En novembre 1944, le conseil communal de Crisnée décide d’allouer un salaire horaire de 5 francs aux travailleurs communaux qui réparent les chemins dégradés par le passage des blindés américains.
Le 30 juin 1925, vu le danger, le conseil communal de Crisnée, unanime, arrête que la vitesse des autos, motos et vélos sera limitée à 30km/h sur la Grand-Route et à 10 km/h sur les chemins intérieurs du village.
Le 26 septembre 1888, la veuve de HUBERT Joseph, cabaretière à Crisnée, est autorisée à placer en encadrement en pierre de taille à une fenêtre de sa maison, sise en bordure de la route Liège – Saint-Trond, entre les bornes kilométriques 15 et 16.
En 1858, KINET Jean-Joseph, instituteur à Crisnée, est autorisé à placer deux nouvelles marches devant sa maison sise sur la route de Liège à saint-Trond, au lieu-dit « Aux Croix ».
Vers 1882, HENNEMANN Edmond ouvre une boulangerie au carrefour de la Grand-Route et de la Chaussée Verte, à Crisnée.
En 1944, JANSSENS Henri, cordonnier à Crisnée, décède dans un accident de la circulation, écrasé par une voiture au carrefour de la Grand-Route et de la Chaussée Verte, à Odeur, près de la râperie. Il était âgé de 82 ans. Il était veuf de LOOMANS Hortense.
En 1846, pour relier le village à la Grand-Route, la commune de Crisnée réalise l’empierrement de la rue de Fize, sur une longueur de 235 mètres et une largeur de 3 mètres 75.
Le 8 mai 2019, un deuxième point de vente « Point Chaud » s’ouvre au n° 240 de la Chaussée Romaine, à Waremme.
En 1636, la cohorte de Croates de DE WEERT Jean dévaste la Hesbaye.
A Thys:
En 1935, la vieille statue de Saint-Pierre, en bois, installée sur un puissant tilleul au carrefour de la « hôte vôye » et de la « vôye dè hovê » à Thys, tombe en poussière. Elle est remplacée par une statue en pierre.