Combats à Waremme

Le 7 (?) août 1914, un tireur belge de la Garde Civique, posté derrière un perron dans la rue de la Gare à Waremme (à l’entrée de la rue de Huy ?) abat plusieurs Uhlans allemands.

Le bourgmestre veut ouvrir une sucrerie (Omal)

Le 26 septembre 1870, le conseil communal d’Omal examine la demande de son bourgmestre, POLET Jean-Baptiste, (via sa société « Jean-Baptiste Polet et Cie »), qui sollicite l’autorisation d’établir une fabrique de sucre à Omal, sur une terre de 3 ha lui appartenant, située à l’entrée du village le long de la Chaussée Romaine. Il désire également y construire une maison.

Les travaux de la Société d’Agriculture Industrielle (Waremme)

En 1871, la S.A. d’Agriculture Industrielle de Waremme est autorisée à établir sur l’accotement de la Chaussée Romaine:

  • des poteaux auxquels sera attaché un fil télégraphique
  • des tuyaux en fonte conducteurs de jus de betteraves, d’un diamètre de 8 à 12 cm, posés à une profondeur de 80 cm, à 1 mètre de la bordure de l’empierrement.

Les dégradations de la sucrerie (Hollogne-sur-Geer)

Le 14 mars 1867, le conseil communal de Hollogne-sur-Geer débat sur le montant de la subvention à payer par la société « NAVEAU et LEDOCTE » pour les frais d’entretien des chemins, suite aux dégradations extraordinaires occasionnées par le transport de betteraves à destination de son usine de sucre.

La société accepte de payer 1.360 francs pour l’achat de pierres destinées à la réparation du chemin de grande communication « Waremme – Lens-Saint-Remy ».

Chemin sans intérêt (Geer – Darion – Boëlhe)

Le 27 octobre 1870, le conseil communal de Geer décide que le chemin de Darion à Boëlhe (qui deviendra plus tard le rue du Pont à Darion) ne sera pas restauré, car il ne présente ni intérêt, ni utilité, car situé aux confins du territoire de la commune.

Taxation de la sucrerie (Geer)

Le 16 octobre 1869, se référant à une loi du 10 mars 1866, la commune de Geer prend l’arrêté suivant:

 » Considérant que la fabrique de sucre de Hollogne-sur-Geer occasionne des dégradations extraordinaires tant aux chemins vicinaux de la commune de Geer qu’aux chemins de grande communication qui traversent son territoire, nous estimons qu’une subvention spéciale, en rapport avec cette dégradation, doit être payée par cette fabrique de sucre à la commune de Geer. « 

Le propriétaire de l’usine, Monsieur NAVEAU, proposera de payer annuellement une indemnité de 265 francs, à la commune de Geer.

Empierrement des chemins (Hollogne-sur-Geer)

Le 6 mai 1842, le collège échevinal de Hollogne-sur-Geer décide de faire empierrer les chemins intérieurs de la commune et celui allant vers Saives, jusqu’à son intersection avec la Chaussée Romaine. 

Monsieur MOESSE de Latinne réalisera les travaux.

La Ruelle de la Maladrie (Hollogne-sur-Geer

Le 3 juillet 1829, la commune de Hollogne-sur-Geer décide d’entreprendre des travaux dans la Ruelle de la Maladrie, extrêmement marécageuse.

Réparation des chemins (Hollogne-sur-Geer)

Le 1er décembre 1824, la commune de Hollogne-sur-Geer décide d’acheter des matériaux pour réparer les chemins délabrés de l’entité.

Le budget des travaux est estimé à :

  • 2400 mannes de pierrailles (à 2,5 centimes la manne) :    60 florins
  • Transport des pierrailles depuis Latinne (3 cent./manne):  72 florins
  • 64 journées de main-d’oeuvre (à 28 centimes/journée):    18 florins

                                                                                     Total:  150 florins  

Récoltes ravagées (Lens-Saint-Remy – Ligney – France)

Le dimanche 8 mai 1672, des cavaliers français passent par milliers sur la Chaussée Romaine. Certains se frayent une route à travers champs. Les 3000 chevaux du Marquis DE LOUVOIS et du Chevalier DE TOURILLES détruisent les futures récoltes à Lens-Saint-Remy et dévastent les terres plantées à Ligney.

Le passage de ces troupes a été autorisé par le Prince-Evêque de Liège, DE BAVIERE Maximilien-Henri.