En décembre 1950, les travaux de construction de 90 logements sociaux sont entrepris, à Waremme, notamment en bordure de l’avenue du Prince Régent et de l’avenue de la Résistance, nouvellement créées.
Le 1er juin 1889, VAN BECKHOVEN Yvonne voit le jour à Waremme (à l’endroit qui deviendra plus tard le n° 47 de l’avenue Henri Monjoie).
Elle épousera Monsieur WAROUX.
Dans la nuit du 28 février au 1er mars 1990, une tempête d’une violence exceptionnelle secoue la région Huy-Waremme. A Waremme, de nombreux arbres sont arrachés avenue Guillaume Joachim et place du roi Albert 1er. Deux peupliers s’abattent sur la maison PETROLITO , rue de Sélys-Longchamps. Dans tous les villages, des toitures sont arrachées, des arbres déracinés, des poteaux électriques abattus. Des routes doivent être interdites à la circulation.
En janvier 1990, le groupe « Ecolo » de Waremme publie un communiqué pour s’opposer à la dénomination « Avenue Edmond Leburton » pour les rues Porte de Liège, Wérixhas et de Lantremange.
En janvier 1990, le conseil communal de Waremme approuve le projet de création d’une avenue Edmond Leburton.
Le 6 juillet 1987, le conseil communal de Waremme décide de placer des bacs à fleurs avenue Reine Astrid, rue Joseph Wauters et place du Roi Albert 1er, pour une somme de 589.686 francs.
Le 2 janvier 1954, les nouveaux bâtiments de l’école communale de Longchamps, à Waremme, sont inaugurés par le bourgmestre et jeune député LEBURTON Edmond, à l’entrée de l’avenue du Prince Régent..
Ils remplacent d’anciens bâtiments scolaires qui ont été vendus à la Province pour les besoins de l’Ecole Provinciale d’Agriculture.
La nouvelle école est dotée de tout le confort nécessaire. Les classes et le réfectoire sont spacieux et clairs.
En juillet 1982, le conseil communal de Waremme donne son accord pour la réalisation de travaux à l’avenue Guillaume Joachim.
Afin de permettre aux piétons de circuler plus aisément et aux automobilistes de garer leur voiture dans les meilleures conditions possibles, il es décidé de démolir le revêtement existant et les fondations du trottoir de l’avenue et d’y construire à la place un large trottoir et des emplacements permettant aux véhicules de stationner perpendiculairement à l’axe de la voirie
Ces travaux, estimés à 1.390.465 francs, devraient être exécutés dans un délai de 30 jours ouvrables et devraient être achevés dans le courant du quatrième trimestre de cette année.
Les 18, 19 et 20 juin 1982, l’Union des Commerçants du Centre organise sa braderie annuelle à Waremme.
La circulation, l’arrêt et le stationnement des véhicules est interdit rue Joseph Wauters, avenue Reine Astrid et place Ernest Rongvaux. Des itinéraires de détournement sont mis en place.
Les 24 et 25 avril 1982, le GRAC organise la première édition des 24 Heures Cuistax de Waremme.
La course se déroule sur un circuit fermé de 850 mètres, partant de la cour de l’Institut Saint-Laurent, passant par la rue du Casino, l’avenue Guillaume Joachim, l’avenue Emile Vandervelde, la rue Ernest Malvoz, pour revenir dans la cour de l’Institut, où se trouvent les stands des concurrents.
Le directeur de course est TIHON Marc, de Fexhe-le-Haut-Clocher.
Compte-rendu de SMEETS Carine, élève à l’Athénée Royal
« Les samedi 24 et dimanche 25 avril eut lieu la grande première des 24 heures de cuistax à Waremme, organisée par le GRAC. Le signal du départ a été donné à 15h30 dans la cour de l’Institut Saint-Laurent situé rue du Casino sous le regard d’un public enthousiaste.
Le circuit ? L’ancien champs de course: rue du Casino, avenue Guillaume Joachim, avenue Emile Vandervelde, rue Ernest Malvoz. La circulation y a été interrompue pendant les 24 heures. Dans le feu du départ, deux spectateurs se sont fait bousculer mais sans gravité.
Cette épreuve comportait deux catégories: les grands et les petits cuistax. Ces courageux avaient formé seize équipes de 10 jeunes … et moins jeunes. Quelques équipes étaient mixtes et au passage nous félicitons deux dames plus âgées qui y participaient.
Nos téméraires concurrents se relayaient toutes les quinze minutes, après 4 ou 5 tours; ils roulaient à une vitesse moyenne de 20 km/h pendant 625 tours en 24 heures.
Des caravanes, des tentes, des stands avaient été mis à la disposition des participants et des spectateurs. Les organisateurs avaient engagé des masseurs pour les concurrents qui avaient des crampes ou des maux de dos que provoquaient les sièges inconfortables des go-karts.
Le soir venu, de nombreux spectateurs se retirèrent dans leur foyer, mais quelques irréductibles restèrent autour de feux de bois préparés pour cette occasion.
Dès dimanche matin, les supporters recommencèrent à affluer pour applaudir nos concurrents qui, après une nuit très dure (pour les mollets) terminèrent vers 15h30 et ne regrettèrent pas d’avoir tenté cette épreuve ô combien méritante. Une équipe particulièrement méritante (crevaisons, ennuis techniques, mais toujours de bonne humeur) obtint un lot de consolation.
Les heureux gagnants seront récompensés dans une quinzaine de jours au café « La Taverne », rue de Huy, à Waremme.
Signalons aussi la précieuse collaboration des commerçants et félicitons les courageux participants et espérons qu’ils renouvelleront leur exploit l’année prochaine. »