Fernand Lambert (Petit-Axhe)

Le 28 août 1944, pendant le bombardement de Waremme et de Grand-Axhe, LAMBERT Fernand se réfugie dans la tranchée de la prairie « FASTRE » à Petit-Axhe. Après celui-ci, il se rend dans le centre de Waremme, pour participer aux secours.

Il est marchand de charbon. Il est membre de la Protection Antiaérienne Passive. Il est membre de la fanfare cycliste « L’Agrément de la Pédale ».

François Moës (Waremme)

En 1944, MOËS François habite le quartier de la Haute-Wegge à Waremme.

Irène Pétry, inconsciente (Waremme)

Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, la jeune PETRY Irène est allongée, inconsciente, sur des rondins, dans la tranchée qui a été creusée dans la propriété « DE LAFONTAINE ».

Une partie de la rue Joseph Wauters (Waremme)

En août 1944, en remontant la rue Joseph Wauters, depuis l’angle de la rue Zénobe Gramme, se trouvent les immeubles suivants:

  • la pharmacie « GIELEN », à l’angle
  • la mercerie « LEKEUX »
  • la pâtisserie « DELVAUX »
  • le tailleur « HELLINGS »
  • la maison « PIROTTE »
  • le magasin de l’ébéniste « LALLEMAND »
  • le café « Aux Sports »
  • la Banque de Bruxelles
  • la maison « GERMEAU »
  • le magasin « VRANKEN »

Eugène Charlier (Waremme)

En 1944, CHARLIER Eugène habite la Cité Huart à Waremme.

Les gendarmes (Waremme)

Le 28 août 1944, durant le bombardement de Waremme, le lieutenant JAMAR Ambroise ne quitte pas le porche de la gendarmerie, rue Porte de Liège. Il réalise que la ville est durement touchée et qu’il aura besoin de toute la brigade pour assurer l’ordre et protéger les biens des sinistrés. Il donne ses instructions à l’adjudant MARECHAL Jules pour rappeler les hommes qui sont déjà rentrés chez eux et pour prendre toutes les mesures indispensables pour organiser les secours.

Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.

  • La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
  • Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
  • La maison « RENIER » est détruite.
  • La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
  • Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
  • La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.

Le terrain de tennis du notaire Seny (Waremme)

Durant la Seconde Guerre Mondiale, il y a un terrain de tennis dans la propriété du notaire SENY Léon, située dans le Quartier de la Porte de Liège (rue des Lombards ?) à Waremme.

Chaque jour, des jeunes de Waremme, mais aussi des villages voisins, s’y retrouvent.

Des jeunes de la Porte de Liège (Waremme)

En 1944, les jeunes DUCHESNE Adolphe et WILMOTTE Paul habitent le quartier de la Porte de Liège à Waremme.

Hommage à Claudine Etienne (Waremme)

Le 8 mars 2015, un arbre est planté dans le Parc des Mayeurs de Waremme, en l’honneur de ETIENNE Claudine, fondatrice du Club Soroptimist de Hesbaye, dans le cadre de la Journée de la Femme.

La présidente du Club est DANS-MANGON Myriam.