En 1986, la RTT procède au renforcement des câbles téléphoniques à Crisnée et installe une cabine téléphonique publique à l’entrée de la rue François Gilon.
Archives de catégorie : Voirie
Achat d’une faucheuse (Crisnée)
Le 24 août 1977, la commune de Crisnée achète une faucheuse « Vandaele-Votex » (?), pour un montant de 196.848 francs. Cette machine est indispensable pour l’entretien des talus et accotements herbeux dans les 5 communes de l’entité.
Achat d’un tracteur (Crisnée)
En 1975, la commune de Crisnée achète un tracteur pour les travaux de voirie, aux Etablissements HOCKE, pour un prix de 418.182 francs. La dépense est couverte par le produit de la vente de l’ancienne école des filles, à TOMBAL Albert.
Rues rebaptisées (Crisnée)
En 1966, deux rues changent de nom à Crisnée:
- la rue des Vergers devient la rue de l’Abattoir
- la rue d’Odeur devient la rue Joseph Wauters
Des rues rebaptisées (Crisnée)
Le 3 mai 1960, afin d’honorer la mémoire de personnes ayant rendu de grands services à la commune, le conseil communal de Crisnée décide de rebaptiser 3 artères du village:
- la rue de l’Eglise devient la rue de l’Abbé Coopmans (1864 – 1936)
- la rue de Kemexhe devient la rue Sylvain Panis (1910 – 1959)
- la rue Charlevaux devient la rue François Gilon (1890 – 1918)
Du béton sur la voirie de Crisnée
Le 14 janvier 1953, l’entretien des chemins empierrés étant couteux, le conseil communal de Crisnée décide la pose d’un revêtement plus efficace et durable.
Il charge l’architecte LONCIN Alphonse, d’Ans, du projet d’amélioration des chemins numéros 1 à 10, sur 7.650 mètres. Le revêtement sera en béton sur 5 mètres 50 de large, avec des bordures en saillie ou des rigoles en béton.
Le décompte final des travaux atteindra la somme de 9.983.000 francs, après obtention de subsides de l’Etat.
Le salaire des ouvriers communaux (Crisnée)
En novembre 1944, le conseil communal de Crisnée décide d’allouer un salaire horaire de 5 francs aux travailleurs communaux qui réparent les chemins dégradés par le passage des blindés américains.
Dépenses de la commune (Crisnée)
Le 13 février 1941, le conseil communal de Crisnée fixe à 15.000 francs le montant qui sera affecté à la voirie pour cette année. Il décide également d’acheter à BURE Joseph et à LAHAYE Nicolas, leur silex disponible, à 22 francs le m3.
Une pompe pour le puits (Crisnée)
Le 2 mars 1940, les habitants du Sart, à Crisnée, sont autorisés à placer une pompe sur le puits, considéré comme leur propriété collective, bien qu’il soit établi (avec autorisation) sur la voirie publique.
Limitation de vitesse à Crisnée
Le 30 juin 1925, vu le danger, le conseil communal de Crisnée, unanime, arrête que la vitesse des autos, motos et vélos sera limitée à 30km/h sur la Grand-Route et à 10 km/h sur les chemins intérieurs du village.