Le 14 janvier 1953, l’entretien des chemins empierrés étant couteux, le conseil communal de Crisnée décide la pose d’un revêtement plus efficace et durable.
Il charge l’architecte LONCIN Alphonse, d’Ans, du projet d’amélioration des chemins numéros 1 à 10, sur 7.650 mètres. Le revêtement sera en béton sur 5 mètres 50 de large, avec des bordures en saillie ou des rigoles en béton.
Le décompte final des travaux atteindra la somme de 9.983.000 francs, après obtention de subsides de l’Etat.
En novembre 1944, le conseil communal de Crisnée décide d’allouer un salaire horaire de 5 francs aux travailleurs communaux qui réparent les chemins dégradés par le passage des blindés américains.
Le 30 juin 1925, vu le danger, le conseil communal de Crisnée, unanime, arrête que la vitesse des autos, motos et vélos sera limitée à 30km/h sur la Grand-Route et à 10 km/h sur les chemins intérieurs du village.
En septembre 1942, BOLLAND Nicolas et son épouse LEDUC (?) habitent rue de l’Ecole Communale à Crisnée.
En 1871, une nouvelle école est construite à Crisnée, à côté de la Maison Communale, au carrefour des rues de Fize et de Favray.
En 1840, il y a une brasserie rue d’Odeur à Crisnée.
En 1846, pour relier le village à la Grand-Route, la commune de Crisnée réalise l’empierrement de la rue de Fize, sur une longueur de 235 mètres et une largeur de 3 mètres 75.
En 1986, les Editions « Yellow Now » sont installées au n° 15 de la rue François Gilon, à Crisnée.
En (décembre 2023?), le « Chenil de l’Aviculteur » est installé au n° 28 de la rue Joseph Dodeur, à Pousset (Remicourt). (La pension est à Liège ?).
Le 27 février 2019, un accident de la route se produit rue Saint-Eloi, à Waremme (devant la station service « Lukoil »). La rue est fermée à la circulation pour permettre à l’hélicoptère médicalisé de se poser.