La chapelle de Longchamps devient église paroissiale (Waremme)

Le 12 novembre 1925, un Arrêté-Royal reconnaît la chapelle de Longchamps comme église paroissiale. C’est l’abbé RIGO, vicaire de Waremme, qui sera désigné pour administrer cette nouvelle paroisse.

Cette nouvelle paroisse va desservir un territoire limité au Nord par le chemin de fer, à l’Ouest par les communes de Grand-Axhe et de Berloz, au Sud par la chaussée Romaine et à l’Est par la rue de Saive (qui deviendra plus tard la rue de Huy). Selon qu’ils habitent le côté gauche ou le côté droit de cette rue, les Waremmiens dépendent de la Paroisse Saint-Pierre ou de la Paroisse Saint-Michel.

Création d’un chemin de jonction à Waremme

Le 26 mai 1904, Mademoiselle DE LAFONTAINE Alice, autorise la commune de Waremme à prélever gratuitement sur son terrain de la rue de la Centrale (qui deviendra plus tard la rue Gustave Renier), les terres nécessaires au remblai du chemin de jonction entre la route de Celles et la rue de Huy. Ce chemin s’appellera plus tard, rue Stanislas Fleussu.

Le Télégraphe peut occuper les toitures (Waremme)

Le 17 août 1891, le conseil communal de Waremme accorde à l’Administration des Télégraphes l’établissement d’un réseau téléphonique, l’occupation gratuite des toitures des bâtiments communaux ainsi que des routes et des chemins de la commune.

Mort de Xavier Fleussu (Waremme)

Le 21 (22, 23 ?) septembre 1867, le docteur FLEUSSU Jean-François-Xavier décède à Waremme, à l’âge de 79 ans. Il a été médecin et échevin à Waremme. Il y sera inhumé dans la chapelle « Saint-Sauveur » et « Saint-Donat » qu’il a fait construire à l’endroit où le Chemin de Bovenistier débouche dans Waremme, en acquittement d’une promesse faite lors d’un violent orage. Sa dépouille mortelle y sera acheminée à l’aide de son fidèle cheval blanc, que mènera son vieux domestique.

Une nouvelle route sera construite entre Waremme et Saint-Trond

Le 18 mai 1867, le gouvernement fait savoir au conseil communal de Waremme qu’une route directe sera construite entre Saint-Trond et Waremme, via Bettincourt, Nielen et Brustem. Cette nouvelle voie est nécessitée par les transports vers les fabriques de sucre, ainsi que les transports des charbons, chaux et pierres de taille vers le pays flamand.

Les Droits de Barrière sont supprimés à Waremme

Le 7 mars 1867, suite à une circulaire du Commissaire d’arrondissement de Waremme, le conseil communal de la ville décide supprimer les droits de barrière sur les routes provinciales et les autres chemins de grande communication.

Droit de péage sur la Chaussée Romaine (Waremme)

Le 14 mai 1857, la Députation Permanente autorise la commune de Waremme, pour un nouveau terme de 10 ans, à percevoir un droit de péage sur la Chaussée Romaine.

Une première grande route passe par Waremme

En 1846, la route de Waremme à Huy, avec un embranchement de Viemme à Saint-Georges, est la première grande voie qui atteint Waremme. Elle emprunte la première section de l’actuelle route de Huy et met Waremme en communication avec Liège en croisant à Faimes la route nouvelle qui va de Bierset à Hollogne-sur-Geer.

Le Conseil Communal fait travailler les indigents (Waremme)

Le 15 janvier 1846, le conseil communal de Waremme adopte la résolution de solliciter de l’Etat un prêt sans intérêt d’un montant de 4.000 francs, destiné à entreprendre des travaux d’amélioration des communications vicinales et d’en confier la réalisation à des indigents de la commune, « qui pour la plupart, sont sans travail et se trouvent dans le plus grand besoin ».

La Chaussée Romaine sera réparée (Waremme)

Le 1er septembre 1842, le Conseil communal décide de restaurer la Chaussée Romaine, qui est presque impraticable. Outre la réfection de la chaussée, Il décide de créer deux voies partant de cette chaussée pour aboutir à la station de chemin de fer : l’une dans la direction de Tongres par la Porte de Liège et l’autre dans la direction de Huy. Pour financer ces travaux, le Conseil contracte un emprunt de 7.000 francs.