Vers 1700, les Etats du Pays de Liège instituent, pour financer la construction et l’entretien des chaussées, une taxe qui est perçue à l’occasion du passage des marchandises en divers endroits échelonnés le long de ces routes. Des barrières y interceptent le trafic, afin de permettre la perception de cet impôt.
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Création d’un chemin de jonction à Waremme
Le 26 mai 1904, Mademoiselle DE LAFONTAINE Alice, autorise la commune de Waremme à prélever gratuitement sur son terrain de la rue de la Centrale (qui deviendra plus tard la rue Gustave Renier), les terres nécessaires au remblai du chemin de jonction entre la route de Celles et la rue de Huy. Ce chemin s’appellera plus tard, rue Stanislas Fleussu.
Le Télégraphe peut occuper les toitures (Waremme)
Le 17 août 1891, le conseil communal de Waremme accorde à l’Administration des Télégraphes l’établissement d’un réseau téléphonique, l’occupation gratuite des toitures des bâtiments communaux ainsi que des routes et des chemins de la commune.
Un nouveau chemin va faire le tour de Waremme
En 1869, un chemin de ceinture autour de la ville de Waremme est mis en chantier. Il va permettre un accès plus aisé à la station de chemin de fer et aux industries locales, aux charrois hippomobiles qui assurent le transport des marchandises et contribuent à développer les échanges commerciaux entre la ville et les localités voisines.
Mort de Xavier Fleussu (Waremme)
Le 21 (22, 23 ?) septembre 1867, le docteur FLEUSSU Jean-François-Xavier décède à Waremme, à l’âge de 79 ans. Il a été médecin et échevin à Waremme. Il y sera inhumé dans la chapelle « Saint-Sauveur » et « Saint-Donat » qu’il a fait construire à l’endroit où le Chemin de Bovenistier débouche dans Waremme, en acquittement d’une promesse faite lors d’un violent orage. Sa dépouille mortelle y sera acheminée à l’aide de son fidèle cheval blanc, que mènera son vieux domestique.
Les Droits de Barrière sont supprimés à Waremme
Le 7 mars 1867, suite à une circulaire du Commissaire d’arrondissement de Waremme, le conseil communal de la ville décide supprimer les droits de barrière sur les routes provinciales et les autres chemins de grande communication.
Waremme entreprend de grands travaux
Entre 1863 et 1866, la ville de Waremme entreprend divers travaux d’aménagement : des empierrements de chemins extérieurs (pour 11.000 francs), un repavage à peu près complet des chemins intérieurs (pour 25.000 francs), la construction d’un pont sur le Geer et le comblement de l’abreuvoir (pour 12.000 francs), la construction d’un pont à Mouhin (pour 780 francs) et des travaux d’éclairage de la ville (pour 1.000 francs).
Le Geer va être assaini (Waremme – Hesbaye)
Le 8 août 1844, des travaux d’aménagement du Geer sont décidés. Des prairies sont, en effet, transformées en marais, les chemins vicinaux aux abords du cours d’eau sont impraticables et, plus grave, des fièvres dangereuses sévissent dans les villages dont les prairies sont plus particulièrement inondées.
Le chemin de Waremme à Fexhe-le-haut-clocher
En 1843, le chemin de Waremme à Fexhe-le-haut-Clocher est déclaré « voie de grande communication ».
Un chemin contourne les remparts (Waremme)
En 1840, Il existe un chemin (probablement bien plus ancien) qui épouse le contour extérieur des remparts à partir de la Porte de Saint-Trond, qui passe devant la Porte de Liège et qui rejoint la route sortant de la ville par la Porte de Huy. Ainsi, venant de Saint-Trond, par exemple, un voyageur peut, après avoir traversé le pont du Geer, prendre la direction de Liège ou de Huy sans traverser la ville. Cela peut s’avérer fort utile lorsque les portes de la ville sont fermées, la nuit par exemple ou peut-être en cas d’épidémie.