En 1959, le Chemin de Bovenistier, à Remicourt, est élargi et bordé de deux trottoirs. Les travaux sont réalisés par BAIRIN Emile, de Hodeige. Ce travail a été adjugé pour 519.250 francs.
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Le Chemin de Pousset (Remicourt)
En 1953, les entreprises MATAGNE et LOUWETTE enduisent le Chemin de Pousset à Remicourt.
Les prochains travaux à Remicourt
Le 26 mars 1948, les autorités communales de Remicourt dressent leur plan quinquennal de travaux:
- les égouts (à l’étude depuis 1947)
- un nouveau cimetière
- le chemin de Pousset à mosaïquer sur 700 mètres
- les chemins du « Circuit Village » à mosaïquer sur 1.200 mètres
- la création de bâtiments pour deux classes
- une classe existante sera divisée en deux paries, l’une deviendra salle de gymnastique et l’autre cabinet de médecine
- les trottoirs
- établissement d’une piscine avec plaine de jeux
- construction de maisons à bon marché
- construction d’un chemin direct entre Remicourt et Momalle
- construction d’un chemin pour prolonger la « Nouvelle Percée » de la gare vers le viaduc du Pont-Bonne
- la reconstruction de l’église qui, n’étant pas un bien communal, est du ressort de l’Etat
Le chemin de Jeneffe (Remicourt)
En 1926, le Chemin de Jeneffe, à Remicourt, est empierré.
Un chemin au Roua (Remicourt)
En 1901, un chemin est aménagé au Rouâ, à Remicourt.
Le Chemin de Bovenistier (Remicourt)
En février 1900, le Conseil Communal de Remicourt décide d’améliorer le Chemin de Bovenistier.
Du béton sur la voirie de Crisnée
Le 14 janvier 1953, l’entretien des chemins empierrés étant couteux, le conseil communal de Crisnée décide la pose d’un revêtement plus efficace et durable.
Il charge l’architecte LONCIN Alphonse, d’Ans, du projet d’amélioration des chemins numéros 1 à 10, sur 7.650 mètres. Le revêtement sera en béton sur 5 mètres 50 de large, avec des bordures en saillie ou des rigoles en béton.
Le décompte final des travaux atteindra la somme de 9.983.000 francs, après obtention de subsides de l’Etat.
Le salaire des ouvriers communaux (Crisnée)
En novembre 1944, le conseil communal de Crisnée décide d’allouer un salaire horaire de 5 francs aux travailleurs communaux qui réparent les chemins dégradés par le passage des blindés américains.
Limitation de vitesse à Crisnée
Le 30 juin 1925, vu le danger, le conseil communal de Crisnée, unanime, arrête que la vitesse des autos, motos et vélos sera limitée à 30km/h sur la Grand-Route et à 10 km/h sur les chemins intérieurs du village.
Prévention des inondations à Crisnée
Le 1er juillet 1910, le conseil communal de Crisnée décide de faire creuser des rigoles pour prévenir le retour de l’inondation des maisons situées dans le fond longeant le Chemin de Lowaige, et en Sart. La clôture entre les divers propriétaires riverains se fera au moyen de fils de fer, disposés sur 3 rangées. Le travail sera effectué par le cantonnier du village.