En septembre 1533, l’abbé TEMPIER Wathy, prêtre à Grand-Axhe, est assassiné par des Anabaptistes, au croisement de la Chaussée Romaine et du sentier de Grand-Axhe. (?)
Archives de catégorie : Chemin
Des barrières sur les chemins communaux (Waremme)
Le 16 septembre 1843, le conseil communal de Waremme prend un arrêté sur les barrières à mettre sur les chemins en pierres de la commune.
Le chemin du Pont de Petit-Axhe (Waremme)
Le 23 septembre 1844, le bourgmestre de Waremme LEJEUNE et les conseillers communaux FRAIPONT, HOUSSA Thomas-Léonard (notaire) et le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, inspectent le chemin du Pont à Petit-Axhe, qui est en très mauvais état.
Des « Droits de barrière » à Waremme
Le 26 août 1856, un arrêté-royal autorise les conseils communaux, de Bleret, Pousset, Lantremange et Waremme, à percevoir, pendant 10 années consécutives, à partir d’une époque à fixer par le Gouverneur de la Province de Liège, un droit de barrière égal aux 3/5 de celui qui est perçu aux routes de l’Etat, sur la partie du chemin de grande communication de Waremme à Fexhe-le-Haut-Clocher, comprise entre la chaussée Romaine et la limite de Lamine.
La perception du droit se fera conformément au tarif indiqué dans les susdites délibérations, avec une concurrence de 530 mètres vers Waremme.
Les lois et règlements, ayant pour objet la police du roulage, le mode de perception des droits de barrière sur le routes de l’Etat, sont rendus applicables à ce chemin.
Mandement du Prince-Evêque (Liège – Hesbaye)
En juin 1563, le Prince-Evêque de Liège adresse un mandement au Bailli de Hesbaye:
« Vu les mauvaises rues, voies et chemins (…) à raison desquelles nos communs sujets et marchands … ne peuvent (…) passer, chevaucher ni charrier pour le mauvais entretien et réparation d’iceux, il est prescrit à tout seigneur et communauté de faire visiter par la justice (…) toutes fosses droites, rues, voies, ponts, rivières, ruisseaux et passages, de les faire réparer et sous leur pertinente largeur (?) faire élargir et profonder, que l’eau puisse passer et les dits chemins sécher; et tous autres chemins fera un chacun réparer et refaire là et si avant que s’extendent les héritages (propriétés); et ce dans un délai de 2 mois après proclamation de l’édit, sous peine d’une amende de 12 florins. »
L’urgence semble telle que le Prince autorise d’y oeuvrer les dimanches et les jours de fête, après la grand-messe. La plantation d’arbres le long des chemins est encouragée; les frais étant partagés entre le Seigneur, l’autorité publique et le riverain. Les officiers de justice (échevins, mayeur) sont inviter à faire l’inspection de la voirie deux fois l’an: la veille de la Saint-Jean (24 juin) et la Saint-Remy (1er octobre).
Les Templiers à Haneffe
Vers 1260, des Templiers s’installent à la Ferme de la Commanderie, le long du « Chemin Royal ». Non loin de cet endroit, le presbytère de Haneffe sera construit plus tard.
La rue de Sélys-Longchamps sera élargie (Waremme)
Le 14 mars 1864, le conseil communal de Waremme décide d’élargir le chemin empierré de la rue de Sélys-Longchamps et de porter la largeur à 7 mètres au moins. La dépense est évaluée à environ 1.000 francs belges.
Waremme veut paver ses chemins
Le 6 janvier 1863, le Conseil Communal de Waremme adresse une demande au Gouvernement et à la Province, pour obtenir un subside de 17.000 francs réparti sur 3 ans, pour paver 1046 mètres de chemins dans la commune.
Le devis de ces travaux s’élève à un total de 33.276 francs.
Waremme installera des poteaux indicateurs
Le 23 octobre 1862, le Conseil Communal de Waremme accepte le placement de cinq poteaux indicateurs aux intersections des chemins de ville, dans la mesure où les fonds communaux le permettent.
La voirie à Waremme et dans les villages avoisinants au début du 19ème siècle
Vers 1800, la voirie est dans un état lamentable. Il n’y a qu’une seule grand-route, celle qui relie Liège à Bruxelles, longeant l’extrémité nord de l’arrondissement de Waremme.
L’ancienne chaussée romaine, qui parcourt le centre de l’arrondissement, est dégradée et impraticable 7 à 8 mois de l’année, à l’exception des communes de Waremme et de Hannut où il existe quelques zones pavées. Toutes les autres localités pataugent dans la boue.
Pendant la moitié de l’année, les transports s’effectuent à dos de cheval et même à dos d’homme. C’est le temps des blatiers et des botteresses. En hiver, la boue rend les chemins impraticables ; en été, ils sont creusés d’ornières solidifiées.
Très isolés, les villages sont desservis par des marchands ambulants qui amènent le nécessaire et emportent les excédents sur les marchés urbains.