible, à 22 francs le m3.

Le caveau de Nicolas Louwette (Crisnée)

Le 29 mai 1939, le conseil communal de Crisnée accorde à LOUWETTE Nicolas l’autorisation de construire un caveau sur une parcelle lui appartenant, adjacente au côté Nord-Ouest du cimetière du village. L’autorisation lui est accordée, mais il devra réaliser, à ses frais, une ouverture dans le mur pour avoir accès au cimetière.

Pavement des cours des garçons (Crisnée)

Le 23 avril 1938, le conseil communal de Crisnée décide le pavement et l’aménagement des cours de l’école des garçons. Un emprunt de 10.000 francs, remboursable en 15 annuités de 667 francs, sera sollicité auprès du Crédit Communal.

La commune emploie des chômeurs (Crisnée)

Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.

La veuve Hubert fait des travaux (Crisnée)

Le 26 septembre 1888, la veuve de HUBERT Joseph, cabaretière à Crisnée, est autorisée à placer en encadrement en pierre de taille à une fenêtre de sa maison, sise en bordure de la route Liège – Saint-Trond, entre les bornes kilométriques 15 et 16.

Réparation des murs du cimetière (Crisnée)

Le 29 avril 1882, le conseil communal de Crisnée décide de faire reconstruire les murs de clôture du cimetière, qui tombent en ruine, et de faire réparer la barrière d’entrée qui n’est pas assujettie convenablement à tel point qu’elle ne peut être maintenue fermée.