Le 8 août 1844, des travaux d’aménagement du Geer sont décidés. Des prairies sont, en effet, transformées en marais, les chemins vicinaux aux abords du cours d’eau sont impraticables et, plus grave, des fièvres dangereuses sévissent dans les villages dont les prairies sont plus particulièrement inondées.
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Le chemin de Waremme à Fexhe-le-haut-clocher
En 1843, le chemin de Waremme à Fexhe-le-haut-Clocher est déclaré « voie de grande communication ».
Un chemin contourne les remparts (Waremme)
En 1840, Il existe un chemin (probablement bien plus ancien) qui épouse le contour extérieur des remparts à partir de la Porte de Saint-Trond, qui passe devant la Porte de Liège et qui rejoint la route sortant de la ville par la Porte de Huy. Ainsi, venant de Saint-Trond, par exemple, un voyageur peut, après avoir traversé le pont du Geer, prendre la direction de Liège ou de Huy sans traverser la ville. Cela peut s’avérer fort utile lorsque les portes de la ville sont fermées, la nuit par exemple ou peut-être en cas d’épidémie.
Les brigands Magonette et Gena écument la région (Waremme)
En 1797, pendant le temps de la première révolution, le Bois des Tombes sert de refuge à la bande des deux fameux brigands MAGONET et GENA, dont le souvenir restera longtemps vivace dans la population waremmienne. Entre la chaussée romaine et la route de Huy se trouve un chemin creux qui porte le nom de « A la Coupe Gueule », en raison des méfaits de ces brigands.
La carte de Waremme de Louis Capitaine
En 1793, sur la carte des environs de Liège, publiée par CAPITAINE Louis, premier ingénieur de la Carte Générale de la France, un chemin contourne entièrement les remparts de Waremme. Il suit le tracé des futures rue du Baloir et des avenues Guillaume Joachim et Henri Monjoie.
Les chemins n’ont pas été réparés (Waremme)
Le 23 juillet 1745, l’avocat RAICK, lieutenant-bailly de Waremme, comparaît devant la Cour de Justice de la ville, composée du mayeur HOUSSAZ et des échevins PIRARD, DANGLEUR et De SELY, à propos de l’état des chemins qui n’ont pas été réparés.
BOUX Gisbert est le greffier de la Cour.
Le gibet de Waremme
En 1341, il existe à Waremme un gibet où l’on exécute les malfaiteurs. Il est situé à l’intersection du chemin qui va de Longchamps (longo campo) à Bleret et du sentier qui va du moulin à vent à Longchamps.