Vers 1260, des Templiers s’installent à la Ferme de la Commanderie, le long du « Chemin Royal ». Non loin de cet endroit, le presbytère de Haneffe sera construit plus tard.
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La rue de Sélys-Longchamps sera élargie (Waremme)
Le 14 mars 1864, le conseil communal de Waremme décide d’élargir le chemin empierré de la rue de Sélys-Longchamps et de porter la largeur à 7 mètres au moins. La dépense est évaluée à environ 1.000 francs belges.
Waremme veut paver ses chemins
Le 6 janvier 1863, le Conseil Communal de Waremme adresse une demande au Gouvernement et à la Province, pour obtenir un subside de 17.000 francs réparti sur 3 ans, pour paver 1046 mètres de chemins dans la commune.
Le devis de ces travaux s’élève à un total de 33.276 francs.
Waremme installera des poteaux indicateurs
Le 23 octobre 1862, le Conseil Communal de Waremme accepte le placement de cinq poteaux indicateurs aux intersections des chemins de ville, dans la mesure où les fonds communaux le permettent.
La voirie à Waremme et dans les villages avoisinants au début du 19ème siècle
Vers 1800, la voirie est dans un état lamentable. Il n’y a qu’une seule grand-route, celle qui relie Liège à Bruxelles, longeant l’extrémité nord de l’arrondissement de Waremme.
L’ancienne chaussée romaine, qui parcourt le centre de l’arrondissement, est dégradée et impraticable 7 à 8 mois de l’année, à l’exception des communes de Waremme et de Hannut où il existe quelques zones pavées. Toutes les autres localités pataugent dans la boue.
Pendant la moitié de l’année, les transports s’effectuent à dos de cheval et même à dos d’homme. C’est le temps des blatiers et des botteresses. En hiver, la boue rend les chemins impraticables ; en été, ils sont creusés d’ornières solidifiées.
Très isolés, les villages sont desservis par des marchands ambulants qui amènent le nécessaire et emportent les excédents sur les marchés urbains.
Le « Droit de Barrière » au 18ème siècle (Liège)
Vers 1700, les Etats du Pays de Liège instituent, pour financer la construction et l’entretien des chaussées, une taxe qui est perçue à l’occasion du passage des marchandises en divers endroits échelonnés le long de ces routes. Des barrières y interceptent le trafic, afin de permettre la perception de cet impôt.
Création d’un chemin de jonction à Waremme
Le 26 mai 1904, Mademoiselle DE LAFONTAINE Alice, autorise la commune de Waremme à prélever gratuitement sur son terrain de la rue de la Centrale (qui deviendra plus tard la rue Gustave Renier), les terres nécessaires au remblai du chemin de jonction entre la route de Celles et la rue de Huy. Ce chemin s’appellera plus tard, rue Stanislas Fleussu.
Le Télégraphe peut occuper les toitures (Waremme)
Le 17 août 1891, le conseil communal de Waremme accorde à l’Administration des Télégraphes l’établissement d’un réseau téléphonique, l’occupation gratuite des toitures des bâtiments communaux ainsi que des routes et des chemins de la commune.
Un nouveau chemin va faire le tour de Waremme
En 1869, un chemin de ceinture autour de la ville de Waremme est mis en chantier. Il va permettre un accès plus aisé à la station de chemin de fer et aux industries locales, aux charrois hippomobiles qui assurent le transport des marchandises et contribuent à développer les échanges commerciaux entre la ville et les localités voisines.
Mort de Xavier Fleussu (Waremme)
Le 21 (22, 23 ?) septembre 1867, le docteur FLEUSSU Jean-François-Xavier décède à Waremme, à l’âge de 79 ans. Il a été médecin et échevin à Waremme. Il y sera inhumé dans la chapelle « Saint-Sauveur » et « Saint-Donat » qu’il a fait construire à l’endroit où le Chemin de Bovenistier débouche dans Waremme, en acquittement d’une promesse faite lors d’un violent orage. Sa dépouille mortelle y sera acheminée à l’aide de son fidèle cheval blanc, que mènera son vieux domestique.